En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
AVE (Alliance villes emploi), réseau national des maisons de l'emploi et des Plie (Plans locaux pour l'insertion et l'emploi), en partenariat avec l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) présentent les résultats d'une expérimentation pour identifier les besoins en emplois et en compétences dans le secteur du développement durable, à l'occasion des journées nationales des maisons de l'emploi et des Plie, les 8 et 9 décembre 2011 à Rennes. Cette expérimentation a été finalisée sur trois territoires (Lille, Bayonne et le Grand Nancy), afin d'établir « au plus près du terrain » des plans d'actions adaptés pour répondre aux besoins d'un secteur particulier : les travaux de performance énergétique et les énergies renouvelables dans le bâtiment. Elle est actuellement menée dans 30 autres maisons de l'emploi.
Alliance Villes Emploi, le réseau national des maisons de l'emploi et des Plie (Plans locaux pour l'insertion et l'emploi), a adopté à l'unanimité, jeudi 7 décembre 2011, en assemblée générale, à Rennes, un manifeste qui affirme que « le temps des politiques territoriales d'insertion est venu ». « Les élus locaux, qui ont maintenant une expérience des politiques d'emploi et d'insertion, sont capables d'apporter la preuve de l'efficacité de leur action », explique Gwenaële Hamon (PS), vice-présidente de Rennes Métropole, déléguée au développement économique et à l'emploi. « Les élus locaux revendiquent un rôle de coordonnateurs, d'impulseurs, d'anticipateurs des stratégies territoriales pour la formation, l'insertion et l'emploi », poursuit l'élue, qui estime qu'il existe aujourd'hui « un consensus » sur le niveau d'intervention de ces actions : « les bassins d'emplois sont les territoires pertinents pour réaliser des diagnostics, définir des plans d'actions et accompagner les compétences ».
Les maisons de l'emploi veulent mobiliser les parlementaires pour éviter la baisse « préoccupante » de leur budget en 2012, menacé d'une diminution de « 34 % » par le PLF (projet de loi de finances). Dans cet objectif, « les présidents des maisons de l'emploi, soutenus par Alliance villes emploi rencontreront le vendredi 21 octobre 2011, sur chaque territoire et dans chaque département, les sénateurs et députés afin de les mobiliser en amont de l'examen de la loi par les commissions », indique Alliance villes emploi (1) dans un communiqué le 19 octobre 2011, au lendemain de l'ouverture du débat sur le PLF pour 2012 à l'Assemblée nationale. « Le budget des maisons de l'emploi subit à nouveau dans le PLF 2012 une réduction drastique de 34 % des financements de l'État pour l'année 2011, après une baisse de 21,45 % en 2011 », dénonce l'association.
Les demandeurs d'emploi recherchant un emploi sur un métier dit « vert » (1) « éprouvent plus de difficultés à sortir du chômage et connaissent une plus grande instabilité dans l'emploi » que les chômeurs recherchant un emploi sur les autres métiers, indique une étude de Pôle emploi publiée mardi 26 juillet 2011. Cette étude a été menée au printemps 2011 auprès de 6 000 demandeurs d'emploi inscrits au 31 décembre 2010, et fait suite à une première enquête menée auprès des employeurs du secteur « vert » (AEF n°244330). Moins d'un quart (24 %) des demandeurs d'emploi recherchant un métier « vert » ont retrouvé une activité au moment de l'enquête, contre 28 % pour les autres. Le constat est le même concernant le taux d'accès à l'emploi : il s'élève à 39 % pour les demandeurs d'emploi « verts » contre 43 % pour les autres demandeurs d'emploi. Pôle emploi note que ce décalage s'observe également par rapport aux chômeurs recherchant un emploi dit « verdissant » (1), dont le taux d'accès à l'emploi est de 44 %.
« Jouer notre rôle d'observation, pour produire ensuite l'action la plus adaptée possible aux besoins du territoire » et « être dans la prospective, pour être en capacité d'anticiper les besoins locaux des entreprises et des collectivités, via une GPEC territorialisée » : telles sont les priorités actuelles de la MDE (Maison de l'emploi) du Grand Nancy, indique mi-avril 2011 à AEF sa directrice, Dominique van Keirsbilck. Elle s'exprime à l'occasion du lancement de l'outil territorial « Bus CitésLab Grand Nancy », qui, du 8 au 27 avril, sillonne l'agglomération pour proposer aux habitants des quartiers un service d'amorçage de projets de création d'entreprise. Dans un contexte marqué par le nouveau cahier des charges des maisons de l'emploi (AEF n°278768), la directrice dresse le bilan des actions menées par celle de Nancy en 2010, autour de trois axes de travail : « développer une stratégie territoriale partagée, [en passant] du diagnostic au plan d'actions », « développer l'emploi » et « renforcer la cohésion sociale et l'égalité des chances ». « C'est surtout la mission d'accompagnement des publics que nous avons dû abandonner », relève-t-elle.
AVE (Alliance villes emploi), réseau national des maisons de l'emploi et des Plie (Plans locaux pour l'insertion et l'emploi), et Face (Fondation agir contre l'exclusion) (1) ont signé vendredi 15 avril 2011 une convention nationale de partenariat afin de « favoriser l'emploi sur les territoires ». D'une durée de trois ans, la convention vise à développer la coopération sur le terrain entre les « clubs » Face, rassemblant des entreprises désireuses de lutter contre l'exclusion et la discrimination, et les 197 maisons de l'emploi et les 182 Plie répartis en France. Les deux partenaires estiment que « c'est au niveau du territoire que s'organise le mieux l'action pour l'emploi ». « Pour agir efficacement dans le domaine de l'emploi et de l'insertion, il faut des politiques nationales, régionales et départementales cohérentes et coordonnées, mais il faut aussi que sur les territoires il y ait à la fois des entreprises mobilisées et organisées pour agir, comme elles le sont au sein de Face, et des intercommunalités disposant d'outils tels que les maisons de l'emploi et les Plie », indique le texte de la convention.
« Les métiers liés à la croissance verte correspondent globalement à des emplois qualifiés et à des emplois durables », indique une enquête de Pôle emploi publiée jeudi 31 mars 2011, menée en décembre 2010 auprès de 7 055 employeurs ayant déposé des offres sur des métiers dits « verts » ou « verdissants » (1). Les trois quarts (74,1 %) de ces établissements offrent des postes qualifiés ou d'encadrement sur les métiers verts : 34,1 % concernent des postes d'employés qualifiés, 27,7 % d'ouvriers qualifiés, 9 % d'agents de maîtrise, techniciens, 3,3 % de cadres. Un quart seulement offrent des postes non qualifiés : 13,7 % d'employés non qualifiés, 7,7 % d'ouvriers spécialisés, 4,5 % de manœuvres.
Voici une sélection d’informations RH en bref pour la semaine du 30 janvier au 3 février 2023 :
Voici une sélection de brèves sur la protection sociale pour la semaine du 30 janvier au 3 février 2023 :
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 30 janvier 2023 :