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« Quatre nouvelles Satt (sociétés accélératrices du transfert de technologie) sont labellisées dans le cadre des investissements d'avenir et recevront 226 millions d'euros », annoncent François Baroin, ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, Laurent Wauquiez, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Éric Besson, ministre chargé de l'Industrie, de l'Énergie et de l'Économie numérique et René Ricol, commissaire général à l'investissement, jeudi 22 décembre 2011. Il s'agit des projets « Satt Languedoc-Roussillon », « Satt Nord de France », « Satt Ouest valorisation » et « Satt Aquitaine ». Cinq premières Satt ont déjà été labellisées le 22 septembre 2011, pour un montant global de 330 millions d'euros (AEF n°232164).
« Des dynamismes se mettent en place » et « la Satt (société d'accélération du transfert de technologie) Languedoc-Roussillon ne peut avoir que des effets positifs sur les porteurs de projets [de création d'entreprise], notamment grâce aux fonds de maturation qui permettront d'amener les projets plus loin et plus vite jusqu'à leur phase finale ». C'est ce que déclare Caroline Cleret, responsable du site d'incubation AgroValo Méditerranée, à Montpellier, à l'occasion du bilan du dixième anniversaire du site d'incubation, lundi 14 novembre 2011. Montpellier SupAgro devrait être actionnaire de la Satt. Le site d'incubation devrait également connaître une montée en puissance avec la construction d'un nouveau bâtiment, qui regroupera l'ensemble des acteurs de l'innovation du domaine agronomique et devrait être opérationnel début 2013.
Le conseil d'administration du CNRS approuve, jeudi 3 novembre 2011, les prises de participation de l'organisme, à hauteur de 1,017 million d'euros, au capital des cinq Satt (sociétés d'accélération du transfert de technologie) déjà labellisées au titre du programme d'investissements d'avenir (AEF n°242007). Ces prises de participation concernent les Satt Conectus Alsace (260 000 euros, soit 26 % du capital qui se monte à un million d'euros pour chaque Satt), IdF Innov (105 000 euros, 10,5 %), Lutech (172 000 euros, 17,2 %), Midi-Pyrénées (250 000 euros, 25 %) et Paca Corse (230 000 euros, 23 %). Le CNRS prévoit « une seconde vague de prises de participation », qui sera présentée à son conseil d'administration le 1er décembre 2011, et dont le nombre « dépendra du degré de labellisation des différents projets de Satt », indique-t-il dans la « note » distribuée en conseil d'administration et qu'AEF s'est procurée. Une carte fait état de 13 Satt au total. Outre les cinq déjà labellisées, un groupe « B » rassemble quatre sociétés « pré-labellisées » (Nord-de-France Valo, Ouest Valo, Aquitaine et Languedoc-Roussillon) et un groupe « C » comprend quatre projets en « refonte » (Saclay, Grand Est, Grand Centre et Lyon-Saint-Étienne-Grenoble).
Le nouveau projet de Satt (société d'accélération du transfert de technologies) du grand Ouest, qui devrait prendre le nom de Ouest Valorisation, a été déposé le 14 septembre 2011. Ce projet fait partie des quatre dossiers de Satt (avec les dossiers du Nord, du Languedoc-Roussillon et de l'Aquitaine) qui n'ont pas été labellisés à l'issue de l'appel à projets des investissements d'avenir, mais qui nécessitaient « peu de modifications pour répondre aux recommandations du jury ». En mai 2011, Valérie Pécresse, alors ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, avait indiqué qu' « après amélioration et en accord avec la présidente du jury », ces dossiers seraient labellisés « rapidement » (AEF n°242007). Ouest Valorisation prendra la forme d'une SAS au capital d'un million d'euros. « Nous avons fait une demande de 80 millions d'euros pour soutenir 60 projets de maturation par an, sur les deux régions, Bretagne et Pays-de-la-Loire », indique Elisabeth Boichot-Lagente, directrice de Bretagne Valorisation (1) et vice-présidente de l'UEB, en charge de la valorisation.
« Les cinq premières Satt labellisées dans le cadre des investissements d'avenir recevront 330 millions d'euros », annoncent François Baroin, ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, Laurent Wauquiez, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Éric Besson, ministre chargé de l'Industrie, de l'Énergie et de l'Économie numérique et René Ricol, commissaire général à l'investissement, jeudi 22 septembre 2011. Dotée d'un milliard d'euros, l'action « Fonds national de valorisation » du programme d'investissements d'avenir a pour objectif « d'accroître l'efficacité du dispositif français de valorisation de la recherche publique et d'améliorer significativement ses résultats, que ce soit sous forme de licences, de partenariats industriels, de création d'entreprises ou en facilitant la mobilité des chercheurs ». Ce fonds financera les actions de valorisation de la recherche publique et en particulier la maturation. Une part majoritaire de cette action, à hauteur de 900 millions d'euros, sera consacrée à la création de Satt.
L’opérateur public annonce, le 4 août 2022, avoir publié au deuxième trimestre de cette année 427 000 offres d’emploi supplémentaires par rapport à la même période l’année précédente (+16,5 %). Les plus forts taux de croissance concernent les métiers du support à l’entreprise (+33 %), de l’hôtellerie-restauration et des services à la personne (+22 %) et de l’industrie (+21 %). Les deux tiers (66,1 % précisément) de ces offres portent sur des contrats à durée indéterminée ou à durée déterminée d’au moins six mois, 1,6 point de plus en un an. Les secteurs de l’hôtellerie-restauration et des services à la personne et aux collectivités sont ceux qui ont vu la part de ces emplois durables progresser le plus, avec une augmentation respectivement de 4,7 points et 3,5 points. En revanche, le nombre d’offres durables chute dans le secteur de la santé, de 4,3 points en un an.