En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Le secrétariat des Nations unies publie, mardi 10 janvier 2012, la « version zéro » du document de négociation qui doit conduire à un accord de l'ensemble des 193 pays membres à Rio de Janeiro (Brésil), lors de la conférence Rio+20, du 20 au 22 juin 2012, qui marque le vingtième anniversaire du sommet de la Terre dans la même ville en 1992. Ce document est une synthèse des 677 propositions reçues par le secrétariat des Nations unies jusqu'au 1er novembre 2011.
« La résolution du Parlement européen, votée le 29 septembre 2011, sera sans doute la contribution la plus ambitieuse à Rio+20. Elle comprend une centaine de déclarations et de demandes, n'oubliant aucun sujet », affirme Sandrine Bélier, députée européenne (Les Verts/Alliance libre européenne), rapporteure de cette résolution. Elle intervenait lors du forum « Pour une contribution française à Rio+20 sur la gouvernance », organisé par le Club France Rio+20 (1), à l'Assemblée nationale, mardi 13 décembre 2011. La conférence des Nations unies sur le développement durable, dite Rio+20, aura lieu au Brésil du 20 au 22 juin 2012 et portera sur les thèmes « l'économie verte dans un contexte de développement durable et d'éradication de la pauvreté, et le cadre institutionnel du développement durable ».
« Définir une feuille de route à 20 ans, dans la continuité du plan Action 21 défini à Rio en 1992, assortis d'objectifs et d'échéances chiffrés vers une économie verte oeuvrant pour l'éradication de la pauvreté, et reconnaissant l'importance de la gouvernance territoriale et des partenariats entre les acteurs des territoires, dans la mise en oeuvre de cette stratégie. » C'est l'une des demandes du Club France Rio+20 aux organisations internationales, rapporte-t-il jeudi 24 novembre 2011. Le Club, composé à la fois d'élus territoriaux, de responsables d'entreprises, de dirigeants associatifs et de représentants du monde académique, a remis sa contribution à la conférence des Nations unies sur le développement durable dite Rio+20 qui aura lieu au Brésil du 20 au 22 juin 2012 (L'AEF n°228813). Le double thème de la conférence - « le cadre institutionnel du développement durable et la croissance verte dans un contexte de développement durable et d'éradication de la pauvreté » - a été élargi à celui plus global du développement, à la demande de Dilma Rousseff, présidente du Brésil.
« De la Chine à la Barbade, du Brésil à l'Afrique du Sud, les pays conçoivent des stratégies et des activités relevant de l'économie verte pour promouvoir la croissance et l'emploi, la protection de l'environnement et l'égalité », rapporte le Pnue, qui publie la version complète de son rapport « Vers une économie verte : pour un développement durable et une éradication de la pauvreté », mercredi 16 novembre 2011. La synthèse du rapport, publiée en février, a été enrichie après une consultation publique de trois mois et comprend désormais des chapitres développés sur dix secteurs clés (l'agriculture, l'énergie, la construction, l'eau, la foresterie, la pêche, la fabrication, les déchets, le tourisme et le transport), ainsi que des exemples régionaux.
« Ce qu'on attend de Rio+20, c'est tout d'abord de passer d'un discours d'enjeux et d'alerte à un discours de solutions pour répondre aux défis environnementaux et sociaux. Mais pour l'instant, nous attendons que les entreprises se positionnent vis-à-vis de cet événement international. Nous ne savons pas encore quelle place prendront celles-ci », déclare à AEF Hélène Valade, présidente du C3D (Collège des directeurs du développement durable), mercredi 16 novembre 2011. La conférence sur le développement durable, dite « Rio+20 » a été reportée de deux semaines (L'AEF n°228813) et se tiendra du 20 au 22 juin à Rio de Janeiro (Brésil).
Inclure les informations environnementales, sociales et de gouvernance dans les rapports annuels des acteurs privés, instaurer une participation universelle au Pnue (programme des Nations unies pour l'environnement), qui ne compte actuellement qu'une soixantaine de membres. Voici les deux propositions phares du Brésil dans sa contribution envoyée au secrétariat des Nations unies, le 1er novembre 2011. Le Brésil accueillera du 20 au 22 juin 2012 la conférence des Nations unies sur le développement durable Rio+20, qui marquera les vingt ans du Sommet de la Terre de Rio. Deux thèmes sont inscrits à l'agenda : le cadre institutionnel du développement durable et la croissance verte dans un contexte de développement durable et d'éradication de la pauvreté.