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Le draft zero du document de négociation de la conférence des Nations unies sur le développement durable intitulée Rio+20, publié le 10 janvier 2012 (L'AEF n°224062), est « le fruit d'un gros travail du secrétariat des Nations unies, qui s'est partagé la lecture des contributions des pays, ONG, associations et entreprises », rapporte à AEF Brice Lalonde, co-coordonnateur exécutif de la conférence, jeudi 12 janvier 2012. « Il a rédigé une compilation des 677 textes soumis en mettant des mots clés en évidence, puis a proposé une version aux deux co-présidents de la conférence, John Ashe, représentant d'Antigua et Barbuda et Kim Sook, représentant de la Corée du Sud. Le texte a été amendé et validé par le bureau. » La conférence internationale aura lieu à Rio de Janeiro (Brésil) du 20 au 22 juin 2012.
Le secrétariat des Nations unies publie, mardi 10 janvier 2012, la « version zéro » du document de négociation qui doit conduire à un accord de l'ensemble des 193 pays membres à Rio de Janeiro (Brésil), lors de la conférence Rio+20, du 20 au 22 juin 2012, qui marque le vingtième anniversaire du sommet de la Terre dans la même ville en 1992. Ce document est une synthèse des 677 propositions reçues par le secrétariat des Nations unies jusqu'au 1er novembre 2011.
« La résolution du Parlement européen, votée le 29 septembre 2011, sera sans doute la contribution la plus ambitieuse à Rio+20. Elle comprend une centaine de déclarations et de demandes, n'oubliant aucun sujet », affirme Sandrine Bélier, députée européenne (Les Verts/Alliance libre européenne), rapporteure de cette résolution. Elle intervenait lors du forum « Pour une contribution française à Rio+20 sur la gouvernance », organisé par le Club France Rio+20 (1), à l'Assemblée nationale, mardi 13 décembre 2011. La conférence des Nations unies sur le développement durable, dite Rio+20, aura lieu au Brésil du 20 au 22 juin 2012 et portera sur les thèmes « l'économie verte dans un contexte de développement durable et d'éradication de la pauvreté, et le cadre institutionnel du développement durable ».
« Définir une feuille de route à 20 ans, dans la continuité du plan Action 21 défini à Rio en 1992, assortis d'objectifs et d'échéances chiffrés vers une économie verte oeuvrant pour l'éradication de la pauvreté, et reconnaissant l'importance de la gouvernance territoriale et des partenariats entre les acteurs des territoires, dans la mise en oeuvre de cette stratégie. » C'est l'une des demandes du Club France Rio+20 aux organisations internationales, rapporte-t-il jeudi 24 novembre 2011. Le Club, composé à la fois d'élus territoriaux, de responsables d'entreprises, de dirigeants associatifs et de représentants du monde académique, a remis sa contribution à la conférence des Nations unies sur le développement durable dite Rio+20 qui aura lieu au Brésil du 20 au 22 juin 2012 (L'AEF n°228813). Le double thème de la conférence - « le cadre institutionnel du développement durable et la croissance verte dans un contexte de développement durable et d'éradication de la pauvreté » - a été élargi à celui plus global du développement, à la demande de Dilma Rousseff, présidente du Brésil.
« Les entreprises travaillent sur un projet de convention internationale sur le reporting », affirme Brice Lalonde, co-coordonnateur exécutif de la conférence des Nations unies sur le développement durable, lors d'un petit-déjeuner avec la presse, jeudi 13 octobre 2011. Cette conférence, dite Rio+20, aura lieu du 4 au 6 juin 2012 à Rio de Janeiro (Brésil). « J'ai demandé aux entreprises de se pencher sur le reporting, car il n'existe pas de formule unifiée et de fournir leurs demandes aux gouvernements et de convaincre leurs clients », ajoute-t-il.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.