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« Nicolas Sarkozy avait dit qu'il se positionnerait sur le non-renouvellement d'un poste sur deux au cours de sa campagne, c'est ce qu'il a fait, et ce, en portant l'effort sur l'enseignement primaire », déclare à AEF Luc Chatel, mercredi 29 février 2012, au lendemain du discours sur l'éducation du candidat de l'UMP à la présidentielle (AEF n°220312). S'il n'a pas prononcé le passage de discours annonçant l'arrêt des suppressions de postes dans le premier degré à partir de 2013, « le président l'a confirmé en conseil des ministres ce matin », précise Luc Chatel. L'entourage de Nicolas Sarkozy a également indiqué à AEF que le candidat n'a pas prononcé la phrase, pris dans « les hasards du direct » (AEF n°220272).
« Il n'y aura plus de suppressions de postes dans le premier degré à partir de 2013 », indique à AEF l'entourage de Nicolas Sarkozy, mercredi 29 février 2012. La veille à Montpellier (Hérault), le candidat UMP à l'élection présidentielle a présenté son programme sur l'éducation (AEF n°220312 et AEF n°220318), sans prononcer l'intégralité de son discours, dont ce passage sur les suppressions de postes dans le premier degré. « Ce sont les hasards du direct », explique l'entourage du candidat. « Un meeting ne présente pas l'ensemble d'un projet éducatif. C'est d'abord une relation entre un public et un orateur. » Pour autant, « il ne s'agit aucunement d'un renoncement ou d'une suspension de la RGPP », prévient l'entourage. Car « la révision générale des politiques publiques n'est pas 'le un sur deux', c'est une notion qualitative à laquelle nous ne renoncerons jamais car elle vise à optimiser le service public » (AEF n°227036).
« Je propose que désormais tout enseignant qui voudra travailler davantage puisse le faire avec 26 heures de présence dans l'établissement au lieu de 18 heures de cours aujourd'hui, avec en contrepartie une augmentation de son traitement de 25 %, soit près de 500 euros nets par mois », déclare Nicolas Sarkozy, président de la République et candidat UMP à l'élection présidentielle des 22 avril et 6 mai 2012, devant plus de 8 000 personnes, au Zénith de Montpellier (Hérault). Ce même jour, Nicolas Sarkozy s'est rendu, durant près de trois heures, à l'internat d'excellence de Montpellier, l'Idem, à la rencontre des élèves et de l'équipe éducative (AEF n°220335). À l'issue de son discours, Nicolas Sarkozy appelle « les Français » à « l'aider à faire gagner l'excellence contre la facilité ». Pour le candidat, s'il est réélu au soir du 6 mai 2012, l'école sera « la priorité des cinq années qui viennent ».
« Abaisser sans cesse le niveau du baccalauréat c'est le condamner et ouvrir la voie à la sélection à l'entrée de l'université. […] Cela n'a rendu service à personne. Le baccalauréat doit être la mesure de la capacité [des élèves] à suivre un enseignement supérieur. Il doit refléter une exigence plus élevée », déclare Nicolas Sarkozy, président de la République et candidat UMP à l'élection présidentielle, mardi 28 février 2012 au zénith de Montpellier (Hérault) lors d'un discours présentant les mesures de son programme pour l'éducation. « Grande institution républicaine », le baccalauréat ne doit pas être « supprimé » : « ce serait une erreur. » « Mais pour qu'il demeure, il faut que l'on s'accorde sur la signification qu'on lui donne », affirme Nicolas Sarkozy. Aussi, selon lui, « le temps est venu d'en débattre. »
« On a voulu les internats d'excellence pour que, quand dans les familles il y a des problèmes matériels, des disputes, vous puissiez être sereins et protégés et vous concentrer sur votre travail », déclare Nicolas Sarkozy devant six élèves de 1e scolarisées à l'Idem, l'internat d'excellence de Montpellier (Hérault), mardi 28 février 2012. Le président de la République et candidat UMP à l'élection présidentielle 2012 doit annoncer ce jour les principales mesures de son programme de campagne pour l'éducation au Zénith de Montpellier. Les internats d'excellence, dont le premier a ouvert en septembre 2010 à Sourdun (Seine-et-Marne) sont désormais au nombre de 26. 10 000 élèves y sont scolarisés, et « 20 000 l'an prochain » selon Nicolas Sarkozy, qui considère ces établissements comme les « laboratoires de l'école du futur ». Ainsi, selon l'entourage du président, des « bureaux de travail » vont être installés dans l'Idem à la rentrée prochaine. Ils permettront d'accueillir « trois à quatre enseignants » chacun. Nicolas Sarkozy avait déjà annoncé la création de tels bureaux lors de ses vœux aux acteurs de l'éducation à Chasseneuil-du-Poitou (Vienne) (AEF n°224438).
La Cour de cassation rappelle dans deux arrêts du 18 janvier 2023 que l’employeur doit mettre en œuvre les critères d’ordre des licenciements de manière loyale, objective et pertinente. Tel n’est pas le cas de la décision de l’employeur de valoriser, au titre des qualités professionnelles, un diplôme de langue de faible intérêt pour un poste administratif dans un établissement agricole, ou de pondérer le critère des charges de famille par tranches d’âge des enfants sans que cette distinction soit justifiée.