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Home| Social / RH| Politiques de l’emploi| Dépêche n°219453

Présidentielle 2012 : « Les vrais blocages ne viennent pas du peuple français, mais de certains syndicats » (Nicolas Sarkozy)

« J'ai compris que les vrais blocages ne viennent pas du peuple français, mais de certains syndicats, de certaines organisations, de certains, je dis bien certains, corps intermédiaires qui ont intérêt à l'immobilisme, au conservatisme par crainte d'un monde nouveau qui verrait diminuer leur influence », déclare Nicolas Sakozy, candidat UMP pour un second mandat présidentiel, dimanche 11 mars 2012, à Villepinte (Seine-Saint-Denis). À l'occasion de cette « réunion publique nationale », le chef de l'État réitère donc ses attaques contre les « corps intermédiaires » et son souhait, le cas échéant, de solliciter « l'avis des Français par référendum chaque fois que quiconque essaiera de parler en leur nom, au service d'intérêts qui ne seraient pas ceux de la nation tout entière ». D'une manière générale, dans le champ social, Nicolas Sarkozy a repris les thèmes abordés ces dernières semaines, sans en avancer de nouveaux.

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Présidentielle 2012 : Nicolas Sarkozy fait de l'emploi un des axes de sa candidature

« On aura une société qui sera organisée de la manière suivante : tous ceux qui ont la force, la santé pour travailler auront un emploi, tous ceux qui ont la force, la santé mais pas d'emploi, on les mettra en formation professionnelle et puis il y a ceux qui n'en peuvent plus parce que malades […] ou éloignés de l'emploi depuis trop longtemps, pour eux, il y aura la solidarité », explique Nicolas Sarkozy, mercredi 15 février 2012, à l'occasion de l'annonce de sa candidature à l'élection présidentielle sur TF1. De plus, « beaucoup de Français ont l'impression d'être dépossédés de leur pouvoir », estime le président de la République, qui veut « redonn[er] la parole au peuple par le référendum » ; « J'ai proposé que le premier référendum se [fasse] sur la question du chômage, de l'indemnisation des chômeurs et de la formation des chômeurs ».

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