En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
743 « logements-familles », 455 résidences spécialisées, 214 logements en accession sociale à la propriété. L'ESH et promoteur indépendant Polylogis (1) indique, jeudi 15 mars 2012, avoir livré 1 500 logements en 2011, ce qui porte son patrimoine à 59 906 logements : 35 755 logements sont notamment détenus par Logirep, 15 560 par Trois Moulins Habitat, 5 000 par Logiouest, 3 600 par Logistart, 2 000 places par Logirys. « Dans un contexte difficile et malgré un financement de l'État réduit, nous avons pu maintenir le cap de production pour répondre aux besoins importants de logements, notamment en zones tendues », explique Daniel Biard, président du comité exécutif du groupe. Avant d'ajouter que le niveau du taux d'intérêt du livret A, la hausse « modérée » des loyers dans son parc (2) et la plus-value de 15,5 millions d'euros réalisée sur la vente aux occupants - 218 logements vendus en 2011, dont les trois-quarts aux locataires du groupe - ont offert des conditions « favorables » à Polylogis pour financer ses projets.
Le groupe ICF, filiale logement de la SNCF, confie à Spie (concepteur, constructeur exploitant, mainteneur) (1) la rénovation énergétique de son projet pilote portant sur 64 logements à Schiltigheim (Alsace). Les deux partenaires signent ainsi leur premier CPE (contrat de performance énergétique) en logement social, font-ils savoir le 11 octobre 2011. Les travaux, répartis sur quatre bâtiments, débuteront dans une dizaine de jours. « Par des travaux consistant au remplacement des systèmes de chauffage des logements, à l'isolation par l'extérieur du bâtiment ou encore au remplacement des fenêtres par du triple vitrage emprisonnant du gaz argon, Spie s'engage sur une réduction de la consommation énergétique primaire des logements de 47 % », précise Gilles Morais, directeur délégué de Spie Est contacté par AEF Habitat et Urbanisme.
« Il faut préserver les quartiers sensibles, en faire de petits bijoux. C'est la philosophie de Logirep », assure Christian Giuganti. En ce sens, le directeur général de l'ESH, filiale du groupe Polylogis, se réjouit, en parcourant, vendredi 16 septembre 2011 le quartier des Marnaudes à Rosny-sous-bois (Seine-Saint-Denis), où le bailleur a inauguré, en février dernier, les quelque 80 logements neufs de la résidence Jean Mermoz, située au coeur de la place Saint Exupéry récemment créée par la ville : « Les effets de notre action sont déjà visibles et positifs. Le quartier des Marnaudes prend un nouveau départ. »
Le bailleur social Polylogis annonce, mardi 12 juillet 2011, le recrutement de trois cadres, au printemps dernier, à des « postes stratégiques d'encadrement » pour trois de ses filiales (1) : François Guidot en tant que directeur de la maintenance, de la réhabilitation et du renouvellement urbain de Logirep, société anonyme d'HLM en Île-de-France et Haute-Normandie, Stéphane Carini en tant que directeur général de Logistart, ESH du groupe spécialisée dans le logement des étudiants et des jeunes travailleurs ainsi que Sophie Briend comme directrice de la construction immobilière Logiouest, société anonyme d'HLM située dans les régions Pays-de-la-Loire et la région Centre.
« Nous nous attendions au minimum à voir la 'vocation sociale' de ce dispositif [l'usufruit locatif social] (1) défendue par ses promoteurs. Pas du tout […] », déplore auprès d'AEF Habitat et Urbanisme le Collectif des mal-logés à la suite de la réunion, mercredi 27 avril 2011, avec Alain Laurier, PDG de l'opérateur d'usufruit locatif social Perl, et Christophe Lacroix, représentant et directeur du développement et de la construction de Logirep, ESH filiale du groupe Polylogis qui gère 35 000 logements (AEF Habitat et Urbanisme n°242494). « Le PDG de Perl nous a expliqué que ce dispositif s'adresse à des gens avec des revenus 'relativement élevés', que les logements financés par ce biais ne répondront en aucun cas aux besoins des 70 % de demandeurs de logements sociaux qui ne peuvent accéder qu'à un PLAI [prêts locatifs aidés d'intégration] ou éventuellement un PLUS [prêt locatif à usage social], les seuls vrais logement sociaux. »