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EPF. L'EPF (ex-École polytechnique féminine) a ouvert, vendredi 9 mars 2012, son troisième site, dans le centre-ville de Montpellier. Installée historiquement à Sceaux, l'EPF avait ouvert, en septembre 2011, un site à Troyes sur le campus de l'UTT. L'équipe pédagogique est placée sous la direction de François Stephan, ancien directeur des études de l'Estaca. Le conseil régional Languedoc-Roussillon, qui souhaite développer le nombre d'ingénieurs sur le territoire, a investi un million d'euros dans...
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L'EPF (ex-École polytechnique féminine) va s'implanter à Montpellier et ouvrira ainsi sa troisième antenne en janvier 2012 (1), annonce Jean-Michel Nicolle, directeur de l'EPF, à AEF, mardi 17 mai 2011. Elle débutera par l'accueil d'une quarantaine d'élèves-ingénieurs issus de la promotion de 4e d'année de Sceaux (2). A terme, ce sont plus de 300 étudiants qui pourront suivre l'ensemble du cursus prévu sur cinq ans. Ils seront encadrés par une équipe d'une douzaine de permanents dont sept enseignants-chercheurs. Le campus montpelliérain accueillera de nouvelles options dans les domaines des technologies de « l'énergétique, eau et environnement », « l'entrepreneuriat et l'innovation » et « biomécanique et matériaux ». « Ce projet correspond à notre souhait de renforcer la diversité des profils de nos élèves, de favoriser leur mobilité géographique et d'enrichir nos spécialisations et notre recherche », explique Jean-Michel Nicolle. François Stéphan, ancien directeur des études de l'Estaca, prend la direction du site de Montpellier.
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« Un des buts de notre réforme pédagogique du cycle ingénieur engagée en 2008 est de remotiver des étudiants pour les enseignements traditionnels », indique Michel Ciazynski, directeur général de l'Isep (Institut supérieur d'électronique de Paris), une école d'ingénieurs privée, membre de la Fesic, mardi 26 octobre 2010 (AEF n°313346). « Nous avons décidé de consacrer en première année la moitié du volume d'enseignement à l'apprentissage par projet. Cela permet à l'étudiant de construire ses connaissances et de développer ses compétences », détaille Dieudonné Abboud, directeur de l'enseignement. « Par groupes de 6 ou 7, les étudiants, aidés par un tuteur, ont six mois pour réaliser un projet à caractère professionnalisant. Un semestre est consacré à l'informatique et l'autre à l'électronique et au signal », précise-t-il. Il s'agit par exemple de construire un robot ou un site internet.
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