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« En France, les salariés sont 80 % à ressentir du plaisir 'à venir travailler'. Ce résultat peut être corrélé à deux dimensions perçues de manière positive : 86 % mettent en avant les 'relations avec les collègues', 80 % soulignent l'importance de la nature et du contenu du travail. » C'est ce qu'indique le 20e baromètre de l'Observatoire du travail (BPI group/BVA/« L'Express »/Institut du Leadership) (1) consacré à la question suivante : « l'entreprise idéale existe-t-elle ? », rendu public jeudi 22 mars 2012. « Ce résultat ne doit pas pour autant faire oublier que les salariés ont des besoins et des attentes forts. Pour les Français, la première priorité est d'être mieux payé (exprimé par 42 % des salariés français par rapport à une moyenne internationale de 38,2 %). La deuxième priorité exprimée par les salariés français est la stabilité de l'emploi, sachant qu'ils sont 55 % à penser qu'ils auraient du mal à retrouver un emploi équivalent s'ils perdaient le leur aujourd'hui. »
Près de la moitié (47 %) des Français pensent pouvoir cesser de travailler avant l'âge de 62 ans tout en bénéficiant d'une retraite à taux plein. Ils sont même 14 % à estimer pouvoir partir en retraite avant l'âge de 60 ans, selon la 19e édition du sondage de « L'observatoire du travail BPI Group-BVA-L'Express », rendue publique jeudi 9 novembre 2011 et consacrée au thème de « l'allongement de la vie professionnelle ». Plus d'un salarié sur deux (53 %) évoque un âge supérieur à 62 ans pour bénéficier d'une retraite à taux plein. À l'inverse, près d'un salarié sur quatre (23 %) évoque un départ à plus de 65 ans. « Plus surprenant », selon les auteurs de l'enquête : 42 % des jeunes salariés de moins de 35 ans pensent pouvoir bénéficier d'une retraite à taux plein avant 62 ans. Pour les analystes à l'origine du sondage, ces réponses démontrent « le manque d'information et de connaissance des salariés sur le thème des retraites ».
« La crise a fragilisé l'image du manager, même si les salariés attendent encore beaucoup de celui-ci », selon les résultats de la quatrième édition de l'enquête internationale réalisée par BPI Group dans 11 pays, en collaboration avec l'institut BVA. Les résultats de cette enquête 2011, menée auprès de 6 800 salariés des secteurs publics et privés, sont rendus public à Paris, mardi 3 mai 2011. Moins d'un salarié sur quatre (22 %) a encore « une très bonne opinion » de son propre manager, soit une chute de 10 points par rapport à l'édition 2007 de l'enquête. C'est aux États-Unis que l'image du manager direct souffre le plus avec une chute de 20 points. C'est pourtant dans ce pays que la perception du manager direct reste la plus favorable avec 33 % de très bonne opinion contre 53 % en 2007. En France, 19 % des salariés gardent une très bonne opinion de leur manager direct, un chiffre stable par rapport aux 20 % de l'édition 2007.
« Les relations employeurs-employés sont marquées par un climat de défiance générateur de frustrations et de mal-être, et de non performance économique : de moins en moins de salariés osent aller à l'encontre des idées dominantes, cédant à un conformisme de façade contre-productif dans une économie de la connaissance où adhésion à la marche de l'entreprise et capacité d'innovation font la différence. » C'est ce que révèle la 18e édition (1) du sondage de l'Observatoire du travail BPI-BVA-L'Express, intitulée « Employeurs-salariés : vers un nouveau pacte social », rendue publique jeudi 24 mars 2011.
« Si 75 % des salariés interrogés ont plaisir à venir travailler, les indicateurs de lien au travail se dégradent continûment et soulignent de vraies frustrations sur le manque de reconnaissance des salariés au travail », indique Gaël Sliman, directeur de BVA Opinion, jeudi 17 juin 2010, lors de la présentation des résultats du baromètre de l'Observatoire du travail BPI-BVA-L'Express, sur « Le sens au travail ». Selon ce baromètre, tous les indicateurs se satisfaction se sont dégradés par rapport à la période 2003-2006. L'enquête a été réalisée par Internet auprès de 1 000 salariés représentatifs de la population active occupée du 28 avril au 6 mai 2010.