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Bernard Accoyer, président de l'Assemblée nationale « jusqu'au 17 juin prochain », pour Nicolas Sarkozy (UMP), Jean-Marie Le Guen, député de Paris (PS) pour François Hollande, et Jean-Jacques Jegou, ancien vice-président de la commission des Finances du Sénat, pour François Bayrou (MoDem) réagissent mercredi 21 mars 2012 aux propositions que le Leem avait adressées le 14 février dernier à chaque candidat déclaré à la présidentielle. Lors d'une manifestation de plus de trois heures, tenue au Palais de la Mutualité à Paris, en présence de nombreux cadres de l'industrie pharmaceutique, Christian Lajoux, président du Leem, a exhorté les candidats - via leurs portes-paroles - à ne pas prendre lors du prochain quinquennat de décisions qui puissent porter atteinte à la place de la France parmi les dix premiers acteurs mondiaux du médicament.
Les Français font plus confiance aux médicaments vendus sur ordonnance, aux médicaments remboursés et aux médicaments de marque qu'aux médicaments vendus sans ordonnance (70 % contre 95 % aux médicaments vendus sur ordonnance), aux médicaments non remboursés (77 % contre 94 %) et aux médicaments génériques (78 % contre 90 %). C'est l'un des enseignements de la 2e vague d'étude menée par Ipsos pour le Leem sur le rapport des Français au médicament dont les résultats sont présentés ce lundi 12 mars 2012. Par rapport à d'autres industries (automobile, agro-alimentaire, banque et assurance, etc), l'industrie du médicament bénéficie plutôt globalement d'une bonne image (60 % de « très bonne » et « assez bonne » image, 69 % pour l'automobile et 25 % pour la banque et l'assurance). Les entreprises du médicament sont appréciées pour leur « innovation » (69 % en hausse de 2 points par rapport à 2011), parce qu'elles « jouent un rôle important dans l'augmentation de l'espérance de vie » (73 %) et qu'elles fournissent « des médicaments de qualité » (74 %). En revanche, elles sont jugées sévèrement dans leur rapport au profit : 91 % des sondés estiment qu'elles ont « pour objectif de faire des profits », 83 % (+7 points par rapport à 2011) qu'elles « ne font de la recherche que pour les médicaments financièrement rentables » et qu'elles sont « plus soucieuses de leurs bénéfices que des malades ».
Le Leem, syndicat des industriels du médicament, réagit à l'adoption lundi 19 décembre 2011 par le Parlement de la loi renforçant la sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé en rappelant le soutien apporté par les entreprises du médicament à « l'ensemble des mesures touchant à la sécurité sanitaire et à la protection des patients, ainsi qu'à la transparence des liens d'intérêts. » Elles « regrettent toutefois que le débat ait été trop souvent l'occasion d'une stigmatisation d'une activité industrielle de haute technologie ». « Dans ce débat, l'amalgame l'a souvent emporté, au détriment d'une perception objective de la réalité de cette industrie et de son apport à la société », estime en effet le Leem.
Le Leem, syndicat de l'industrie pharmaceutique, publie, vendredi 2 septembre 2011, une tribune, « Médicament : ne nous trompons pas d'enjeu ! » dans 61 titres de la presse quotidienne régionale. Son objectif est « d'attirer l'attention des Français sur les risques de détournement des enjeux de santé publique, à l'occasion de l'examen prochain, par le Parlement, du projet de réforme du médicament et du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) ». Le syndicat dénonce « les conditions plus restrictives d'obtention des autorisations temporaires d'utilisation des médicaments » pour les patients « atteints de pathologies lourdes », « les nouvelles règles régissant la visite médicale » qui menacent « directement des milliers d'emplois », « l'annonce de l'alourdissement de la pression fiscale sur l'industrie pharmaceutique qui ne peut être considéré comme un facteur de progrès pour la sécurité sanitaire ».
« Le rapport de l'Igas [sur le Mediator] n'est pas emblématique et n'a pas valeur d'exemple, en l'occurrence de mauvais exemple ; pour autant il nous interpelle sur certains dysfonctionnements », déclare lundi 31 janvier 2011 Christian Lajoux, président du Leem, à l'occasion d'une cérémonie des voeux tenue le jour de la publication par l'Afssaps d'une liste de 77 médicaments faisant l'objet d'une surveillance renforcée en France. Christian Lajoux indique qu'il a invité le conseil d'administration du Leem « à prendre une décision de suspension de Servier » une fois le rapport de l'Igas publié le 15 janvier dernier « pour leur permettre d'assurer leur défense et nous permettre de nous mettre à disposition des autorités pour réfléchir et faire des propositions d'amélioration ». Les laboratoires Servier n'ont ainsi « plus aucune activité au sein du Leem », qu'il s'agisse de groupes de travail ou de fonctions de responsabilité au sein du syndicat qui regroupe les 270 laboratoires ayant une activité en France.
Le Conseil d'État confirme le 22 mars 2023 l’annulation de l’homologation du document unilatéral relatif au plan de sauvegarde de l’emploi de l’Afpa, au motif que l’administration n’a pas vérifié le respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs. Les hauts magistrats précisent à cette occasion l’étendue du contrôle par l’administration, à l’occasion de l’examen d’un PSE, du respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques psychosociaux.