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« Il y a encore beaucoup d'idées reçues, de craintes sans fondement de certains acteurs sur l'usufruit locatif social. L'ULS ne concurrence pas les modes traditionnels de financement de logements conventionnés », fait valoir Frédéric Goulet. Lors d'un entretien accordé à AEF Habitat et Urbanisme, vendredi 9 mars 2012, le co-fondateur de Perl (Patrimoine épargne retraite logement), principal opérateur d'ULS, et président de l'association Pulse représentant les professionnels du secteur, revient sur l'histoire de ce dispositif qui, à terme, pourrait représenter chaque année « 5 à 10 % des constructions de logement social » soit « 5 000 à 7 000 logements ». Depuis sa création en 2006, une centaine de programmes représentant 2 500 logements ont été lancés par ce biais. Malgré ce « succès », Frédéric Goulet explique que communiquer sur l'ULS pour rassurer les acteurs est encore aujourd'hui nécessaire, tout comme le sont certains aménagements au dispositif.
L'association Pulse, représentant les professionnels de l'ULS (usufruit locatif social), publie, mercredi 15 février 2012 sur son site internet, « Les clés de l'ULS ». Le fascicule d'une quarantaine de pages, structuré autour des « trois enjeux majeurs » auxquels sont confrontées les collectivités territoriales - loger leurs actifs des classes moyennes, développer économiquement leur territoire et soulager les finances publiques en faveur du logement - fait le point sur le dispositif et ses perspectives de développement. Selon Pulse, l'ULS qui a permis, depuis 2005, la production de 2 500 logements sociaux, dans des zones tendues en mobilisant l'épargne des particuliers, devrait à terme permettre de financer la création de 5 000 à 7 000 logements chaque année, soit 5 à 10 % de production supplémentaire de logements sociaux.
Le logement arrive en troisième position des préoccupations des Français locataires après le travail et la santé, indique un sondage, réalisé par Ifop pour le compte de l'association Pulse qui rassemble les professionnels de l'usufruit locatif social (Fidexi, I-Plus, Vivalib, Perl) (1) et rendu public mercredi 19 octobre, à l'issue des cinquièmes rencontres nationales de l'ULS (Usufruit locatif social) (2). Près de 50 % des ménages interrogés indiquent qu'ils consacrent au paiement de leur loyer de 30 à 50 % de leur revenu disponible.
Le collectif des mal logés en colère indique avoir occupé pendant « quelques heures », dans la matinée de jeudi 19 mai 2011, le Pavillon de l'Arsenal, « vitrine parisienne de la politique du logement de la municipalité », jusqu'à obtention d'un rendez-vous jeudi 26 mai 2011 à 14 heures avec la directrice générale de l'Apur (Atelier parisien d'urbanisme), Dominique Alba. Contactée par AEF Habitat et Urbanisme, l'Apur confirme la date de cette rencontre. L'Atelier s'est engagé lors de ce rendez-vous à fournir des chiffres précis sur le nombre de logements produits concernés par l'acquisition-conventionnement et l'ULS (usufruit locatif social) (1), assure Éric Simon, membre du collectif contacté par AEF Habitat et Urbanisme (AEF Habitat et Urbanisme n°242278).