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Parmi les 739 000 jeunes sortis de formation initiale en 2007, « 17 % sont titulaires d'un CAP ou d'une mention complémentaire et 23 % sont titulaires du baccalauréat (11 % d'un bac professionnel ou technologique tertiaire, 7 % d'un bac professionnel ou technologique industriel, et 5 % d'un baccalauréat général) », tandis que 42 % sont titulaires de l'enseignement supérieur et 18 % quittent le système éducatif sans diplôme, indique le Cereq dans son enquête 2010 portant sur la « génération 2007 » (1). Ces résultats ont été rendus publics mardi 24 avril 2012 dans l'ouvrage « Quand l'école est finie. Premiers pas dans la vie active d'une génération ». Le Céreq avait dévoilé en avril 2011 les premières tendances de cette enquête (AEF n°243827).
« La suppression du BEP depuis 2009 confère désormais [au CAP] une place unique dans l'offre de formation de niveau V. En trois ans, le nombre d'inscrits en formation scolaire a d'ailleurs progressé de 21 points, et sur la même période les poursuites d'études vers le bac pro ont doublé. On peut se demander si le CAP ne va pas jouer à l'avenir un rôle de tremplin pour l'accès au bac pro des élèves les plus en difficulté. En d'autres termes, ne se recrée-t-il pas une filière de formation en quatre ans ? », interroge le Cereq dans une étude datée de janvier 2012 et intitulée « Le CAP, disparition ou renaissance ? » Aussi, en 2011, le CAP demeure le diplôme « proposant le plus grand nombre de spécialités au sein de l'offre du ministère de l'Éducation nationale » même si en 20 ans « 138 ont été supprimées pour des raisons variées : disparition de certains métiers obsolètes, regroupement de certaines options, ou encore remplacement par des brevets d'études professionnelles (BEP) ».
« Les parcours scolaires des jeunes ruraux se distinguent de ceux des urbains par des études moins longues, une préférence marquée pour le professionnel, des ambitions scolaires plus réduites. Ces disparités s'expliquent par l'environnement socio-économique et la faiblesse de l'offre de formation en zone rurale », indique une note du Céreq intitulée « La course d'orientation des jeunes ruraux », datée de septembre 2011. « La moitié des 15-17 ans doivent chaque jour accomplir en moyenne 18 km pour se rendre dans leur établissement scolaire. »
"Si les inégalités d'insertion selon le niveau perdurent, la position relative des titulaires d'un CAP ou d'un BEP s'est quant à elle nettement détériorée." C'est l'une des principales conclusions de l'étude "Génération 2004" menée par le Céreq au printemps 2007 auprès de 65 000 jeunes parmi les 705 000 jeunes sortis pour la première fois du système éducatif en 2004. Les premiers résultats de l'enquête, présentés ce jeudi 21 février 2008 par Christian Forestier, président du conseil d'administration du Céreq, Alberto Lopez, chef du département "Entrée dans la vie active", ainsi que Florence Ryk et Olivier Joseph, tous deux chargés d'étude au Céreq, sont issus de l'exploitation d'un échantillon national de 35 000 individus sortis de tous les niveaux de formation et de 30 000 autres individus interrogés pendant l'enquête dans le cadre "de demandes spécifiques de régions et de ministères". En attendant la publication d'une synthèse complète de l'étude en septembre 2008 sous le titre "Génération 2004", une analyse détaillée de l'insertion professionnelle des jeunes trois ans après leur sortie de l'enseignement supérieur paraîtra en juin 2008.
À l’université de Bordeaux, la mise en place de la nouvelle équipe présidentielle de Dean Lewis a conduit les collèges DSPEG et Sciences et technologies à renouveler leurs directions. Jean-Christophe Saint-Pau, doyen de la faculté de droit et président de la conférence des doyens de droit et de science politique depuis 2019, a été élu le 7 juin 2022 à la tête du collège DSPEG. Il y succède à Samuel Maveyraud, devenu vice-président finances et moyens. Christophe Champion, directeur de l’unité de formation de physique, a été porté le 16 juin à la tête du collège bordelais S&T, en remplacement de Pascal Lecroart, désormais VP formation et vie universitaire. Les deux autres collèges d’UBx conservent leurs directions inchangées : Virginie Postal-Le Dorse (Sciences de l’homme) et Jean-Luc Pellegrin (Santé).