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Home| Social / RH| Formation professionnelle| Dépêche n°215823

L'Institut Montaigne propose de moduler le montant de la contribution formation en fonction du volume de formations dispensées

« Le manque de mobilité et la rigidité de notre droit du travail sont générateurs de stress. » C'est le postulat que retient l'Institut Montaigne, dans une étude publiée mercredi 2 mai 2012, consacrée à l'insatisfaction au travail. Son auteur, l'économiste Étienne Wasmer (1), considère en effet que « le fait de ne pas pouvoir changer d'environnement professionnel lorsque les relations se dégradent conduit mécaniquement à du stress et des tensions ». Il plaide donc pour que soient favorisées les mobilités professionnelles choisies, ce qui suppose notamment un accompagnement en amont par la formation professionnelle.

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