En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
« Nous voulons aller au contact des entreprises à taille humaine qui se développent dans le cadre de la loi », annonce à AEF Sécurité globale Claude Tarlet, président de l'USP, après sa réélection dans cette fonction, jeudi 19 avril 2012 lors de l'assemblée générale de l'organisation (AEF Sécurité globale n°216566). Claude Tarlet préside le syndicat depuis sa création, en décembre 2003. L'USP indique fédérer entre 60 et 70 entreprises. Le mandat du président est désormais de trois ans, contre deux ans pour les élections précédentes, une durée qui est apparue plus cohérente pour le syndicat, notamment du fait des futures échéances pour la sécurité privée et la réforme attendue de la loi du 12 juillet 1983 réglementant les activités privées de sécurité (AEF Sécurité globale n°223318).
L'ancien commissaire de police Pierre-Antoine Mailfait, à la retraite depuis le 31 décembre (AEF Sécurité globale n°235378), devient secrétaire général de l'USP (Union des entreprises de sécurité privée), lundi 2 janvier 2012. « Il sera chargé de développer une offre de service renouvelée à l'adresse de nos adhérents », indique à AEF Sécurité globale le président de l'organisation, Claude Tarlet. « Il sera appuyé par Christophe Salmon, conseiller de l'USP en charge du développement et du lobby auprès des acteurs économiques », poursuit-il. Selon Pierre-Antoine Mailfait, « face à une situation tendue, les entreprises doivent élaborer des business plans pour assurer leur survie. Notre rôle, la valeur ajoutée d'une organisation patronale, c'est de leur fournir des éléments prospectifs à moyen et long termes. Les entreprises aujourd'hui ne peuvent pas se contenter d'être réactives. »
« Dans l'intérêt de la profession, un travail avec plus d'unité, un rapprochement serait bienvenu » entre l'USP (Union des entreprises de sécurité privée) et le Snes (Syndicat national des entreprises de sécurité), affirme Jean-Louis Blanchou, délégué interministériel à la sécurité privée, jeudi 10 novembre 2011. Il s'exprimait lors d'un séminaire de l'USP (AEF Sécurité globale n°228450) qui se tenait le même jour que le congrès du Snes (AEF Sécurité globale n°228423). « À ce stade, nous avons mis en place des structures, des outils. Il y a des attentes fortes, il est temps d'entrer dans une phase de rapprochement et d'action commune. Ce serait mieux d'avoir une réduction du nombre de partenaires et d'avoir des partenaires qui parlent d'une même voix », ajoute-t-il.
Des représentants du personnel qui soupçonnent, au vu de leur évolution au regard de la moyenne des salaires de leur catégorie, une discrimination syndicale, peuvent saisir le juge sur le fondement de l’article 145 du code de procédure civile pour obtenir des éléments nominatifs sur leurs collègues de travail afin de pouvoir "effectuer une comparaison utile". C’est ce que rappelle la Cour de cassation le 1er juin 2023. Elle ajoute que la résistance de l’employeur à communiquer ces éléments peut justifier qu’il soit condamné à payer des frais au titre de l’article 700 du CPC.