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Le tribunal de grande instance (TGI) de Marseille a prolongé de six mois, mercredi 9 mai 2012, la période d'observation du Grand conseil de la mutualité (GCM), en redressement judiciaire depuis novembre 2011 (AEF n°228441) et (AEF n°228902), indique à AEF Jean-Marc Maillard, secrétaire (CGT) du CE du groupe mutualiste. Le sort du GCM sera à nouveau évoqué le 12 juin devant cette juridiction qui « examinera lors d'une audience intermédiaire l'état d'avancement du plan deredressement », indique de son côté la direction du GCM dans un communiqué, jeudi 10 mai. « Une épée de Damoclès pèse toujours » sur les onze centres de santé et la clinique mutualiste gérés par le GCM dans les Bouches-du-Rhône, commente Jean-Marc Maillard, en estimant que ce nouveau délai « offre un répit ».
Le Tribunal de grande instance (TGI) de Marseille a mis en délibéré au 9 mai 2012 sa décision sur la demande de renouvellement de la période d'observation de la procédure de redressement judiciaire du Grand conseil de la mutualité. En cessation de paiement depuis le 3 novembre 2011 (AEF n°228902), le GCM a été placé en redressement judiciaire pour une période de six mois renouvelable une fois, le 10 novembre 2011(AEF n°228441). Selon Sandra Cammilleri-Allais, présidente de ce réseau de soins, « les premiers résultats concrets de la procédure ont été relevés par tous les intervenants » au cours de l'audience qui se déroulait à huis-clos. « Ils ont tous souligné qu'il convenait de poursuivre la restructuration qui nécessitera des décisions difficiles et des efforts conséquents pour parvenir à la préservation de l'entreprise », indique-t-elle dans un communiqué publié à l'issue de l'audience, mardi 10 avril 2012.
« Le ministère de la Santé a décidé de diligenter une mission d'étude, confiée à l'Igas, sur la situation du Grand conseil », annonce dans un communiqué Sandra Cammilleri-Allais, présidente du Grand conseil de la mutualité (groupe des Mutuelles de France), vendredi 27 janvier 2012. En cessation de paiement depuis le 3 novembre 2011 (AEF n°228902), le GCM a été placé en redressement judiciaire par le TGI (tribunal de grande instance) de Marseille pour une période de six mois renouvelable une fois, 10 novembre 2011 (AEF n°228441). Gestionnaire de la Mutualité dans les Bouches-du-Rhône de onze centres de santé et de deux cliniques, ce réseau a enregistré un déficit de quatre millions d'euros en 2010 et annonçait un déficit prévisionnel de 4,5 millions d'euros fin 2011. Il emploie 1 200 salariés et réalise un chiffre d'affaires de 80 millions d'euros.
Le tribunal de grande instance de Marseille a nommé un administrateur judiciaire, mercredi 9 novembre 2011, pour « accompagner le Grand conseil de la mutualité dans son redressement », indique dans un communiqué Sandra Cammilleri-Allais, présidente du GCM (groupe des Mutuelles de France), qui s'est déclaré en cessation de paiement le 3 novembre 2011 (AEF n°228902). Le tribunal, qui a fixé la durée de la période d'observation à six mois, renouvelable une fois, a « estimé que notre situation était surmontable, que les objectifs que nous poursuivons sont accessibles et que nous pouvions dégager les ressources pour les atteindre », écrit la présidente du GCM, gestionnaire de la Mutualité dans les Bouches-du-Rhône de onze centres de santé et de deux cliniques.
Le Grand conseil de la mutualité (GCM, groupe des Mutuelles de France), gestionnaire de la Mutualité dans les Bouches-du-Rhône de onze centres de santé et de deux cliniques, s'est déclaré en cessation de paiement devant le TGI (tribunal de grande instance) de Marseille, jeudi 3 novembre 2011. Ce réseau, qui emploie 1 200 salariés et réalise un chiffre d'affaires de 80 millions d'euros, a enregistré un déficit de quatre millions d'euros en 2010, qui devrait atteindre 4,5 millions d'euros fin 2011. Mardi 8 novembre, lors de l'audience prévue au tribunal, le GCM veut « défendre un plan de redressement crédible » ainsi que la « réorganisation » de ses métiers autour du sanitaire sur les « valeurs » qu'il promeut, déclare sa présidente, Sandra Cammilleri-Allais, qui identifie « principalement deux faiblesses » : l'activité hospitalière et la médecine générale.