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Erika : les régions Bretagne et Pays-de-la-Loire s'expriment sur les enjeux du jugement de la Cour de cassation du 24 mai

Jean-Yves Le Drian et Jacques Auxiette, respectivement présidents (PS) des conseils régionaux de Bretagne et des Pays-de-la-Loire, et leurs avocats (Jean-Pierre Mignard, Patrice Spinosi et Corinne Lepage) se sont exprimés, mercredi 9 mai 2012 à Paris, sur les enjeux de l'audience à la Cour de cassation concernant le procès de l'Erika, qui aura lieu le 24 mai prochain. À l'origine de cette audience, l'appel de Total et des autres personnes (1) mises en cause dans le naufrage du pétrolier au large de la Bretagne en décembre 1999, de leur condamnation au pénal par la cour d'appel de Paris en mars 2010 (AEF n°272479), après une condamnation en première instance en 2008 par le tribunal de grande instance de Paris. Le jugement sera mis en délibéré et prononcé dix jours à trois semaines plus tard. Dans un avis rendu en février dernier, l'avocat général se prononce sur une triple cassation du jugement, dont sa « cassation sans renvoi » « à titre principal ».

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Erika : « Le procès d'intention qui est fait à Total est sans aucun fondement » selon le groupe pétrolier

« Il n'y a eu aucune ‘entente' avec l'Etat », déclare vendredi 6 avril 2012 le groupe Total dans un communiqué. Il réagit à un article paru dans « Libération » le même jour, selon lequel la Cour de cassation pourrait annuler le jugement qui avait condamné pénalement Total en appel dans le procès de l'Erika. Le quotidien s'appuie sur l'avis de l'avocat général et le rapport préparatoire au débat contradictoire devant la cour, qu'il s'est procurés. L'avocat général fonde son avis sur le fait que le naufrage n'a pas eu lieu dans les eaux territoriales françaises mais en ZEE (zone économique exclusive), et que le navire battait pavillon maltais, ce qui retirerait toute possibilité de poursuite à la justice pénale. « Il pèse sur cette affaire des soupçons d'entente entre l'État et Total pour faire pression sur les collectivités locales parties civiles afin qu'elles acceptent d'encaisser sous le manteau plutôt que sous le sceau d'une décision de justice pour les indemnités prévues », relève encore le quotidien.

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RSE et Gouvernance

Aperçu de la dépêche Aperçu
Procès de l'Erika : « Nous n'avons pas dit notre dernier mot » (Corinne Lepage, avocate de collectivités locales)
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URGENT. Procès en appel de l'Érika : Total condamné pénalement mais pas civilement

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