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Le Leem, l'organisation professionnelle des entreprises du médicament en France (1), réaffirme l'engagement du secteur en matière de RSE en signant, jeudi 10 mai 2012, une nouvelle « convention d'engagement volontaire » dans le cadre du Grenelle de l'environnement, pour la période 2012-2014, avec les ministères de l'Écologie et du Travail. La fédération patronale s'y engage notamment à « promouvoir la diversité et l'amélioration continue des conditions de travail », précise le gouvernement dans un communiqué.
Sept cadres sur dix (71 %) pensent que le calcul de la performance ne peut reposer exclusivement sur les résultats financiers de l'entreprise. C'est également l'avis de 92 % des jeunes actifs issus de la génération Y. C'est ce que révèle une enquête mondiale réalisée par DTTL (Deloitte Touche Tohmatsu Limited), rendue publique jeudi 26 janvier 2012, à l'occasion du Forum économique mondial de Davos. Le cabinet a interrogé 390 cadres supérieurs (1), ainsi que 1 000 jeunes issus de la génération Y, sur la place de l'entreprise dans la société, et notamment son impact et sa capacité à jouer un rôle sociétal. Alors que les notions les plus valorisées pour décrire la performance par les dirigeants sont « profit », « richesse », ou encore « emploi », les jeunes de la génération Y préfèrent parler de « développement durable », d' « innovation », et de « progrès social ».
« L'excellence de l'engagement des entreprises dans des politiques de responsabilité sociale, comme la non-discrimination, obéit à des choix stratégiques, et n'a souvent pas grand chose à voir avec le secteur d'activité ou encore la nationalité des structures. C'est l'attitude des équipes de direction et la qualité du dialogue social qui font la différence », indique Kristine Stevenson, analyste au sein du cabinet de notation extra-financière Vigeo, qui présente lors d'un colloque dédié à la responsabilité sociale, jeudi 15 septembre 2011, deux études réalisées en collaboration avec l'OIT, sur les pratiques et la performance des grandes entreprises européennes (1) en matière de non-discrimination et lors de restructurations.
« Pour la troisième année consécutive, l'industrie du médicament connaît une baisse de ses effectifs en 2010 (estimée à -1,8 % en 2010, soit une perte de 1 959 emplois, contre -1,7 % en 2009). » C'est ce qu'indique le bilan « Économie & Emploi » du Leem (Les Entreprises du médicament), publié mardi 21 juin 2011. Ce bilan « agrège les données les plus récentes sur le secteur, et les met en perspective au travers d'analyses et d'explications détaillées », précise l'organisation. « Toutefois, les entreprises du médicament continuent de recruter. Le nombre des embauches en 2009 s'est élevé à près de 9 000 personnes (dernières données disponibles). »
Quels objectifs se sont fixés les services RH des entreprises en matière de développement durable ? Quelles sont les pratiques en vigueur ? Comment et pourquoi les mettent-elles en place ? Telles sont les questions auxquelles ont tenté de répondre les intervenants réunis pour un débat sur le développement durable des ressources humaines, organisé par le groupe RH de l'association des Sciences Po mercredi 15 juin 2011 à Paris. Au-delà des obligations légales en matière de handicap, d'emploi des seniors ou encore de risques psychosociaux, certaines tentent de valoriser et de véhiculer au sein de leurs équipes des idées et valeurs fortes afin de mener la politique de gestion des salariés la mieux adaptée.
Développer et anticiper les besoins en compétences, miser sur la mobilité professionnelle ou encore agir pour l'emploi des seniors et des salariés handicapés. Telles sont les grandes lignes de la politique sociale menée en 2010 par le Leem (Les entreprises du médicament), que l'organisation présente dans son sixième rapport RSE, selon un communiqué du 13 mai 2011. « Le développement de nos entreprises ne doit plus, ne peut plus s'exonérer d'une approche responsable et éthique de chacune de nos activités. […] La RSE est un levier stratégique pour nos entreprises », y explique Christian Lajoux, président de la fédération patronale.
« Près de la moitié des entreprises du CAC 40 indexe la rémunération des dirigeants sur des critères RSE » (responsabilité sociale et environnementale), indique le 3e Baromètre RSE 2011 des groupes du CAC 40, publié par Capitalcom le 29 mars 2011. Cette troisième édition « révèle une intégration croissante des dimensions économique, environnementale et sociale, avec notamment une montée en puissance des enjeux sociaux au sein des groupes du CAC 40 », souligne cette agence de communication Intégrée (corporate, financière et extra-financière). Pour sa présidente, Caroline de la Marnierre, « bien que le grand débat sur le partage de la valeur ajoutée soit loin d'être tranché, on dira cependant que la performance sociale et la performance financière sont appelées à faire bon ménage ! »