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« Ce qui est certain, c'est que la mobilisation contre Notre-Dame-des-Landes ne va pas mollir », réagit auprès d'AEF Développement durable Martine Laplante, présidente des Amis de la Terre France, mardi 15 mai 2012, à propos de la nomination du maire (PS) de Nantes Jean-Marc Ayrault comme Premier ministre (AEF n°215053). « Nous allons faire de ce dossier un premier rapport de force », assure la représentante associative. « Qu'est-ce que cette nomination va changer? Rien. Nous continuerons à nous battre sur le fond du dossier », tranche pour sa part Geneviève Coiffard-Grosdoy, membre d'Attac France.
« Les coûts d'un nouvel aéroport à Notre-Dame-des-Landes excèdent les bénéfices », écrit le cabinet néerlandais CE Delft dans une étude réalisée pour le CéDpa (prononcer Cédépa, collectif d'élus doutant de la pertinence de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes), présentée mercredi 26 octobre 2011. Le collectif constitué en 2009, opposé à l'aéroport, « regroupe près de 1 000 élus de nombreuses sensibilités politiques, du NPA à l'Alliance centriste, en passant par le PS, le Parti de gauche, Europe Ecologie les Verts, les Alternatifs, le Modem, des sans étiquettes », de Loire-Atlantique pour la moitié d'entre eux. CE Delft conclut que « l'amélioration de [l'aéroport existant] Nantes Atlantique présente un moindre risque de dépassement des coûts que la construction d'un nouvel aéroport ». Le CéDpa appelle à abroger la déclaration d'utilité publique du projet, prononcée en 2008.