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Le Conseil éducation, jeunesse et culture du Conseil de l'UE, s'est réuni les 10 et 11 mai 2012 pour examiner « Erasmus pour tous », la proposition de la Commission européenne visant à remplacer sept programmes actuels de mobilité européenne par un seul (1). Le Conseil, qui rassemble trois à quatre fois par an les ministres de l'Éducation, de la Culture, de la Jeunesse et de la Communication, rappelle qu'« au lieu d'être organisé principalement par secteur (enseignement scolaire, enseignement supérieur, projets pour la jeunesse, etc.), le nouveau programme portera sur trois types d'actions clés : mobilité à des fins d'apprentissage, coopération en matière d'innovation et de bonnes pratiques et soutien à la réforme des politiques. » Par ailleurs, le programme devrait mettre l'accent « sur les activités qui produisent un effet systémique et créent une réelle valeur ajoutée européenne, tandis que des efforts seront déployés afin de rationaliser la gestion du programme et les procédures administratives » (AEF n°227505).
L'EUA (Association européenne des universités) « salue la proposition de hausse budgétaire » dans le domaine de l'enseignement supérieur formulée par la Commission européenne. L'association réagit à la présentation par la Commission de son nouveau programme baptisé « Erasmus pour tous » (AEF n°227505). Prévu pour remplacer sept programmes actuels (1), « Erasmus pour tous » disposerait d'un budget « revu nettement à la hausse » puisque « la Commission propose une augmentation budgétaire d'environ 70 % par rapport au budget actuel sur sept ans ». Cela se traduirait par une affectation de 19 milliards d'euros au nouveau programme pour la période 2014-2020. Selon l'EUA, cela « démontre que l'UE compte réellement atteindre les objectifs qu'elle s'est fixée pour 2020, en particulier en ce qui concerne l'éducation et la formation » (2).
« Les engagements budgétaires présentés sont loin d'être suffisants, notamment pour atteindre l'objectif intergouvernemental de 20 % de mobilité en 2020. » C'est ainsi que réagit la Fage, membre de l'ESU après la publication, mercredi 23 novembre 2011, des propositions de la Commission européenne pour son nouveau programme baptisé « Erasmus pour tous » (AEF n°227505). Prévu pour remplacer sept programmes actuels (1), « Erasmus pour tous » disposerait d'un budget « revu nettement à la hausse » puisque « la Commission propose une augmentation budgétaire d'environ 70 % par rapport au budget actuel sur sept ans ». Cela « signifierait une affectation de 19 milliards d'euros au nouveau programme pour la période 2014-2020. » Parmi les nouveautés, la Commission propose notamment de mettre en place « un mécanisme de caution de prêts visant à aider les étudiants en master à financer leurs études à l'étranger ». La Fage estime que se système « s'oppose fondamentalement aux conditions nécessaires d'une démocratisation de l'enseignement supérieur européen et d'une égalité des chances face à la réussite des études ».
« Le programme 'Erasmus pour tous' réunirait tous les mécanismes européens et internationaux actuellement mis en oeuvre pour l'éducation, la formation, la jeunesse et le sport, remplaçant à lui seul sept programmes actuels. » C'est la description que fait la Commission européenne, mardi 23 novembre 2011, de son nouveau programme appelé « Erasmus pour tous ». Celui-ci, dont le lancement est prévu en 2014, doit remplacer les programmes « Éducation et formation tout au long de la vie » (Erasmus, Leonardo Da Vinci, Comenius, Grundtvig), « Jeunesse en action », « Erasmus Mundus », « Tempus », « Alfa », « Edulink » et le programme de coopération bilatérale avec les pays industrialisés. Présenté comme une « structure rationalisée », « Erasmus pour tous » vise à renforcer « considérablement les possibilités de mobilité et de coopération » pour les étudiants, les stagiaires, les enseignants, les formateurs et les éducateurs « souhaitant partir étudier, se former, enseigner ou travailler comme bénévoles à l'étranger ».
« Le budget de l'Union européenne peut apporter une véritable valeur ajoutée en favorisant la mobilité, en facilitant la coopération et l'échange des pratiques exemplaires et en soutenant les États membres dans la modernisation de leurs systèmes d'éducation et de formation ». C'est ce qu'indique la Commission européenne dans une communication adressée aux institutions européennes (1). Dans ses propositions pour le budget 2014-2020 de l'UE, la Commission souhaite ainsi « que le budget de l'UE soutienne l'éducation ». Pour ce faire, elle propose une dotation de 15,2 milliards d'euros pour la création d'un nouveau programme baptisé « Europe éducation ». « Ce programme réunira les sous-programmes actuellement distincts du programme 'Éducation et formation tout au long de la vie', les programmes internationaux dans le domaine de l'enseignement supérieur - notamment Erasmus Mundus - et Jeunesse en action », précise la Commission.
La Commission européenne lance une consultation publique sur la modernisation de l'enseignement supérieur, la recherche et l'innovation en Europe d'ici 2020. Cette consultation ouverte aux différents acteurs de l'enseignement supérieur européen se terminera le 15 mars prochain. L'enquête propose notamment de classer par ordre d'importance « une liste de priorités politiques potentielles », « qui tient compte des questions déjà abordées dans la communication de la Commission européenne de 2006 » (AEF n°396746 ).
La Commission européenne vient de publier son programme de travail pour l'année 2011. S'agissant de l'enseignement supérieur, elle annonce la publication d'une communication sur « la modernisation de l'enseignement supérieur en Europe ». Ce texte aura pour objectif de réviser les objectifs fixés dans la précédente communication écrite par la Commission sur le sujet en 2006 (AEF n°396746) « et d'en proposer d'autres pour l'avenir ». « Le document pourrait inclure des propositions relatives à un système de transparence et de classement pour les établissements d'enseignement supérieur », ajoute la Commission européenne.
"On parle souvent d’augmenter le salaire minimum pour mieux valoriser les carrières des salariés les plus faiblement rémunérés." Mais "on devrait aussi porter une attention plus soutenue" aux minima conventionnels, "qui bloquent, par un mécanisme complexe de 'plancher collant', les salariés au niveau du Smic malgré leur progression de carrière", constate Terra Nova dans une note publiée le 28 juin 2022. Pour y remédier, le think tank recommande de réserver l’application de certaines exonérations de cotisations aux branches dont le premier niveau est conforme au Smic.