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« L'Anfa s'est investie dans le système Ecvet (European credit for vocational education and training) [1] car c'était une opportunité pour aller vers une validation des acquis obtenus lors des formations à l'étranger », explique à l'AEF Didier Gélibert, chef du service relations internationales de l'Anfa, l'Opca des services de l'automobile, et membre du secrétariat du réseau Ecvet, lors du Forum Ecvet organisé à Bruxelles les 31 mai et 1er juin 2012 par la Commission européenne et le Cedefop (centre européen pour le développement de la formation professionnelle) ayant pour thématique « Construire la communauté de pratique Ecvet » (AEF n°213766). « Pour la branche, c'est intéressant de regarder ce qui se fait dans d'autres pays européens et de voir ce que les partenaires sociaux peuvent mettre en place en France », affirme à l'AEF Stéphane Rivière, président (CFE-CGC) de l'Anfa. « Les services de l'automobile ne sont pas délocalisables mais il y a de plus en plus de groupes multinationaux. C'est donc important d'avoir des équivalences de certifications. C'est ce qui peut être intéressant avec le système Ecvet. »
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« La mobilité des salariés est essentielle pour développer les compétences et Ecvet (European credit system for vocational education and training) [1] est l'un des instruments pour y parvenir », estime Antonio Silva Mendes, directeur à la Commission européenne, lors de la séance d'ouverture du Forum Ecvet organisé à Bruxelles les 31 mai et 1er juin 2012 par la Commission européenne et le Cedefop (Centre européen pour le développement de la formation professionnelle) ayant pour thématique « Construire la communauté de pratique Ecvet ». De son côté, Christian Lettmayr, directeur du Cedefop affirme que « la crise économique induit une situation d'urgence. Nous devons agir pour que les individus aient des retombées concrètes sur leur employabilité. Il faut qu'il y ait de la flexibilité, de la transparence, de la mobilité. Il faut également une reconnaissance par les employeurs de ce qui a été acquis ailleurs. Augmenter les compétences et l'employabilité est très important. »
« Le recrutement étant parfois compliqué, le secteur logistique, conformément à ce qui avait été annoncé un an auparavant, enrichit le bagage professionnel de ses salariés via des formations continues », indique le groupe AFT-Iftim (Association pour le développement de la formation dans le transport et la logistique - Institut de formation aux techniques d'implantation et de manutention) à l'occasion de la présentation des résultats de sa 18e enquête annuelle sur les besoins en emploi et en formation du secteur, présentés mardi 20 mars 2012. Globalement, ce sont « 65 % des établissements de 100 salariés et plus », contre 57 % en 2010, et « 60 % des établissements de 50 à 99 salariés, [soit] 10 points de plus qu'en 2010 », qui ont mis en place des formations continues pour leur personnel logistique en 2011. Une tendance qui « devrait se poursuivre » en 2012, notamment pour ce qui est des formations sur la prévention des risques, domaine pour lequel il y a eu le plus de formations mises en oeuvre par les entreprises en 2011.
Le texte de la COM (convention d'objectifs et de moyens) signée par la DGEFP et l'Anfa (Association nationale pour la formation automobile) le 10 février 2012 est « équilibré et tient compte des objectifs stratégiques et politiques » de l'Opca, indique à l'AEF son délégué général, Yves Terral. Dans un communiqué diffusé vendredi 2 mars, l'Opca des services de l'automobile signale que la COM signée pour la période 2012-2014 « s'inscrit ainsi pleinement, dans le cadre de ses missions, dans une démarche d'accompagnement des évolutions technologiques, économiques et sociales de la branche professionnelle ». Yves Terral considère toutefois qu'un des éléments les « plus importants » de la COM, réside « dans la clause d'examen de la mise en oeuvre prévue pour la fin de l'année 2012 » car c'est à ce moment là qu'une première évaluation pourra être faite et que les objectifs seront éventuellement modifiés.
« Afin d'accompagner les mutations réglementaires, économiques, technologiques et sociales du secteur des Services de l'Automobile, l'Afpa (Association nationale pour la formation professionnelle des adultes) et l'Anfa (Association nationale pour la formation automobile), Opca de la branche des services de l'automobile, signent leur premier accord cadre national de partenariat. » C'est ce que déclarent les deux signataires dans un communiqué commun publié le 29 février 2012. « Cet accord, d'une durée de deux ans, s'inscrit dans le cadre des priorités et des besoins de formation et de qualification du secteur des services de l'automobile. »
« Les services de l'automobile offrent des parcours du CAP au titre d'ingénieur et un des axes à développer dans le futur est de faire comprendre aux universités et aux écoles qu'il existe une réelle continuité au sein de ces professions. » C'est ce qu'indique Jean-Michel Hotyat, chef du département de la stratégie de la formation et de l'emploi du ministère de l'Enseignement supérieur, à l'occasion d'un colloque organisé, jeudi 31 mars 2011, par l'Anfa (Association nationale pour la formation automobile) et le ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et de la vie associative, à l'occasion du renouvellement de leur partenariat autour de « la formation professionnelle des jeunes ». Conclu pour la première fois en 1977, ce partenariat a été reconduit pour cinq ans le 20 décembre 2010. Pour la première fois, le ministère de l'Enseignement supérieur est également signataire de cette convention, même si des actions étaient déjà conduites dans le champ de l'enseignement supérieur depuis 2004. La branche des services de l'automobile forme 61 000 jeunes par an, dont 26 000 en apprentissage.
« En 2010, les formations continues des salariés de la logistique marquent nettement le pas mais devraient se redresser en 2011 », selon les résultats de la 17e enquête annuelle du groupe AFT-Iftim (Association pour le développement de la formation dans le transport et la logistique - Institut de formation aux techniques d'implantation et de manutention) sur les besoins en emploi et en formation du secteur, présentés jeudi 3 mars 2011. L'étude met en effet en évidence que « le pourcentage d'établissements de 100 salariés et plus ayant réalisé des formations continues pour le personnel logistique baisse de 12 points en 2010 ». Ce pourcentage diminue de trois points dans les entreprises employant de 50 à 99 salariés. En revanche, les entreprises de toute taille prévoient d'envoyer davantage de salariés en formation en 2011 « sont largement plus nombreux que ceux qui prévoient de réduire le taux d'accès à la formation (le différentiel est de 19 points pour les établissements de 100 salariés et plus) ».