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« Les valeurs d'entreprise les plus recherchées aujourd'hui sont l'éthique [pour les petites entreprises] et la satisfaction des clients [pour les grandes entreprises]. Ces valeurs recherchées sont celles qui rendent [les salariés] vraiment fiers de leur entreprise. » C'est l'un des résultats d'une étude menée par Meteojob visant à « comprendre les leviers d'attraction et de fidélisation des collaborateurs en cette période d'incertitudes économiques », rendue publique le 5 juin 2012 (1). Selon les résultats, « le contenu et l'autonomie ou la responsabilisation sont les attraits les plus importants pour un poste. Mais selon les caractéristiques des salariés, d'autres facteurs ont un impact plus ou moins important : les moins de 30 ans sont attirés par la notion d'équipe beaucoup plus que par l'autonomie, les femmes accordent plus d'importance au contenu du poste et aux équipes que les hommes, les non cadres accordent plus d'importance que les cadres à la sécurité de l'emploi ».
40 % des salariés français se disent démotivés au travail, alors que 86 % sont parallèlement « heureux au travail », ou « fiers de leur travail ». C'est ce que révèlent les résultats du sixième baromètre « Bien-être au travail et motivation des salariés français », réalisé par Ipsos et Edenred, et publié mardi 3 avril 2012 (1). À la démotivation des Français s'ajoute l'inquiétude croissante face à leur avenir professionnel. Avec un taux de chômage structurellement élevé (9,9 %), ils se disent à 53 % seulement confiants en l'avenir. Cette inquiétude est d'autant plus forte chez les agents de la fonction publique « qui vivent une transformation profonde de leur métier », selon les auteurs. Seuls 45 % de ces derniers se disent confiants en l'avenir de leur administration contre 85 % en Allemagne. Plus d'un tiers d'entre eux (38 %) affichent même la volonté de quitter leur administration.
Seuls 7 % des salariés disent qu'ils se tourneraient vers leur responsable RH s'ils venaient à affronter une situation de « mal-être » au travail, et et 12 % iraient à la rencontre des représentants du personnel. Les interlocuteurs privilégiés dans ce type de situation sont les membres de la famille (52 %) et les amis (36 %), suivis des collègues (34 %) et du supérieur hiérarchique (25 %). C'est ce que révèle une enquête sur le bien-être au travail réalisée par le site Kelformation.com en partenariat avec Ipsos, publiée mercredi 14 mars 2012.
« En matière de vécu au travail des Français, les nouvelles tendances de 2011 sont l'amélioration de la situation dans les grandes entreprises et une nette dégradation dans les PME de 10 à 50 salariés », souligne Pierre-Éric Sutter, président de M@rs-Lab, cabinet spécialisé dans le management de la performance sociale et la prévention des risques, en présentant les résultats de l'enquête annuelle nationale (1) de l'Ovat (Observatoire de la vie au travail) réalisée en collaboration avec l'EFE (Edition formation entreprise) et le CFPJ (Centre de formation et de perfectionnement des journalistes), jeudi 24 novembre 2011. Si les relations avec les directions générales tendent à s'améliorer, les cadres de proximité paraissent de plus en plus désemparés, et les femmes restent en attente de mieux-être. « Plan Darcos, accords sur les risques psychosociaux, et fin du déni du stress semblent expliquer sa diminution dans les grandes entreprises. Si le meilleur ressenti reste celui des salariés dans les TPE, notre hypothèse est que la dégradation dans les PME du 10 à 50 salariés est liée à un seuil relatif aux contraintes réglementaires. »