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« Je proposerai aux adhérents du Snes la création d'un consortium d'entreprises destiné à racheter des PME du secteur afin d'éviter qu'elle ne 'passent' à des groupes internationaux […]. Les entreprises du secteur de la collecte de déchets ont déjà un dispositif comparable. » Dans un entretien accordé à AEF Sécurité globale, Michel Ferrero, président du Snes (Syndicat national des entreprises de sécurité) détaille les orientations du congrès de l'organisation patronale, qui a lieu a Nice les mercredi 20 et jeudi 21 juin 2012. « Je réaffirmerai notamment la nécessité d'une protection juridique pour les agents de sécurité privée, comme le Snes le demande depuis plusieurs années », indique-t-il. Il plaidera également pour la validation, par le ministère du Travail, de l'accord de reprise du personnel au sein de la branche de la prévention sécurité. Interrogé sur les récents départs au sein du Snes, Michel Ferrero indique que le syndicat représente aujourd'hui un chiffre d'affaires annuel de près de 1 milliard d'euros.
Le Snes publie une lettre ouverte au président élu François Hollande, qui doit être envoyée vendredi 11 mai 2012. « Dans votre programme, vous soulignez notamment qu'il faut 'favoriser la constitution d'entreprises de taille intermédiaire', que 'vous appuierez les PME sans coût supplémentaire pour les finances publiques', et qu'enfin vous en appelez à un 'nouvel acte de décentralisation dans le but de renforcer le lien entre entreprises et territoires', rappelle la lettre envoyée par le syndicat. La proposition de reprise de Neo sécurité par un groupe de PME issues des rangs du Snes répond précisément à vos trois objectifs ».
Michel Ferrero et Claude Tarlet, président des deux organisations professionnelles du secteur de la surveillance humaine, respectivement le Snes (Syndicat national des entreprises de sécurité) et l'USP (Union des entreprises de sécurité privée), font part de leur opposition « au report de la date butoir du 23 mars 2012 ». Dans communiqué commun daté du jeudi 22 mars 2012, ils demandent ainsi au Cnaps (Conseil national des activités privées de sécurité) de ne pas prolonger le délai de trois mois accordé aux entreprises relevant de la loi du 12 juillet 1983 pour solliciter une nouvelle autorisation d'exercer (AEF Sécurité globale n°225675).
« Faciliter l'insertion des judokas dans les métiers de la sécurité privée » : tel est le but de la convention signée par Snes et la Fédération française de judo, mardi 13 mars 2012. Chaque partie s'engage en effet à « mettre en oeuvre les actions nécessaires pour faciliter l'accès des judokas qui le souhaitent aux métiers de la sécurité privée ». La convention prévoit également de « déployer des actions de formation obligatoires et préalables à l'exercice réglementé de la sécurité privée », de « travailler à la valorisation de la culture judo dans les pratiques de gestion des situations conflictuelles, tant pour son efficacité que pour ses valeurs de respect de la personne humaine », et « à mettre en commun les réseaux et savoirs ».
Le président du Snes (Syndicat national des entreprises de sécurité), Michel Ferrero, fait état de la « stupéfaction » de son organisation dans une « lettre ouverte » envoyée au directeur du Cnaps (Conseil national des activités privées de sécurité), Jean-Yves Latournerie, fin janvier 2012. Le ministère de la Justice « monte au créneau pour s'affranchir du règlement d'une taxe additionnelle s'imposant à tous », s'indigne le président de l'organisation patronale. Le Snes s'appuie notamment sur un courrier adressé à l'un de ses adhérents dans lequel la cour d'appel de Paris indique à son prestataire de surveillance humaine que la nouvelle taxe de 0,5 % sur les prestations de sécurité privée « devra être supportée par les titulaires des marchés de gardiennage en cours sur le ressort de la cour d'appel sans qu'une augmentation de prix ne soit imputable à l'administration ». Or, selon Michel Ferrero, « la taxe additionnelle Cnaps a bel et bien été conçue par le législateur pour être réglée par tous les clients du secteur sans distinction. »
Le Snes (Syndicat national des entreprises de sécurité) approuve une « stratégie d'action » destinée notamment « à remettre l'entrepreneur et l'entreprise au coeur des préoccupations » de l'organisation à l'occasion de la tenue d'un conseil d'administration à Lyon, mardi 17 janvier. Selon un communiqué adressé à AEF Sécurité globale, le Snes souhaite également, au cours des mois à venir, « mettre les pouvoirs publics face à leurs responsabilités dans un contexte d'insécurité juridique persistante, de textes imparfaits, de moyens qui ne suivent pas, de délais qui ne s'améliorent pas ». Le syndicat patronal signale que, dans ce contexte, « les responsabilités de l'entrepreneur sont de plus en plus lourdes ». La stratégie du Snes vise également à « accélérer l'instauration, avec clients et donneurs d'ordres, de rapports de force équilibrés et de partenariats durables et constructifs ». Au lendemain de l'installation du Cnaps (Conseil national des activités privées de sécurité), le syndicat se veut être « une organisation patronale de combat pour la branche et tous ses entrepreneurs ».