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L'ONG ChemSec (International Chemical Secretariat) publie, le 20 juin 2012, le guide « Chemicals criteria catalogue », présenté comme « une évaluation de la performance des industries chimiques à destination des investisseurs financiers ». « Les produits chimiques dangereux posent de grands problèmes, tant d'un point de vue de la santé et de l'environnement que des risques financiers qu'entraîne leur production. Les investisseurs qui veulent éviter ces risques peuvent faire pression sur les entreprises pour qu'elles cessent d'utiliser des substances dangereuses et pour qu'elles soient plus ouvertes et transparentes sur leur gestion des produits chimiques. L'industrie chimique inclut rarement son coeur de métier - à savoir les produits chimiques - dans ses rapports de développement durable », affirme l'ONG.
L'Echa (Agence européenne des produits chimiques) lance, les 20 et 21 juin 2012, une série de consultations publiques dans le cadre du règlement Reach (enregistrement, évaluation, autorisation et restriction des substances chimiques). Une première consultation publique, ouverte jusqu'au 19 septembre, porte sur l'ajout de dix substances, actuellement contenues dans la liste des substances candidates, à l'annexe XIV du règlement.
L'Echa (Agence européenne des produits chimiques) annonce, lundi 18 juin 2012, l'ajout de treize nouvelles substances à la liste des substances candidates à autorisation, dite « liste candidate », dans le cadre du règlement Reach (enregistrement, évaluation, autorisation et restriction des substances chimiques). La liste candidate correspond à la liste des substances extrêmement préoccupantes identifiées en vue d'une éventuelle inclusion dans l'annexe XIV du règlement. Elle comprenait jusqu'à cette date 71 substances et en contient désormais 84. La Commission européenne s'est fixée un objectif de 90 substances à la fin de l'année 2012.
La prochaine échéance de Reach, laquelle oblige toutes les entreprises fabriquant ou important des substances comprises entre 100 et 1 000 tonnes par an à s'enregistrer auprès de l'Echa (Agence européenne des produits chimiques) avant le 31 mai 2013, va « concerner de plus en plus d'entreprises, notamment en dehors du secteur chimique », explique le Medde (ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie) dans un entretien accordé à AEF Développement durable, le 4 juin 2012. Elle pourra ainsi concerner « les fabricants de meubles » ou bien des entreprises qui « importent des tee-shirts venus d'Asie avec des éléments en surépaisseur ». « Elles sont un peu inquiètes », en particulier les TPE et PME pour lesquelles la mise en oeuvre de Reach « sera la plus difficile ». « C'est pourquoi nous avons renforcé nos relations avec les CCI (chambres de commerce et d'industrie), qui sont les interlocuteurs privilégiés des entreprises au niveau local. » Le Medde s'attache donc à « intensifier ses actions d'information », en réalisant « des documents plus simples, plus concrets, plus compréhensibles » et en se déplaçant en régions. Il fait le point sur la mise en oeuvre du règlement en France, et sur la position de la France.
ChemSec présente, mardi 3 mai 2011, sa « liste 2.0 » de 22 substances chimiques présentes dans « des produits de grande consommation » qu'elle considère comme « extrêmement préoccupantes » et qui, à ce titre, devraient être interdites de mise sur le marché dans le cadre du règlement européen Reach (enregistrement, évaluation, autorisation et restriction des substances chimiques). L'ONG internationale, qui avait déjà publié une première liste de 356 substances, s'est focalisée sur des molécules qu'elle présente comme des « perturbateurs endocriniens », à l'instar du perchloroéthylène et de plusieurs phtalates.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.