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La prime liée aux nouveaux équipements des agents de sécurité du GPIS (Groupement parisien inter-bailleurs de surveillance) sera négociée en septembre 2012, dans le cadre d'un accord entre la direction et les partenaires sociaux relatif à la pénibilité, apprend AEF Sécurité globale auprès du GPIS, mercredi 27 juin 2012. Des agents de sécurité avaient cessé le travail, dimanche 24 et lundi 25 juin 2012, pour demander une prime pour port de tonfa et de bombe lacrymogène (AEF Sécurité globale n°211822). Le Sneps-CFTC avait compté environ 25 grévistes. Le GPIS a pour sa part recensé deux grévistes le dimanche, et 18 le lundi. « Lors du piquet de grève, les agents étaient accompagnés d'autres personnes en contentieux avec le GPIS », indique une porte-parole du groupement.
Des agents de sécurité et cynophiles du GPIS (Groupement parisien inter-bailleurs de surveillance) ont fait grève du dimanche 24 juin 2012 au soir au mardi 26 juin 2012 au matin, apprend AEF Sécurité globale auprès du Syndicat national des employés de la prévention-sécurité-CFTC. Selon l'organisation, environ 25 agents se sont réunis pour un piquet de grève, lundi 25 juin 2012. C'est la première grève d'agents de sécurité du GPIS depuis sa création, en 2004. Cette action devrait être suivie d'une action plus large, en septembre 2012, indique Sébastien Labiausse, secrétaire national adjoint du Sneps-CFTC, à AEF Sécurité globale. « Nous n'avons pas eu de réponse de la direction ou des syndicats patronaux, seulement un silence de mort », regrette-t-il.
Les conclusions d'un audit portant sur le fonctionnement du GPIS (groupement parisien inter-bailleurs de surveillance) ont été présentées récemment à Myriam El-Khomri, l'adjointe de Bertrand Delanöe chargée de la sécurité (AEF Sécurité globale n°241451). Elles imposaient de modifier la stratégie et l'organisation, indiquent la direction du groupement et Paris Habitat, principal bailleur finançant le GPIS. L'étude a fait apparaître « de graves dysfonctionnements dans la gestion, l'activité opérationnelle est en revanche saluée par les auditeurs et par l'ensemble des partenaires », affirme à AEF Sécurité globale le préfet Pierre-René Lemas, président du GPIS et directeur général de Paris-Habitat. Parmi les reproches avancés : des salariés « floués sur des éléments de salaires dus », l'absence de politique de ressources humaines, une politique salariale « subjective », une place trop importante prise par les fonctions supports par rapport à l'action de surveillance sur le terrain, et une formation « inadaptée ». Malgré tout, « le professionnalisme et la rigueur de nos personnels sont reconnus par tous nos membres et nos partenaires institutionnels », indique de son côté le directeur du GPIS.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 29 mai 2023 :