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Barbara Koreniouguine, présidente exécutive de la promotion résidentielle et d'immobilier d'entreprise, et Thierry Laroue, président exécutif de l'Advisory France (1) intègrent le directoire de BNP Paribas Real Estate sur proposition de son président Philippe Zivkovic, indique l'entreprise mardi 26 juin 2012. Le directoire compte désormais cinq membres : son président, les deux entrants et les directeurs généraux délégués Henri Faure et François Benfeghoul.
BNP Paribas Immobilier Résidentiel, la branche promotion immobilière de BNP Paribas Real Estate, a réalisé, en 2011, 143 millions d'euros de chiffre d'affaires, ou en d'autres termes engrangé 143 millions d'honoraires, sur un chiffre d'affaires total pour le groupe immobilier de 658 millions d'euros. Le promoteur indique, mardi 21 février 2012, qu'il s'attend à connaître, cette année, « une baisse » de ses réservations de logements « équivalente en volume » au recul de 18 % enregistré en 2011. Ainsi, l'an dernier, BNP Paribas Immobilier Résidentiel a réalisé un volume d'affaires de 736 millions d'euros représentant 2 535 réservations de logements - à comparer à un volume d'affaires de 900 millions d'euros en 2010 pour 3 300 réservations. « Les cadences de ventes de logements se sont ralenties en 2011 et nous avons, en outre, mené une politique volontariste de limitation de nos projets », commente Philippe Zivkovic, le président de BNP Paribas Real Estate.
C'est la filiale assurance de BNP Paribas, BNP Paribas Cardif, associée à un fonds d'investissement dirigé par Philippe Zivkovic, qui a, selon nos informations, racheté une partie du patrimoine résidentiel mis en vente par la société foncière Gecina. Cette dernière avait annoncé, le 17 janvier 2012, avoir avoir signé une promesse de vente portant sur dix immeubles d'habitation, représentant environ 78 000 mètres carrés et 1 239 appartements, avec un consortium français composé d'un assureur et d'un fonds d'investissement, pour un montant de 395 millions d'euros (hors droits d'enregistrement) (AEF Habitat et Urbanisme n°223588). Sollicité par AEF Habitat et Urbanisme, BNP Paribas Cardif n'a pas souhaité faire de commentaires.
« Le premier semestre 2012 va être serré pour le secteur de la promotion immobilière », prévient Olivier Bokobza, le directeur général délégué de BNP Paribas immobilier résidentiel, lors d'un entretien à AEF Habitat et Urbanisme, vendredi 6 janvier 2012. « La situation économique sera compliquée tout comme la situation politique », ajoute le dirigeant. Il rappelle que, si le PTZ+ a été recentré sur l'immobilier neuf, ce marché n'en est pas moins étroitement lié au marché de l'immobilier ancien et risque donc d'être affecté par la suppression du PTZ+ dans l'ancien. « Les secundo-accédants, qui acquièrent un logement neuf vendu en l'état futur d'achèvement, achètent un logement qui sera disponible dans un an et demi », rappelle Olivier Bokobza. « Ils doivent donc revendre leur premier logement à des primo-accédants qui, pour leur part, ne bénéficieront plus du PTZ+ et pourraient avoir plus de difficultés à acheter », souligne-t-il. « Cet effet en cascade risque de contracter le marché de l'immobilier neuf ».
« Beaucoup d'investisseurs institutionnels se sont séparés de leur portefeuille d'immobilier résidentiel », rappelle Jean Dumonteil, le directeur de la « Lettre du secteur public », en préambule d'un débat organisé au Simi (Salon de l'immobilier d'entreprise), jeudi 1er décembre 2011, et intitulé « Logement 2012 : les conditions sont-elles réunies pour revenir sur cette classe d'actifs ? » (1). « Les raisons de ce désengagement sont nombreuses », souligne-t-il. Les investisseurs institutionnels, dont le portefeuille de logements est passé, en raison de la vente à la découpe ou de la vente en bloc, de 1,2 million de logements à 300 000 en 25 ans, se plaignaient « de la faiblesse des rendements et du mille-feuille juridique trop coercitif pour les propriétaires ». La complexification des ventes à la découpe a aussi rendu plus difficile la perception des plus-values immobilières.
Un an de location dans l'une de ses résidences étudiantes Studélites. C'est le service offert pour la seconde année consécutive par le groupe BNP Paribas Real Estate à dix étudiants de Sciences-Po, de l'Espi (École supérieure des professions immobilières), de l'ESTP (École spéciale des travaux publics) ou des universités Paris-Est, Marne-la-Vallée ou Dauphine dans le cadre du partenariat mené avec ces établissements, au titre de sa politique de RSE (responsabilité sociale d'entreprise), explique Pascal Maury, directeur des ressources humaines, contacté par AEF Habitat et Urbanisme, jeudi 27 octobre 2011.