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Près de 40 % des décideurs considèrent leur rémunération comme insatisfaisante. Cette insatisfaction est beaucoup plus marquée pour les salariés les plus jeunes (âgés de moins de 35 ans) qui sont 43 % à être insatisfaits de leur rémunération, contre seulement 34 % des salariés de 55 ans et plus. Cette différence de perception entre générations est principalement liée à un sentiment plus marqué chez les salariés les plus jeunes d'un niveau de rémunération inférieur à celui du marché. Ce sont les résultats d'une étude réalisée par les cabinets Deloitte et Nomination, rendue publique le 5 juillet 2012, qui « confirme que si la rémunération reste l'une des premières attentes des salariés, elle n'est pas pour autant un levier de motivation ».
Le Cercle Magellan propose le premier référentiel des métiers des rémunérations et avantages sociaux (Compensation & Benefits) à l'international. Développé par des directeurs rémunération et avantages sociaux de multinationales, des professionnels et des experts, ce référentiel met en lumière les principales contributions de la fonction « Comp & Ben » en entreprise, ses domaines de compétences, mais aussi ses savoirs, savoir-faire, savoir-être et qualités humaines associés.
Aon Hewitt France, cabinet de conseil en management et administration des ressources humaines, publie la troisième édition de son vade-mecum des comités des rémunérations, jeudi 21 juin 2012. Selon le cabinet, « cet outil d'aide à la décision répertorie les pratiques de rémunération des dirigeants au sein des entreprises du SBF 250 pour accompagner les personnes impliquées dans le processus de décision relatif à la rémunération des dirigeants d'entreprise ».
Les politiques de rémunérations des dirigeants et la RSE (responsabilité sociétale des entreprises), « toujours plus intégrée aux stratégies de croissance », ont été deux thèmes montants au cours des assemblées générales d'actionnaires 2012 des groupes du CAC 40, selon un bilan de ces AG publié mercredi 20 juin 2012 par l'agence de conseil en communication Capitalcom (1).
Un projet de loi relatif au harcèlement sexuel, une communication relative à « la moralisation et à l'encadrement des rémunérations des dirigeants d'entreprises », et une communication relative aux « méthodes du redressement productif » ont été présentés au Conseil des ministres du mercredi 13 juin 2012.
« Pourquoi intégrer des indicateurs RSE dans la rémunération variable ? Quels critères sélectionner ? À qui les appliquer ? Comment mettre en place un tel dispositif ? » Ce sont les questions que se sont posées l'Orse (Observatoire sur la responsabilité sociétale des entreprises) et PwC qui publient, jeudi 7 juin 2012, le « premier état des lieux en France » sur l'intégration par les entreprises françaises de critères RSE dans la rémunération variable de leurs dirigeants et managers (1). L'étude repose sur le témoignage de sept entreprises : Crédit Agricole, Danone, La Poste, France Télécom-Orange, Rhodia (groupe Solvay), Schneider Electric et Vivendi. Le rapport présente la démarche de ces entreprises, ainsi que des éléments de méthode pour guider les entreprises qui souhaiteraient mettre en place ce type de dispositif. L'étude recense les questions à se poser, les écueils à éviter, et propose une structuration de la démarche pour aboutir à un dispositif efficace.