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« La faible reprise économique actuelle devrait maintenir les taux de chômage à un niveau élevé dans les pays de l'OCDE (Organisation pour la coopération et le développement économiques) au moins jusqu'à la fin de l'année 2013 », estime l'OCDE dans son rapport « Perspectives de l'emploi 2012 » rendu public mardi 10 juillet 2012. Le taux de chômage de l'ensemble de la zone OCDE devrait se maintenir à un « taux élevé », autour de 7,7 % au dernier trimestre 2013, proche du taux de 7,9 % observé en mai 2012. « Pour renouer avec le taux d'emploi observé avant la crise, il faudra créer 14 millions d'emplois environ. » S'agissant du cas français, « la faiblesse de la reprise économique n'a pas permis d'endiguer la hausse du chômage en France », constate l'organisation internationale, qui rappelle que le taux de chômage « est passé de 7,5 % à son point bas en février 2008 à 10,1 % en mai 2012 ».
L'OCDE (Organisation pour la coopération et le développement économiques) appelle les ministres du Travail et de l'Emploi des pays du G20 à « s'attaquer » au chômage des jeunes par des « mesures décisives et concrètes », à l'occasion de leur réunion prévue à Mexico les jeudi 17 et vendredi 18 mai 2012. « Les jeunes continuent à payer le plus lourd tribut de la crise de l'emploi », s'inquiète l'OCDE, qui comptabilise « près de 11 millions de jeunes âgés de 15 à 24 ans sans emploi dans les pays de l'OCDE début 2012 ». Le taux de chômage des jeunes y atteint 17,1 % en mars 2012, un niveau proche du record de 18,3 % atteint en novembre 2009. « C'est en Europe que les jeunes demandeurs d'emploi souffrent le plus dans la zone OCDE, avec un taux de chômage proche des niveaux historiques dans l'ensemble du continent. En France, au Royaume-Uni, en Suède, en Pologne, en Irlande et en Italie, plus d'un jeune actif sur cinq est sans travail. »
« Sous l'effet de la crise économique et financière, le taux de chômage dans la zone de l'OCDE est passé de 6.1 % en 2008 à 8.2 % en 2011. Cette augmentation a conduit de nombreux pays à envisager une réforme fiscale afin de lutter contre le chômage de longue durée. Dans le même temps, les responsables de la politique fiscale de nombreux pays s'interrogent sur les moyens d'atténuer les fortes contre-incitations au travail que les systèmes fiscaux génèrent souvent », explique l'OCDE, dans une étude de politique fiscale, rendue publique mercredi 12 octobre 2011. Rappelant que « les impôts sur les revenus du travail – y compris les cotisations de sécurité sociale – représentent environ la moitié des recettes fiscales totales, en moyenne, dans les pays de l'OCDE », l'institution affirme que « ces charges fiscales dissuadent les employeurs d'embaucher ».
« La récession de l'économie mondiale pourrait se traduire par une pénurie massive d'emplois parmi les pays membres du G20 l'an prochain », prévient l'OIT (Organisation internationale du Travail) dans une étude réalisée conjointement avec l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), rendue publique lundi 26 septembre 2011. Cette étude, baptisée « Perspectives de l'emploi à court terme et du marché du travail dans les pays du G20 et principaux défis à relever », a été préparée par l'OIT et par l'OCDE à la demande de la présidence française du G20, dans le cadre de la réunion des ministres du Travail et de l'Emploi des pays du G20, à Paris les 26 et 27 septembre.
« Il faudrait que la France s'attaque à certains défis structurels qui continuent de persister sur le marché du travail », comme l'emploi des jeunes, l'adéquation de leurs qualifications avec les besoins du marché du travail, le chômage de longue durée et la différenciation « marquée » entre contrats temporaires et permanents, estime l'OCDE (Organisation pour la coopération et le développement économique) dans sa dernière édition des « Perspectives de l'emploi », rendue publique jeudi 15 septembre 2011. L'OCDE estime « modeste » la reprise en France depuis la fin de la crise de 2008-2009 et note qu'elle s'est traduite par une « légère baisse du taux de chômage ». « Le taux de chômage au sens du BIT est passé à 9,7 % au deuxième trimestre 2011 après le point haut de 10 % au quatrième trimestre 2009. » Pour conforter cette tendance, l'OCDE liste les « principaux défis » que doit relever la France, dont le premier est « l'emploi des jeunes », dont le taux d'emploi est « relativement faible ».
L'OCDE (Organisation pour la coopération et le développement économique) qui publie jeudi 8 septembre 2011 ses dernières perspectives économiques pour l'année, estime que « le marché du travail ne s'est pas encore remis de la crise » dans les pays de la zone OCDE (1). « À la fin de 2010, le taux de chômage moyen pour la zone de l'OCDE était encore proche de son pic historique atteint durant la crise », souligne l'organisme dans un chapitre consacré aux « risques » de la « persistance d'un haut niveau de chômage ». « Même là où la montée du chômage a été moins marquée, la reprise a été généralement trop faible jusqu'à présent pour permettre un recul significatif du chômage. L'une des grandes préoccupations, dans les pays les plus gravement touchés, est que la persistance d'un haut niveau de chômage (…) se traduira, à terme, par une dégradation généralisée du capital humain, ainsi que des phénomènes de découragement et de retrait du marché du travail. »