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Le gouvernement liste de nombreux chantiers prioritaires à l'issue de la table ronde de la conférence sociale, intitulée « développer l'emploi, en priorité l'emploi des jeunes ». Après le discours de clôture du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, le gouvernement a transmis aux participants une « feuille de route sociale » dans la soirée du mardi 10 juillet 2012 (AEF n°210636), pour préciser les chantiers à ouvrir, la méthode et le calendrier. « Dans le cadre du processus de dialogue social initié par la 'Grande conférence sociale', au-delà des rendez-vous à venir sur l'ensemble de la conférence, le ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social réunira les partenaires sociaux avant la fin 2012. Cette rencontre permettra de faire le point sur les différents exercices qui auront alors été engagés », précise la « feuille de route sociale ». Voici le détail des chantiers annoncés dans le domaine de l'emploi.
« Cette 'feuille de route sociale', établie à l'horizon de la fin 2013, est le fruit des travaux de la grande conférence pendant ces deux jours ainsi que de tous les échanges qui les ont précédés. Si chacune des organisations participantes conserve naturellement ses attentes et priorités propres, et portera dans la suite du processus ses positions et propositions, la présente feuille de route exprime des constats et objectifs pour l'essentiel partagés, et les éléments de méthode et de calendrier débattus que le gouvernement entend retenir à l'issue de la grande conférence sociale ». C'est ce qu'indique la « feuille de route sociale » que le gouvernement a transmis dans la soirée du mardi 10 juillet 2012 aux participants de cette conférence qui s'est tenue au palais d'Iéna pendant deux jours. AEF met en ligne ce document.
Sécurisation des parcours professionnels, contrat de génération, emplois d'avenir, fixation du Smic, égalité professionnelle, compte individuel de formation, valorisation des mandats syndicaux, responsabilité sociale des entreprises, évolution du système de retraites, dialogue social dans la fonction publique… Nombreux sont les thèmes de négociation ou de concertation annoncés par le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, en clôture de la conférence sociale organisée entre les pouvoirs publics et les partenaires sociaux au palais d'Iéna, siège du CESE(Conseil économique, social et environnemental), lundi 9 et mardi 10 juillet 2012. Cette « feuille de route sociale », qui sera communiquée mercredi 11 juillet aux organisations syndicales et patronales, s'avère donc riche avec des rendez-vous le plus souvent à brève échéance, d'ici la fin 2012 ou début 2013. Elle concerne, à des degrés divers, toutes les thématiques abordées dans le cadre des sept tables rondes de la conférence (l'emploi, la formation professionnelle, rémunérations, l'égalité professionnelle et la qualité de vie au travail, le redressement productif, la protection sociale et les retraites, les services publics et la fonction publique).
« Sur la table ronde intitulée 'développer l'emploi et en priorité l'emploi des jeunes', c'est une vision dynamique de l'intitulé qui a été retenu en favorisant des politiques de l'emploi pour créer un nouveau mode de croissance qui allie compétitivité et cohésion sociale des territoires », déclare, mardi 10 juillet 2012, la « facilitatrice », Catherine Barbaroux, à l'occasion de sa restitution des deux demi-journées de la table ronde organisée dans le cadre de la conférence sociale au palais d'Iéna. D'une manière générale, « nous retirons le sentiment que chacun pouvait librement apporter sa contribution au défi que nous avons à relever tous ensemble ». Des huit heures de discussions, elle tire « cinq constats ».
« Une grande négociation sur l'emploi, qui intègre les évolutions de l'emploi, l'adaptation à la conjoncture et la sécurisation des parcours professionnels. » Selon les termes de Laurent Berger (CFDT), telle devrait être la proposition faite aux partenaires sociaux en matière d'emploi que le Premier ministre annoncera en clôture de la conférence sociale, mardi 10 juillet 2012. « Cette grande négociation reste à préciser », réagit Agnès Lebot (CGT), qui demande au gouvernement de « fixer les finalités » d'une telle négociation et de veiller à ce qu'elle débouche sur « des garanties collectives pour les salariés ».
Une table ronde avec « une très bonne tonalité » et avec des participants « attentifs et studieux ». C'est ainsi que la “facilitatrice”, Catherine Barbaroux, résume la première demie journée du lundi 9 juillet 2012 après-midi, de la table ronde intitulée « développer l'emploi et en priorité l'emploi des jeunes ». « Je suis sur l'échelle haute de mes attentes », poursuit-elle. En pratique, les participants n'ont pas réussi à aborder les trois thématiques initialement prévues pour cette première demie journée, à savoir l'insertion dans l'emploi, le maintien dans l'emploi et l'accompagnement des mobilités professionnelles. La troisième thématique qui portera notamment sur l'indemnisation du chômage sera abordée mardi matin, avant de travailler sur la feuille de route des négociations et concertations des prochains mois.
François Hollande fait de l'emploi, « la priorité première » de la conférence sociale que le président de la République a ouverte, lundi 9 juillet 2012, au palais d'Iéna, siège du CESE (Conseil économique, social et environnemental). La table ronde intitulée « développer l'emploi et en priorité l'emploi des jeunes » doit se tenir lundi après-midi et mardi matin, avant que Jean-Marc Ayrault, Premier ministre, ne conclue la conférence par un discours donnant la feuille de route des négociations et concertations des prochains mois, voire des cinq prochaines années, mardi après-midi.
28 associations bénéficieront de financements du gouvernement pour mener à bien des actions en faveur de l’égalité économique entre les femmes et les hommes. Elles ont remporté l’appel à projets lancé en mars 2022, doté d’une enveloppe totale d’un million d’euros. Les projets financés visent en particulier à "permettre à un plus grand nombre de femmes d’accéder à une autonomie économique", à "permettre aux femmes, notamment celles les plus éloignées de l’emploi, de s’insérer professionnellement" et à "promouvoir la mixité dans des secteurs identifiés comme non mixtes".