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La direction du constructeur automobile PSA Peugeot Citroën annonce, jeudi 12 juillet 2012, un vaste « projet de réorganisation des activités industrielles et de redéploiement des effectifs » qui prévoit la suppression de 8 000 postes de travail en France. Le plan annoncé comprend à la fois l'arrêt de la production de l'usine d'Aulnay (Seine-Saint-Denis) en 2014 et « un redéploiement des effectifs de 1 400 emplois sur un total de 5 600 salariés » pour le site de Rennes. A cette réorganisation de l'outil de production s'ajoute une « adaptation des structures du groupe » avec la suppression de « 3 600 emplois de structure » répartis sur l'ensemble des sites en France. Les projets concernant Aulnay et Rennes « seront assortis, dans le respect du dialogue social, de mesures destinées à accompagner tous les salariés concernés et à favoriser leur reclassement, notamment au sein du groupe ». Le redéploiement des effectifs de structure sera mis en œuvre au moyen de départs volontaires de l'entreprise.
Les organisations syndicales du groupe PSA Peugeot Citroën (SIA, CGT, FO, CFTC, SUD, CFDT) demandent au président de la République « d'intervenir pour que puisse se tenir une réunion tripartite État-PSA-syndicats dans le but d'aboutir à un accord, garanti par l'État, assurant le maintien de tous les emplois sur le site d'Aulnay-sous-bois, au moins jusqu'en 2016 », dans un courrier adressé au chef de l'État le 15 décembre 2011, rendu public à l'issue d'une réunion du comité central d'entreprise, mardi 20 décembre. Les organisations syndicales réitèrent leur inquiétude pour le site d'Aulnay, ainsi que ceux de Sevelnord et Madrid, alors que la direction du groupe automobile confirme la suppression de 6 800 emplois, dont 5 000 en France.
La direction du groupe PSA Peugeot Citroën précise l'objet précis de la réunion du CCE (comité central d'entreprise) extraordinaire prévue le 20 décembre 2011, après la divulgation d'information mercredi 14 décembre 2011 « sur le contenu des documents confidentiels envoyés aux représentants du personnel ». Cette réunion du CCE « s'inscrit dans les processus d'information et de consultation initiés par la réunion du comité de groupe du 26 octobre dernier, suivi par le CCE extraordinaire du 15 novembre 2011 »(AEF n°228177). PSA rappelle « les effets du plan Performance 2012 » annoncé portant sur « la situation de l'emploi au sein de la division automobile France », effets « estimés à 1 900 postes de structure ». PSA précise, qu'en application de l'accord de GPEC « signé par cinq organisation syndicales » le 21 avril 2010 (AEF n°270640), « le groupe met en place pour les métiers sensibles un dispositif spécifique pour piloter et animer les formations/reconversions et les mobilités vers des métiers en tension où le groupe a des besoins à pourvoir ».
« Philippe Varin a confirmé au chef de l'État que le plan d'amélioration de la performance de PSA Peugeot Citroën ne comportera aucune mesure de licenciements, ni mesure d'âge », indique un communiqué de presse de l'Élysée, jeudi 17 novembre, à l'issue d'une rencontre entre le président de la République et le président du directoire constructeur automobile. « Les 2 000 salariés du groupe en France dont les postes sont concernés par l'application de ce plan (AEF n°228177) se verront proposer un reclassement par application du dispositif de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences. »
Le groupe PSA a officialisé les conséquences, en France, du plan de réduction d'effectifs annoncé pour l'Europe le 26 octobre 2011 (AEF n°229468), au cours d'une réunion extraordinaire du comité de groupe européen. Les partenaires sociaux réunis au siège du groupe, mardi 15 novembre 2011, ont été informés au cours d'une réunion du CCE (comité central d'entreprise) de 1 850 suppressions de postes en CDI pour la France en 2012. L'ensemble des mesures annoncées prennent place dans le cadre d'un plan d'économie de 800 millions d'euros pour 2012.
La direction générale de PSA annonce des mesures de « simplification des structures du groupe » qui pourraient avoir pour conséquence « la suppression de 2 500 postes en Europe en 2012 ». S'y ajoutent 1 000 suppressions de postes de production liées « aux actions de productivité ou d'organisation ». L'annonce a été faite aux organisations syndicales, mercredi 26 octobre 2011, dans le cadre d'une réunion extraordinaire du comité de groupe européen. Ces suppressions concernent notamment le commerce, l'informatique et la recherche et développement. Le constructeur automobile précise qu'il mettra en place, « dans chaque pays, des mesures d'accompagnement dans le cadre de l'accord sur la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences » signé en mars 2010 (AEF n°270640). L'accord prévoit à la fois des dispositifs de reconversion interne et externe. Le plan vise à restaurer la compétitivité et la rentabilité de la division automobile avec « une économie de coût » prévue de « 800 millions dès 2012 ».
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