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Accompagner sur le plan social l'internationalisation croissante du groupe Valeo, en conformité avec ses principes de responsabilité, son code éthique et sa politique de développement durable : telle est l'ambition d'un accord européen sur la RSE (responsabilité sociale de l'entreprise) signé pour une durée de quatre ans, à Paris, par la direction de Valeo avec la totalité des membres du bureau de son comité d'entreprise européen, le 10 juillet 2012. Ces membres représentent les salariés des sociétés européennes dans lesquelles le groupe exerce directement le contrôle en Allemagne (IG Metall), Espagne (CCOO), France (CFDT, CFE-CGC), Pologne, Belgique, Hongrie, Irlande, Royaume-Uni. Applicable à l'Union Européenne, (14 pays, 34 000 personnes), Valeo souhaite généraliser progressivement cet accord à l'ensemble de ses sociétés dans le monde.
Définir les règles et les approches communes pour les entités du groupe BNP Paribas en Europe sur « la démarche et des outils qui permettront d'anticiper les changements, en préparant les salariés aux évolutions à venir et en permettant d'envisager des solutions à leur situation spécifique » et sur « l'accompagnement social des programmes de transformation applicables aux entités dès lors que ceux-ci ont des conséquences sur l'emploi ». C'est l'objectif d'un accord sur la gestion de l'emploi signé mardi 10 juillet 2012 par BNP Paribas avec les deux fédérations syndicales européennes FECEC (Fédération européenne des cadres des établissements de crédit et institutions financières) et UNI Europa (Union Network International - Europa Finances) et une délégation des membres du bureau de son comité de groupe européen.
GDF-Suez a signé le 5 juin 2012 un accord européen relatif à l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes avec les fédérations syndicales européennes EPSU (1), IndutriAll (2) et CEC (3) ainsi qu'avec les représentants des organisations syndicales du groupe en Europe, indique l'entreprise le 8 juin 2012. Le texte, qui s'applique à la société et à l'ensemble de ses filiales de plus de 150 salariés dans l'Union européenne et l'AELE (Association européenne de libre échange), repose sur deux axes principaux : « lutter contre les discriminations pour réaliser l'égalité des chances et de traitement » et « favoriser la mixité, comme source de richesse pour l'entreprise ». Le groupe s'y engage notamment à recruter au moins 30 % de femmes fin 2015 et les les organisations syndicales signataires à améliorer la représentativité des femmes lors du renouvellement des mandats du CEE prévu en 2013. Pour l'EPSU, qui a diffusé dans un communiqué le texte du document, c'est désormais « au management au niveau local » de s'engager « afin que l'entreprise soit à la hauteur de son objectif d'être un employeur de référence ».
Définir une démarche de dialogue social dont l'objectif est de mieux anticiper les mutations du secteur afin d'adapter les compétences aux besoins futurs et de préserver les emplois. C'est l'objectif du protocole d'accord européen sur l'anticipation des changements, signé le 14 septembre 2011 par Guillaume Floquet, DRH groupe adjoint d'Axa, Maurice Zylberberg, du syndicat UNI Europa Finance, et par l'ensemble des organisations syndicales françaises représentatives (CFDT, CFE-CGC, CGT, UDPA/Unsa). Rendu public mercredi 23 novembre 2011, l'accord s'applique aux entreprises du groupe implantées en Europe, entrant dans le champ d'application de l'accord du 29 juin 2009 sur le CEG (comité européen de groupe), qui l'a négocié. Cet accord permet la « définition par les partenaires sociaux d'une démarche commune pour anticiper les changements structurels pouvant affecter les métiers du groupe », confirme « la pertinence de l'échelon européen pour discuter des questions d'emploi chez Axa », et réaffirme « l'importance d'un dialogue social constructif et permanent ».
La direction centrale du groupe EADS, les représentants des organisations syndicales nationales réunis au sein d'un groupe européen de négociation (Allemagne, France,Espagne, Royaume-Uni) et le comité d'entreprise européen du groupe d'aéronautique et de défense ont signé au mois de juin 2011 un accord européen sur la mise en oeuvre d'un système d'intéressement (« success sharing plan ») qui prend en compte les performance opérationnelles dans le calcul de celui-ci. C'est ce qu'indique le site Planet Labor, le 13 juillet 2011. Le groupe, qui a mis en place un système d'organisation des négociations au niveau européen fin 2010 (AEF n°259477 ), dispose d'un système d'intéressement depuis 2004. Le nouvel accord annule et remplace celui du 16 juin 2009.
La direction d'Areva a signé avec la FEM (Fédération européenne des métallurgistes) un accord sur la GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) au sein du groupe en Europe, vendredi 1er avril 2011, annonce le groupe dans un communiqué. Cet accord concerne quelque 35 000 salariés répartis dans six pays (Allemagne, Belgique, Espagne, France, Royaume-Uni, Suède). Il « prévoit des mesures pour faciliter le développement professionnel et la mobilité interne de chaque salarié », indique la direction.
Alstom et la FEM (Fédération européenne des métallurgistes) ont signé, le 24 février 2011, à Paris un accord européen sur « l'anticipation du changement ou des évolutions » dans le groupe, indique l'entreprise dans un communiqué mardi 1er mars 2011. « Par cet accord, Alstom réaffirme l'importance de son implantation européenne, qui représente 60 % de ses effectifs mondiaux et près de 50 % de son chiffre d'affaires, dans un contexte d'évolution de l'environnement économique du groupe et de ses besoins en compétences », précise le communiqué. Le champ d'application de cet accord, conclu pour une durée de trois ans, comprend les 30 pays où Alstom et la FEM sont présents en Europe. Le but est de « viser à ce que tous les collaborateurs bénéficient de perspectives de carrières ».