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Thierry Coulhon, responsable du programme « centres d'excellence » auprès du CGI (commissaire général à l'investissement), a quitté ses fonctions le 13 août 2012, indique-t-il à AEF. Il prendra la direction du Mathematical sciences institute de l'Australian national university, située à Canberra (Australie), à partir du 1er septembre prochain.
Patrick Hetzel pourrait quitter ses fonctions de Dgesip (directeur général pour l'enseignement supérieur et l'insertion professionnelle) du MESR mercredi 28 mars 2012, apprend AEF de sources concordantes. Le nom de son successeur serait alors annoncé en conseil des ministres. Deux noms circulent encore à ce jour pour le remplacer : Thierry Coulhon, responsable du programme « centres d'excellence » auprès du commissaire général à l'investissement, et Jean-Louis Mucchielli, recteur de l'académie d'Amiens.
« En France, le potentiel n'est pas uniformément réparti. Mais [dans notre tour de France], nous constatons deux choses : d'une part, il y a de l'excellence dans beaucoup d'endroits, et d'autre part, tout le monde a son Everest à gravir. A Paris centre ou à Saclay, les acteurs se sont mis en mouvement. Quant aux Lorrains, ils ont une stratégie, ils connaissent leur situation, et nous observons des constructions pour le moins intéressantes », déclare Thierry Coulhon, directeur du programme « centres d'excellence » au CGI. Il s'exprime lors d'un point presse organisé mardi 2 novembre 2010 à la préfecture de Metz, à l'occasion d'une visite en Lorraine de la délégation de René Ricol (absent pour des raisons personnelles). Thierry Coulhon cite notamment le dispositif développé pour candidater à « l'initiative d'excellence » (AEF n°259529) : « le projet d'Université de Lorraine a résulté dans la mise en place d'un premier cercle de cohésion, avec pour objectif d'aller vers un grand établissement, ainsi que dans le développement d'un deuxième cercle, avec l'UTT (Université de technologie de Troyes). C'est intéressant », observe-t-il.
« Dans le cas allemand de « l'Exzellenzinitiative », il y avait trois rubriques [écoles doctorales, clusters et stratégies d'avenir]. En France, il y a un nombre de rubriques assez extraordinaire. On dit que derrière chaque niche fiscale, il y a un chien de garde. Et bien derrière chaque rubrique du grand emprunt, selon moi, il y a un groupe de pression. L'exemple allemand est un dispositif de simplicité, qui n'a pas cherché à disséquer les sommes en dotations consomptibles ou non… Si on prend le modèle allemand, on le prend totalement ! » C'est ce que déclare Patrick Fridenson, directeur d'études à l'EHESS qui a participé à la commission qui a examiné et classé les universités allemandes candidates à « l'Exzellenzinitiative » entre 2005 et 2006. Il s'exprimait à l'occasion d'une conférence plénière ayant pour thème « Grand emprunt : Les conditions sont-elles réunies pour que le grand emprunt dynamise l'enseignement supérieur et la recherche ? Peut-il y avoir de l'excellence partout ? », organisée par AEF lors des Rencontres Universités Entreprises 2010, au Cnit-La Défense, le 26 mai 2010.
L'élection du nouveau président de l'université de Cergy-Pontoise aura lieu le 16 septembre 2008. L'ancien président, Thierry Coulhon, a quitté ses fonctions le 1er août avant le terme de son mandat pour rejoindre le cabinet de Valérie Pécresse en tant que conseiller spécial (L'AEF n°316518). Françoise Moulin-Civil, professeur des universités et directrice de l'UFR de langues, est l'unique candidate à sa succession. Depuis le départ de Thierry Coulhon, Anne-Sophie Barthez, vice-présidente du CA, est administratrice provisoire de l'établissement.
"On parle souvent d’augmenter le salaire minimum pour mieux valoriser les carrières des salariés les plus faiblement rémunérés." Mais "on devrait aussi porter une attention plus soutenue" aux minima conventionnels, "qui bloquent, par un mécanisme complexe de 'plancher collant', les salariés au niveau du Smic malgré leur progression de carrière", constate Terra Nova dans une note publiée le 28 juin 2022. Pour y remédier, le think tank recommande de réserver l’application de certaines exonérations de cotisations aux branches dont le premier niveau est conforme au Smic.