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« Dans le budget 2013 vous retrouverez la priorité donnée à la jeunesse donc à l'école. Il y aura un effort majeur », déclare Jean-Marc Ayrault, Premier ministre, à des parents d'élèves des écoles Le Petit Charlemagne et Grand Charlemagne à Aubevoye (Eure), mardi 4 septembre 2012, jour de rentrée scolaire. Lors de ce déplacement, le Premier ministre est entouré de Vincent Peillon, ministre de l'Éducation nationale, et George Pau Langevin, ministre déléguée à la Réussite éducative. « Il faut que l'éducation reçoive toute notre attention. C'est le cas en cette rentrée scolaire et nous en avons le témoignage ici, puisque dans cette école, un poste devait être supprimé et a été rétabli », poursuit le Premier ministre, cette création de poste ayant été permise par l'adoption de mesures d'urgence, dont le recrutement de 1 000 PE supplémentaires.
« Je veux que soient renforcés les liens entre l'école primaire et le collège », affirme lundi 3 septembre 2012, le président de la République, François Hollande, lors d'une visite au collège Youri Gagarine de Trappes (Yvelines) à l'occasion de la rentrée des enseignants. « La refondation de l'École vaut pour le collège [qui] est un maillon essentiel de notre système éducatif […] Il est primordial d'éviter des transitions trop brusques pour les élèves, qui sont souvent synonymes d'échec scolaire », indique le président, qui a participé pendant plus d'une heure à un atelier de pré-rentrée des enseignants. Le chef de l'État explique qu'il a choisi de visiter ce collège de Trappes pour « mettre en lumière » les expériences de cet établissement « autour de l'accueil de l'enfant en 6e et du lien entre école et collège ». « Je veux en faire un objectif national. Ce que vous avez fait ici à Trappes, nous devons le faire partout », déclare-t-il à l'équipe du collège. « L'objectif, c'est que les enfants sortant du primaire accèdent au second degré avec des connaissances suffisantes. »
En matière d'éducation prioritaire, Jean-Marc Ayrault, Premier ministre, indique qu'il faudra « faire des choix […], éviter 'le saupoudrage' de moyens mais cibler là où sont les besoins », déclare-t-il le 30 août 2012, lors d'une visite de collèges en Seine-Saint-Denis. « Nous allons dégager les moyens humains, des professeurs formés et les moyens budgétaires pour que là où on en a le plus besoin, soient concentrés les moyens pour la réussite scolaire et éducative. » Accompagné de Vincent Peillon, ministre de l'Éducation nationale, George Pau-Langevin, ministre déléguée à la Réussite éducative et François Lamy, ministre délégué à la Ville, il adresse à la communauté éducative « un message de soutien et de confiance qui ne se limitera pas à la reconnaissance de la Nation mais aussi à [lui] donner les moyens de [sa] mission ».
« L'école a été maltraitée dans l'intelligence même de ses missions », déclare Jean-Marc Ayrault, Premier ministre, lors du lancement de la concertation devant aboutir à la loi d'orientation et de programmation sur l'école, jeudi 5 juillet 2012 en Sorbonne, à Paris. Devant une assemblée de représentants du monde de l'éducation et de la société civile, d'élus, et de plusieurs ministres, le Premier ministre explique que la méthode de concertation employée par Vincent Peillon, ministre de l'Éducation nationale, « est une façon d'exprimer notre confiance à une communauté éducative meurtrie ». « Notre façon d'agir marque une volonté de changement. Prenons le temps de la réflexion et de l'action », insiste Jean-Marc Ayrault. "Nous avons un quinquennat pour conduire le changement en profondeur", observe le chef du gouvernement. « Il faudra une première étape en automne. L'échange, la concertation, la négociation doivent durer un temps plus long », répète-t-il encore, alors que le rapport final de la concertation devra être rendu début octobre 2012 (AEF n°211038).
Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, annonce mardi 3 juillet 2012 le recrutement de 1 500 AVS-i à la rentrée 2012. « Il nous faut rendre accessible le monde du travail et l'ensemble des services aux personnes en situation de handicap, en prenant en compte les différents types de handicap : accès aux bâtiments, aux transports, à l'emploi, accès à l'école », déclare le Premier ministre lors de son discours de politique générale à l'Assemblée nationale. Le ministre de l'Éducation nationale, Vincent Peillon, a indiqué le 26 juin préparer plusieurs mesures pour la rentrée de septembre, dont le « recrutement d'AVS-i supplémentaires pour tenir compte de la hausse du nombre d'enfants en situation de handicap » (AEF n°211880).
« Vous venez d'annoncer votre intention de faire rapidement le point avec les recteurs sur la répartition des mesures d'urgence pour la rentrée prochaine. […] Les comités techniques et les conseils départementaux et académiques de l'éducation sont les instances où doivent être étudiées en concertation avec les recteurs et les directeurs académiques des services de l'Éducation nationale, les différentes mesures envisagées », écrit Christian Chevalier, le secrétaire général du SE-Unsa, dans une lettre datée du lundi 21 mai 2012 et adressée au ministre de l'Éducation nationale, Vincent Peillon. « Je souhaite que les instructions nécessaires soient données pour que ces instances où le dialogue doit trouver sa place puissent se tenir dans les meilleures conditions possibles », poursuit-il. En déplacement en Seine-et-Marne, ce jour, Vincent Peillon a annoncé qu'il présentera « dès la semaine prochaine » un plan d'urgence « pour que la rentrée se passe dans de meilleures conditions » (AEF n°214680).
Vincent Peillon, le ministre de l'Éducation nationale, annoncera « dès la semaine prochaine » un plan d'urgence « pour que la rentrée se passe dans de meilleures conditions », indique-t-il, lundi 21 mai 2012 à l'occasion d'un déplacement à Brie-Comte-Robert (Seine-et-Marne) pour visiter des classes maternelles et élémentaires du groupe scolaire Claude-Tournier. « Nous voulons trouver des critères objectifs d'affectation des moyens [supplémentaires pour la rentrée] qui soient implacables. La Seine-et-Marne sera traitée différemment » comme neuf autres départements, précise-t-il. En outre, « il faudra s'assurer que le plan d'urgence permette d'améliorer les remplacements », souligne-t-il en visitant une classe de l'école. « On voit bien que, dans cette classe, le travail se fait en équipe, en lien avec les familles. Tout va bien mais il y a un problème de remplacement », estime Vincent Peillon.
La région Normandie reconduit cette année un dispositif d'"éducation aux écrans" pour les lycéens et apprentis, présenté en mai 2022 comme "unique en France". Mené en partenariat avec le rectorat de Normandie, la DRAAF, Canopé et les Ceméa, il concerne chaque année 10 000 jeunes normands dans 80 établissements (lycées, CFA, MFR, etc.) et permet de former 120 enseignants pour accompagner les élèves. Le programme prend la forme d’un parcours avec des "ateliers pratiques" pour lesquels 250 personnels éducatifs sont mobilisés. Il s’agit de sensibiliser aux "enjeux et problématiques" liés aux écrans, en abordant des thèmes d’EMI comme les réseaux sociaux, l’identité numérique, les droits et devoirs des internautes, etc. Le dispositif vise ainsi à inciter les jeunes "à adopter des pratiques à la fois raisonnées et critiques". Un site internet dédié présente les parcours proposés.
En Grand Est, quelque 152 projets de mini-entreprises ont été réalisés par des jeunes de 13 à 25 ans sur l’année 2021-2022, indique EPA à AEF info, le 17 mai à Metz à l’occasion de l’étape lorraine du "Festival des mini-entreprises Grand Est". "C’est une très belle dynamique, avec la présence à la fois du monde associatif, éducatif, des collectivités et des entreprises qui contribuent ensemble à la formation", souligne le recteur de région académique J.-M. Huart, aux côtés de la déléguée ministérielle à la relation éducation-économie Isabelle Bourhis. Les équipes en compétition se sont vu remettre des prix (innovation, développement durable, etc.), et se sont affrontées lors d’une "battle de pitchs", en vue de la finale le 8 juin. Sur l’année, environ 3 000 jeunes (collégiens, lycéens, étudiants) du Grand Est ont été sensibilisés à l’entrepreneuriat, via les programmes proposés par EPA.
Les élus du conseil départemental de la Haute-Garonne se sont prononcés en faveur d’une révision du barème ouvrant droit à la gratuité des frais de restauration, le 19 mai 2022. Pour l’année scolaire 2022-2023, la collectivité estime que près de 500 collégiens supplémentaires pourraient bénéficier d’une exonération totale. Le coût de cette mesure est estimé à environ 124 000 € par an. Actuellement, sur les 67 000 collégiens du département, 60 500 sont demi-pensionnaires (soit 90 %) et plus d’un tiers bénéficie de l’aide du département. Près de 8 300 bénéficient de la gratuité totale et environ 12 900 d’une gratuité à 50 %. Cette aide représente un budget de 6,2 M€ pour le conseil départemental. À partir du mois de juin, les familles pourront simuler le montant d’aide à laquelle ils peuvent prétendre sur eCollège31 et déposer leur demande en ligne.