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Les entreprises françaises ont connu un taux d'absentéisme de 3,84 % en 2011, soit 14 jours d'absence en moyenne par an et par salarié. Un chiffre en recul par rapport 2010 (4 %, soit 14,5 jours) (AEF n°246695), et au plus bas depuis 2007. Globalement, l'absentéisme baisse dans le secteur privé. « Mais des records sont tout de même enregistrés dans les secteurs de la santé (6,61 % soit 24 jours) et des transports (5,13 % soit 18,7 jours). La situation est meilleure dans les grands groupes qui connaissent un absentéisme plus faible que dans les PME. Les cadres, quant à eux, obtiennent cette année encore, la palme de l'assiduité (1,53 %, soit 5,6 jours) ». Tels sont les principaux résultats du quatrième baromètre annuel de l'absentéisme réalisée par Alma Consulting Group, publié mardi 4 septembre 2012 (1).
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Les premières tendances chiffrées des absences pour raison de santé dans les fonctions publiques territoriale et hospitalière, enregistrées par le groupe Sofaxis (asurances des collectivités territoriales) sur l'année 2011, confirment la poursuite de la hausse constatée depuis cinq ans. Les principaux indicateurs d'absence ont continué à progresser en 2011 (durée et nombre d'arrêts surtout).
« La baisse de l'engagement au travail des salariés et l'augmentation des absences de courte durée », est l'un des principaux enseignements de la troisième étude « Santé en entreprise » (1) réalisée par Malakoff Médéric (2). Présentée le 13 décembre 2011 par Guillaume Sarkozy, délégué général, et Anne-Sophie Godon, directrice prévention santé et nouveaux services, elle s'inscrit dans une « démarche active de prévention santé visant à préserver la santé et le bien-être des salariés, réduire les risques et optimiser les budgets de la protection sociale », dans un contexte d'augmentation des dépenses. C'est pourquoi cette étude s'intéresse aux indicateurs perçus par les salariés comme susceptibles d'avoir un impact sur l'engagement et la présence au travail. Il en ressort notamment qu' « en 2011, les grands indicateurs de risques restent stables. Les 'composantes du travail et du métier', à savoir la pénibilité, la pression psychologique ou encore la reconnaissance, demeurent le premier facteur de risque pour un salarié sur deux (38 %), devant le 'contexte social' (33 %) ».
Les entreprises françaises ont connu en 2010 un taux d'absentéisme de 4 %, soit 14,5 jours d'absence en moyenne par salarié. Cette moyenne est en baisse par rapport à 2009 (4,85 % - 17,8 jours) mais « masque une grande disparité entre les entreprises qui oscillent entre 7,5 jours et 52 jours d'absence par salarié, soit un écart de 44,5 jours ». C'est ce qui résulte du 3ème Baromètre de l'absentéisme d'Alma Consulting Group publié jeudi 3 mars 2011 (1). « Le secteur de la santé, les PME de moins de 250 personnes et le sud de la France détiennent la palme de l'absentéisme », indique le groupe de conseil opérationnel en réduction de coûts. Les disparités sont « fortement accentuées » selon les profils, les tailles des entreprises, les secteurs et les zones géographiques.
Le taux national d'absentéisme s'élève à 4,85 %, soit 17,8 jours d'absence en moyenne par salarié en 2008 : c'est ce qui ressort du 2e baromètre de l'absentéisme d'Alma Consulting Group, publié mercredi 13 janvier 2010. Ainsi, on constate une augmentation de plus d'un point par rapport à l'année 2007 (3,69 %). D'autre part, l'enquête montre que certains secteurs, comme ceux des services et de la santé, affichent un taux particulièrement élevé. Il en est de même pour les PME par rapport aux autres entreprises. La crise économique et les incertitudes qu'elle peut engendrer n'ont pas constitué un facteur propre à endiguer cette augmentation du taux d'absentéisme, dont la croissance atteint 36 % en deux ans.
« Proposer un cadre d'analyse de l'absentéisme au travail qui puisse servir de repères à l'action » : telle est l'ambition du guide : « L'absentéisme. Outils et méthodes pour agir », que publie l'Anact. Depuis quelques années, le réseau Anact, à la demande d'entreprises confrontées à un absentéisme croissant, s'est en effet attelé à la compréhension de ce phénomène et propose des méthodes pour le prévenir et le corriger. Ce guide représente un travail de capitalisation d'actions menées dans des entreprises de tous secteurs et de toutes tailles.