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« Seule une femme cadre sur dix estime qu'il existe un problème d'inégalité salariale entre les hommes et les femmes », indique Gabriel Bardinet, manager dans le département rémunération et avantages sociaux chez Deloitte, commentant dans un communiqué l'enquête MobiCadres réalisée par les cabinets Deloitte et Nomination, jeudi 6 septembre 2012 (1). « Ce constat est cohérent avec ce que nous observons dans beaucoup d'entreprises : à poste comparable, les niveaux de rémunération entre hommes et femmes sont en général assez proches. Le sujet est davantage celui de l'accès des femmes aux postes à responsabilité », ajoute-t-il. Cependant, selon l'étude, une femme sur deux s'estime insatisfaite de son niveau de rémunération.
Près de 40 % des décideurs considèrent leur rémunération comme insatisfaisante. Cette insatisfaction est beaucoup plus marquée pour les salariés les plus jeunes (âgés de moins de 35 ans) qui sont 43 % à être insatisfaits de leur rémunération, contre seulement 34 % des salariés de 55 ans et plus. Cette différence de perception entre générations est principalement liée à un sentiment plus marqué chez les salariés les plus jeunes d'un niveau de rémunération inférieur à celui du marché. Ce sont les résultats d'une étude réalisée par les cabinets Deloitte et Nomination, rendue publique le 5 juillet 2012, qui « confirme que si la rémunération reste l'une des premières attentes des salariés, elle n'est pas pour autant un levier de motivation ».
Permettre aux femmes de se rendre visibles car trop souvent, un grand nombre d'entre elles s'interrogent sur leur aptitude à remplir correctement les fonctions qui leur sont proposées dans les conseils d'administration. C'est le but du guide intitulé « Administrateur(e) au féminin », publié mercredi 7 mars 2012 par le cabinet Deloitte en collaboration avec l'association European Professional Women's Network, et Viviane de Beaufort, professeur de droit Européen à l'Essec Business School. Écrit par des femmes pour les femmes, l'ouvrage comprend plusieurs parties. L'une, plus théorique, est consacrée à l'ensemble des responsabilités prises en charge par les membres du conseil d'administration, tandis que trois autres chapitres expliquent comment développer une stratégie pour devenir administrateur, comment rechercher et choisir son mandat, et comment doit s'organiser la vie d'un conseil, au travers de témoignages.
« Si 63 % des entreprises estiment que leur système de rémunération variable est efficace pour atteindre leurs objectifs stratégiques, seulement 17 % mesurent son retour sur investissement », indique l'étude « Aligner votre politique de rémunération avec votre stratégie » (1), menée à l'échelle européenne par le cabinet Deloitte, et publiée mardi 21 février 2012. Il en ressort notamment que « l'efficacité des stratégies de rémunération reste difficile à mesurer pour les entreprises et insuffisamment alignée avec les plans stratégiques qui reposent de plus en plus sur des leviers non financiers (leadership, innovation…) ». En clair, cela signifie que « les leviers stratégiques non financiers sont trop rarement traduits en objectifs de performance individuelle et souffrent d'un effet de dilution ».
La totalité des entreprises du CAC 40 disposent d'un engagement formalisé en matière d'égalité hommes-femmes. Pour 33 d'entre elles, la question de l'égalité est présentée dans la partie « diversité » de leur rapport annuel, document de référence ou rapport de développement durable, 29 sociétés ont émis un engagement formalisé par la signature d'une charte externe, 22 ont mis en place un programme dédié. La signature de la Charte de la diversité (2004) ou encore de la Charte de la parentalité en entreprise (2008) est souvent une étape qui marque une prise de conscience et le début de la formalisation d'une démarche de l'entreprise. C'est ce que révèle une étude sur l'égalité professionnelle au sein des entreprises du CAC 40 publiée jeudi 9 février 2012 par Deloitte.
La crise n'a « pas autant de prise sur le moral des jeunes diplômés qu'on aurait pu le croire », indiquent Deloitte et l'Ifop, qui rendent publique la première édition de leur baromètre « humeur des jeunes diplômés », jeudi 2 février 2012 (1). 84 % des jeunes interrogés considèrent l'entreprise comme un lieu d'épanouissement personnel et 62 % des jeunes en poste souhaitent continuer de travailler pour leur employeur actuel. « Si les jeunes diplômés affichent une certaine défiance vis-à-vis des employeurs – 58 % d'entre eux estimant qu'il faut se méfier de ces derniers –, ils témoignent malgré tout d'une vraie confiance dans le management. »
Sept cadres sur dix (71 %) pensent que le calcul de la performance ne peut reposer exclusivement sur les résultats financiers de l'entreprise. C'est également l'avis de 92 % des jeunes actifs issus de la génération Y. C'est ce que révèle une enquête mondiale réalisée par DTTL (Deloitte Touche Tohmatsu Limited), rendue publique jeudi 26 janvier 2012, à l'occasion du Forum économique mondial de Davos. Le cabinet a interrogé 390 cadres supérieurs (1), ainsi que 1 000 jeunes issus de la génération Y, sur la place de l'entreprise dans la société, et notamment son impact et sa capacité à jouer un rôle sociétal. Alors que les notions les plus valorisées pour décrire la performance par les dirigeants sont « profit », « richesse », ou encore « emploi », les jeunes de la génération Y préfèrent parler de « développement durable », d' « innovation », et de « progrès social ».