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« Quatre domaines, issus des échanges de la table ronde emploi de la 'Grande conférence sociale' - les partenaires sociaux ayant naturellement la liberté d'élargir ces domaines - devront être articulés dans cette approche globale 'gagnant-gagnant' » : « lutter contre la précarité sur le marché du travail », « progresser dans l'anticipation des évolutions de l'activité, de l'emploi et des compétences », « améliorer les dispositifs de maintien de l'emploi face aux aléas conjoncturels, pour éviter les licenciements et les pertes de compétences dans les entreprises confrontées à des difficultés » et « améliorer les procédures de licenciements collectifs, lorsqu'ils n'ont pu être évités par les actions d'anticipation ou d'activité partielle ci-dessus, pour concilier un meilleur accompagnement des salariés et une plus grande sécurité juridique pour les entreprises comme pour les salariés ». Tels sont les thèmes que le gouvernement veut voir prioritairement discutés par les partenaires sociaux lors de la prochaines négociation nationale interprofessionnelle « pour une meilleure sécurisation de l'emploi ». Un document d'orientation de quatre pages en détaillant le contenu vient d'être transmis aux partenaires sociaux ce vendredi 7 septembre 2012.
Le gouvernement liste de nombreux chantiers prioritaires à l'issue de la table ronde de la conférence sociale, intitulée « développer l'emploi, en priorité l'emploi des jeunes ». Après le discours de clôture du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, le gouvernement a transmis aux participants une « feuille de route sociale » dans la soirée du mardi 10 juillet 2012 (AEF n°210636), pour préciser les chantiers à ouvrir, la méthode et le calendrier. « Dans le cadre du processus de dialogue social initié par la 'Grande conférence sociale', au-delà des rendez-vous à venir sur l'ensemble de la conférence, le ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social réunira les partenaires sociaux avant la fin 2012. Cette rencontre permettra de faire le point sur les différents exercices qui auront alors été engagés », précise la « feuille de route sociale ». Voici le détail des chantiers annoncés dans le domaine de l'emploi.
« Cette 'feuille de route sociale', établie à l'horizon de la fin 2013, est le fruit des travaux de la grande conférence pendant ces deux jours ainsi que de tous les échanges qui les ont précédés. Si chacune des organisations participantes conserve naturellement ses attentes et priorités propres, et portera dans la suite du processus ses positions et propositions, la présente feuille de route exprime des constats et objectifs pour l'essentiel partagés, et les éléments de méthode et de calendrier débattus que le gouvernement entend retenir à l'issue de la grande conférence sociale ». C'est ce qu'indique la « feuille de route sociale » que le gouvernement a transmis dans la soirée du mardi 10 juillet 2012 aux participants de cette conférence qui s'est tenue au palais d'Iéna pendant deux jours. AEF met en ligne ce document.
Sécurisation des parcours professionnels, contrat de génération, emplois d'avenir, fixation du Smic, égalité professionnelle, compte individuel de formation, valorisation des mandats syndicaux, responsabilité sociale des entreprises, évolution du système de retraites, dialogue social dans la fonction publique… Nombreux sont les thèmes de négociation ou de concertation annoncés par le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, en clôture de la conférence sociale organisée entre les pouvoirs publics et les partenaires sociaux au palais d'Iéna, siège du CESE(Conseil économique, social et environnemental), lundi 9 et mardi 10 juillet 2012. Cette « feuille de route sociale », qui sera communiquée mercredi 11 juillet aux organisations syndicales et patronales, s'avère donc riche avec des rendez-vous le plus souvent à brève échéance, d'ici la fin 2012 ou début 2013. Elle concerne, à des degrés divers, toutes les thématiques abordées dans le cadre des sept tables rondes de la conférence (l'emploi, la formation professionnelle, rémunérations, l'égalité professionnelle et la qualité de vie au travail, le redressement productif, la protection sociale et les retraites, les services publics et la fonction publique).
« Sur la table ronde intitulée 'développer l'emploi et en priorité l'emploi des jeunes', c'est une vision dynamique de l'intitulé qui a été retenu en favorisant des politiques de l'emploi pour créer un nouveau mode de croissance qui allie compétitivité et cohésion sociale des territoires », déclare, mardi 10 juillet 2012, la « facilitatrice », Catherine Barbaroux, à l'occasion de sa restitution des deux demi-journées de la table ronde organisée dans le cadre de la conférence sociale au palais d'Iéna. D'une manière générale, « nous retirons le sentiment que chacun pouvait librement apporter sa contribution au défi que nous avons à relever tous ensemble ». Des huit heures de discussions, elle tire « cinq constats ».
« Une grande négociation sur l'emploi, qui intègre les évolutions de l'emploi, l'adaptation à la conjoncture et la sécurisation des parcours professionnels. » Selon les termes de Laurent Berger (CFDT), telle devrait être la proposition faite aux partenaires sociaux en matière d'emploi que le Premier ministre annoncera en clôture de la conférence sociale, mardi 10 juillet 2012. « Cette grande négociation reste à préciser », réagit Agnès Lebot (CGT), qui demande au gouvernement de « fixer les finalités » d'une telle négociation et de veiller à ce qu'elle débouche sur « des garanties collectives pour les salariés ».
Par arrêté du 24 mai publié au JO du 26 mai 2022, sont nommés au cabinet du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, Bertrand Dumont, directeur de cabinet et Augustin Cellard, chef de cabinet. Les deux hommes sont reconduits dans leurs fonctions.
Laureline Peyrefitte, procureure de la République de Meaux (Seine-et-Marne) est directrice de cabinet adjointe d’Eric Dupond-Moretti depuis mercredi 25 mai 2022. Son arrêté de nomination a été publié au Journal officiel du 26 mai. Elle succède à Rémi Decout-Paolini, directeur adjoint du cabinet d’Éric Dupond-Moretti depuis son arrivée place Vendôme, et jusqu’au 14 mars 2022, date à laquelle il avait remplacé la directrice de cabinet Véronique Malbec, partie au Conseil constitutionnel.