En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
« Clairement, l'Andra (Agence nationale pour la valorisation des déchets radioactifs) a atteint ses objectifs et peut se prévaloir du statut d'institut de recherche pour avoir su saisir la chance unique de mettre en place des partenariats publics, parapublics et privés dans les domaines des sciences dites dures et des sciences sociales. » Telle est l'appréciation que porte l'Aeres (Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur) dans le rapport d'évaluation qu'elle consacre à l'Andra (1), rendu public vendredi 7 septembre 2012. Le rapport retient aussi « une identité forte et un bon climat de travail, avec des personnels fortement motivés par la conviction de contribuer à une mission d'intérêt général et mus par la fierté de participer à une aventure unique et à des projets atypiques ». La conclusion qu'en tire l'Aeres est que « le soutien apporté à l'Andra ne doit pas faiblir car c'est un acteur important du dispositif de recherche national ».
Le « Journal officiel » daté de dimanche 15 août 2010 publie la convention passée entre l'État et l'Andra (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs), retenue comme opérateur de l'action de « recherche en matière de traitement et de stockage de déchets » dans le cadre du programme d'investissements d'avenir. Cette action est dotée de 100 millions d'euros de crédits, qui ont été attribués à l'Andra par la loi de finances rectificative pour 2010. L'agence pourra ainsi disposer de « moyens financiers sur plusieurs années pour optimiser la gestion des capacités de stockage et élargir sa capacité d'action ». Deux axes de développement sont concernés : « la mise en place de filières de valorisation pour les déchets métalliques très faiblement radioactifs issus du démantèlement d'installations nucléaires » d'une part, « la mise au point de procédés ou de technologies innovantes de traitement des déchets radioactifs chimiquement réactifs en vue de faciliter leur stockage » d'autre part.