Politique de cookies
Le groupe AEF info utilise des cookies pour vous offrir une expérience utilisateur de qualité, mesurer l’audience, optimiser les fonctionnalités et vous proposer des contenus personnalisés. Avant de continuer votre navigation sur ce site, vous pouvez également choisir de modifier vos réglages en matière de cookies.
Politique de protection des données personnelles
« Nous attendons des précisions sur les loyers de référence qui seront mis en place dans le cadre du dispositif Duflot », remarque Guy Nafilyan, PDG de Kaufman & Broad, lors de la présentation des résultats de la société pour les neuf premier mois de l'année, lundi 1er octobre 2012. Le nouveau dispositif fiscal d'incitation à l'investissement locatif dit « Duflot » figure dans le PLF pour 2013 lors du conseil des ministres vendredi dernier (AEF Habitat et Urbanisme n°205799), mais selon Guy Nafilyan, « les contours devront être améliorés, notamment si le gouvernement souhaite amener les investisseurs institutionnels sur le marché ». « La ministre nous annonce un observatoire des loyers, mais va-t-on rentrer dans le détail des loyers quartiers par quartiers, ou va-t-on prendre une moyenne que l'on va ensuite appliquer sur l'ensemble d'une agglomération ? Et cet observatoire sera-t-il prêt au 1er janvier 2013 ? », s'interroge-t-il.
Que diriez-vous de découvrir nos services d’information en temps réel ainsi que les dossiers thématiques et les newsletters de nos rédactions ?
Nous vous invitons à formuler une demande de test pour accéder à AEF info.
« En termes de chiffre d'affaires, la bonne performance du deuxième trimestre sur l'activité logement a compensé un premier trimestre pénalisé par les interruptions de chantiers du fait des mauvaises conditions météorologiques », commente Guy Nafilyan, PDG de Kaufman & Broad, jeudi 19 juillet 2012, lors de la présentation des résultats semestriels de la société pour 2012. Le chiffre d'affaires Logement a progressé de 13,2 % au deuxième trimestre 2012 en glissement annuel, contre une baisse de 8,6 % au trimestre précédent (AEF Habitat et Urbanisme n°216545), pour s'établir à 444,5 millions d'euros sur le semestre (soit +1,7 %). Celui de l'activité « appartements » s'établit à 434,2 millions d'euros sur le premier semestre, en progression de 8 %. En revanche, le chiffre d'affaires « maisons individuelles en village » s'élève à 10,4 millions d'euros, contre 35 millions d'euros au premier semestre 2011 (1).
« Le premier trimestre 2012 a été impacté en terme d'activité commerciale par la baisse conjoncturelle des ouvertures de programmes de logements », constate, jeudi 19 avril 2012, Guy Nafilyan, PDG de Kaufman & Broad à l'occasion de la présentation des résultats du 1er trimestre 2012 lors de l'assemblée générale du groupe. 1 056 logements nouveaux ont été lancés sur les trois premiers mois de l'année contre 1 754 au 1er trimestre 2011, soit une baisse de près de 40 %. « L'activité a été par ailleurs marquée en termes de chiffres d'affaires par les mauvaises conditions météorologiques constatées au mois de janvier dernier, avec un arrêt pendant 10 jours de l'ensemble de nos chantiers en France », explique Guy Nafilyan. Le chiffre d'affaires de l'activité « logement » s'établit au 1er trimestre 2012 à 210,3 millions en recul de 8,6 % par rapport au 1er trimestre 2011. Ce chiffre représente 97,7 % du chiffre d'affaires total qui, lui, est de 215,3 millions, en baisse de 7,6 %, dont pour en recul de 8,6 % (1).
Kaufman & Broad lance une « nouvelle gamme d'offre d'appartements à des prix de vente inférieurs de 25 % aux prix du marché », soit à un prix inférieur à 3 000 euros du mètre carré en Île-de-France et proche de 2 500-2 600 euros en région ce qui équivaut à un un peu plus de 100 000 euros en province pour un appartement de 42 mètres carrés. L'annonce du promoteur, jeudi 19 janvier 2012, intervient alors que le marché de l'immobilier neuf a connu, en 2011, un recul de 18 % en termes de réservations pour revenir à une fourchette de 85 000 à 98 000 ventes de logements contre 115 000 en 2010. Le promoteur immobilier, qui a réalisé, sur l'exercice 2011, 1,04 milliard d'euros de chiffre d'affaires (dont 983,4 millions d'euros dans le logement) pour 47,5 millions de bénéfice net, compte lancer « à moyen terme » une dizaine d'opérations de ce type par an, représentant 700 appartements, soit 10 % de son offre commerciale à l'échelon national. Pour réussir ce « pari », le groupe présidé par Guy Nafilyan jouera sur le choix du foncier, la conception des immeubles, les coûts techniques et les modes de commercialisation.
« En ce début de deuxième semestre, le marché de l'immobilier neuf reste très contrasté », relève Guy Nafilyan, le président du promoteur immobilier Kaufman & Broad, vendredi 8 juillet 2011. « L'offre commerciale en France [de l'ensemble de la promotion privée] est toujours très faible, avec 63 000 logements. Cette offre est en recul dans toutes les grandes régions de France - à raison de - 22 % en Aquitaine, -17 % en Bretagne, -18 % en Île-de-France, -12 % en Rhône-Alpes, et -4 % en Provence Alpes Côte d'Azur. » Tout en se félicitant du bas niveau de stocks de logements neufs invendus (à raison de 3 300 logements, soit une diminution de 40 % par rapport au premier trimestre 2010), Guy Nafilyan estime que les ventes de logements neufs avoisineront cette année à l'échelon national les 105 000 à 110 000 « dans un environnement économique toujours fragile, marqué par un niveau de chômage élevé », mais avec une démographie qui reste porteuse. Il s'attend, par ailleurs, à ce que le second semestre soit marqué par une reprise des réservations dans le cadre du dispositif fiscal Scellier et marque une stabilisation des prix des logements.
La cour d’appel de Rennes juge le 6 janvier 2021 que la faute inexcusable de la société Nutrea Nutrition Animale est à l’origine du suicide sur son lieu de travail d’un chauffeur chargé de la livraison d’aliments pour bétail et victime d’épuisement professionnel. Elle constate que le salarié, exposé sans protection à des produits chimiques provoquant des réactions allergiques ayant conduit au licenciement pour inaptitude de collègues, était soumis à des amplitudes de travail excessives et à un stress lié aux incertitudes sur son emploi, l’employeur n’ayant pas cherché à réduire les risques.