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L'ENS (59e), l'École polytechnique (62e), l'UPMC (81e), l'université Paris-Sud (92e), l'université Paris-Diderot (166e), l'ENS Lyon (170e) et l'université Grenoble-I Joseph-Fourier (180e) sont les sept établissements français figurant dans le top 200 du classement « Times higher education » 2012, soit deux de plus qu'en 2011 (Paris-Sud et Grenoble-I) (AEF n°231059). Le rang de l'ENS reste le même d'une année sur l'autre, l'X en gagne un, l'UPMC et Paris-VII, trois. En revanche, l'ENS Lyon en perd 29. Avec sept établissements dans les 200 premiers mondiaux, la France se classe au 7e rang des nations, ex-aequo avec la Suisse et derrière les États-Unis (76), le Royaume-Uni (31), les Pays-Bas (12), l'Allemagne (11), le Canada (8) et l'Australie (8). Elle est devant le Japon (5) et la Suède (5).
Seules 17 écoles et universités françaises (1) ont été systématiquement classées chaque année depuis dix ans dans le top 500 du palmarès international dit « de Shanghai », et la meilleure place jamais atteinte par un établissement d'enseignement supérieur français est le 37e rang : il s'agit de l'université Paris-Sud, en 2012. C'est ce que montre le tableau de l'évolution du rang des universités françaises sur dix éditions (2003-2012) du palmarès publié par l'université Jiao-Tong (Chine) et compilé par AEF. L'UPMC conserve, en moyenne sur la période, le titre de première université française (huit fois sur dix ans). Toutefois, la dynamique se situe davantage du côté de l'université Paris-Sud, qui l'a détrônée à partir de 2011 sur le plan national et qui progresse de manière régulière chaque année sur le plan international, passant du 72e rang en 2003 au 37e en 2012. La position de l'UPMC reste, elle, globalement stable, entre les rangs 39 et 46 depuis 2004.
20 universités françaises, soit une de moins qu'en 2011 (AEF n°234628) et deux de moins qu'en 2010 (AEF n°262428), figurent dans le top 500 du classement de Shanghai 2012 (1), publié mardi 14 août 2012 par l'université Jiao Tong (Chine) et toujours dominé par le trio de tête américain Harvard, Stanford et MIT. Il s'agit de la 10e édition de ce palmarès international annuel des universités. Comme c'est le cas depuis 2009, trois institutions françaises atteignent le top 100 : Paris-Sud-XI, qui passe du 40e rang mondial au 37e, l'UPMC (42e, contre 41e en 2011) et l'ENS (73e, alors qu'elle était 69e l'année dernière). 19 des 20 universités françaises classées cette année l'étaient déjà en 2011, quasiment aux mêmes places, à l'exception de Grenoble-I, qui entre dans la catégorie 101-150 (contre 151-200 l'année passée) et Rennes-I, qui passe de la tranche 301-400 à la tranche 401-500. L'ENS Lyon et l'UVSQ disparaissent du top 500, tandis que Lille-I y fait son entrée, dans la catégorie 401-500.
Cinq établissements français se classent parmi les 200 premiers mondiaux dans le palmarès 2011 du « Times higher education », réalisé en partenariat avec Thomson Reuters, et paru jeudi 6 octobre 2011 : l'ENS Paris (59e), l'École polytechnique (63e), l'UPMC (84e), l'ENS Lyon (141e) et l'université Paris-Diderot (169e). L'année dernière, seuls les quatre premiers établissements précités figuraient dans le top 200 (AEF n°260458 ) : l'ENS Paris était 41e, l'X était 39e, l'ENS Lyon 100e et l'UPMC, 141e. Les autres Français représentés parmi le « best of the rest », soit les 200 autres établissements classés par le magazine britannique, et que celui-ci dévoile pour la première fois, sont : l'université de Strasbourg (201-225e), l'université de Montpellier-II (276-300e) et l'université Paris-XIII (351-400). Au niveau global, le top 20 mondial est occupé par quatorze universités américaines (le California institute of technology, présidé par le Français Jean-Lou Chameau, détrônant Harvard à la première place), quatre britanniques, une canadienne et une suisse.
Quatre établissements français figurent dans le classement 2010 du magazine britannique « THE » (« Times Higher education ») des 200 meilleures universités mondiales, publié jeudi 16 septembre 2010. Il s'agit de l'École polytechnique, 39e ; l'ENS Ulm, 41e ; l'ENS Lyon, 100e ; et l'UPMC, 141e. C'est la première édition du classement réalisé en partenariat avec Thomson Reuters, l'éditeur de la base de données scientifiques Web of science, le « THE » ayant rompu son partenariat de six ans avec QS (Quacquarelli Symonds), qui a lui-même choisi de poursuivre la publication de son classement avec d'autres partenaires média (AEF n°261107). Une nouvelle méthodologie a été développée après consultation des lecteurs, d'un comité éditorial d'experts de l'enseignement supérieur et de Thomson Reuters (AEF n°291386 et AEF n°266995).
Quatre établissements français figurent dans le top 200 des meilleures universités mondiales du THE (« Times higher education »), selon QS (Quacquarelli Symonds), l'agence qui le réalise en partenariat avec le journal et dont l'intégralité des résultats vient d'être mise en ligne, jeudi 8 octobre 2009. Outre l'ENS Ulm et Polytechnique, respectivement 28e et 36e (AEF n°289508), on trouve en 117e position l'UPMC qui fait un bond de 32 places et l'ENS Lyon, 126e qui gagne quant à elle 14 places.
Deux établissements français figurent dans le top 100 du classement 2009 des 200 meilleures universités mondiales du THE (« Times higher education »), selon QS (Quacquarelli Symonds), l'agence qui le réalise en partenariat avec le journal. Il s'agit de l'ENS Ulm qui pointe à la 28e place, comme l'année dernière, et de Polytechnique, 36e, qui perd deux places par rapport à l'année dernière. Le THE précise par ailleurs que l'ENS fait partie du top 50 des établissements spécialisés « sciences naturelles ». Le THE n'a pas encore communiqué l'intégralité de son classement qui devrait être en ligne dans la journée du 9 octobre 2009 (www.topuniversities.com). L'année dernière, outre l'ENS et Polytechnique, l'ENS Lyon (140e) et l'UPMC (149e) figuraient dans le top 200.