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« Les nombreux classements extrafinanciers ne sont pas si souvent utilisés, et quand c'est le cas, ils servent d'information, ils influencent rarement les actions ou décisions d'investissements », constate une enquête de l'organisme de sondage Globescan et du cabinet de conseil britannique SustainAbility, publiée en septembre 2012. Cette enquête a été menée en juin 2012 auprès de 850 experts en développement durable (gouvernements, entreprises, ONG, chercheurs) issus de 70 pays et de multiples secteurs.
21 entreprises ont été ajoutées et 7 ont été supprimées du FTSE4Good index (footsie for good), l'indice de durabilité de la Bourse de Londres et du « Financial Times », qui publie son évaluation semestrielle, lundi 17 septembre 2012. Parmi les ajouts figurent onze entreprises américaines, trois britanniques, trois australiennes, deux japonaises, une suisse, une canadienne et aucune française. Parmi les sept suppressions, certaines n'ont pas respecté le critère « droits de l'homme et du travail » (Mattel, Best buy compagny, PCCW, Nippon Express), d'autres le critère « management environnemental » (Nippon express, Ageas, Dr Pepper Snapple, Pendragon).
41 entreprises sont ajoutées et 41 supprimées du Dow Jones sustainability index « monde », indice mondial de durabilité de la Bourse de New York, à compter du 24 septembre 2012, d'après les résultats de son évaluation annuelle, publiée jeudi 13 septembre 2012. Il s'agit de la suppression « la plus importante » de l'indice de durabilité du Dow Jones, qui comprend désormais 340 entreprises (dont 166 européennes). Chaque année 2 500 plus grandes entreprises mondiales de 58 secteurs sont invitées à communiquer sur leur performance de durabilité.
543 entreprises ont obtenu le statut « Prime » en 2011, c'est à dire investissable en ISR, soit environ 17 % des 3 200 entreprises issues de 50 pays évalués par Oekom, agence allemande de notation extrafinancière, qui a publié ses résultats le 27 mars 2012. « De nombreuses entreprises sont encore loin de ce que nous souhaiterions voir dans une économie verte. Plus de la moitié (57,4 %) n'ont mis en oeuvre que des actions rudimentaires ou n'ont rien mis en place en terme de durabilité », remarque Matthias Bönning, directeur des opérations et de la recherche à Oekom. L'Allemagne a la plus grande proportion d'entreprises ayant obtenu le statut Prime, suivi de l'Italie, de la Finlande et de la France. Au Japon et aux États-Unis, moins d'une entreprise sur dix a « démontré un niveau suffisant d'engagement au développement durable ». Les fabricants de produits ménagers obtiennent la meilleure note en moyenne, suivis de l'industrie informatique et de l'industrie automobile.
« Malgré l'amélioration de leur propre performance en matière de bilan carbone, les compagnies multinationales ne montrent pas de réductions significatives des émissions de GES (gaz à effet de serre) de leurs chaînes de fournisseurs », constate une étude publiée par CDP (Carbon disclosure project) et Accenture, mercredi 1er février 2012. Le rapport sur 49 entreprises membres de CDP, dont L'Oréal, Philips, Walmart, et plus de 1 800 de leurs fournisseurs, révèle que si « 43 % des entreprises interrogées ont mené à bien leurs réductions d'émissions annuelles, c'est le cas pour seulement 28 % de leurs fournisseurs ».
« Unilever détrône Nike après un règne de trois ans comme meilleure [entreprise] », s'agissant de leur engagement dans la lutte contre le réchauffement climatique, selon le palmarès 2012 de l'ONG Climate counts, publié mercredi 7 décembre 2011. Le groupe spécialisé dans les produits alimentaires, de soin et d'entretien obtient 88 points sur un total de 100. Il est suivi du groupe pharmaceutique Astra Zeneca (86 points), puis de Nike et Siemens (85 points chacun). C'est la cinquième année consécutive que l'ONG réalise son palmarès : le score moyen a progressé de 54 % pendant cette période. Et 79 des 136 entreprises notées atteignent au moins 50 points.