En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
« L'aggravation de la crise fait s'effondrer la confiance des étudiants et, de façon plus dramatique, celle des étudiants en écoles de commerce », indique TNS Sofres dans l'édition 2012 de son « palmarès des grandes écoles de commerce et d'ingénieurs », rendu public lundi 15 octobre 2012 (1). « Seuls 32 % [des étudiants d'écoles de commerce] pensent qu'il leur sera facile de décrocher un premier emploi, alors qu'ils étaient encore 51 % l'an passé à y croire. Les étudiants ingénieurs ne sont plus que 61 % à être optimistes sur ce premier emploi, tandis qu'ils étaient 80 % en 2011 ».
« Malgré un contexte économique récent marqué par la crise, les rémunérations des jeunes diplômés en emploi, au global, ne se sont pas dégradées », indique l'Apec dans son étude « Les jeunes diplômés 2011. Situation professionnelle en 2012 » (AEF n°205445), rendue publique mercredi 3 octobre 2012 (1). « On constate une augmentation régulière depuis 2009 des rémunérations versées à ces nouveaux salariés. Toutefois les évolutions de salaire diffèrent selon la nature du diplôme. Après une nette hausse entre 2009 et 2010 du salaire médian des diplômés d'école de commerce, celui-ci a nettement baissé depuis un an. Pour les diplômés de l'université, c'est une hausse du salaire médian et moyen qui s'observe depuis un an. »
« Les entreprises ont l'intention de recruter moins de débutants qu'auparavant », déclare Jean-Marie Marx, directeur général de l'Apec, à l'occasion de la présentation de l'édition 2012 de l'enquête « Les jeunes diplômés 2011. Situation professionnelle en 2012 », rendue publique mercredi 3 octobre 2012 (1). « Tout laisse penser qu'une dégradation sensible devrait être à l'oeuvre dans les prochains mois. Cependant, les mesures en faveur des jeunes - notamment le contrat de génération - devraient faciliter le démarrage de leur vie professionnelle », déclare-t-il. « Nous recevrons 15 000 jeunes cette année contre environ 3 000 l'an dernier », indique Jean-Marie Marx, pour qui les jeunes constituent désormais « un changement stratégique important » de l'Apec, suite en particulier à l'ANI du 12 juillet 2011 rénovant les missions de l'Apec (2). « Jusqu'à présent, ils avaient peu accès aux services de l'Apec, dont la priorité était les cadres ayant cotisé. »
Google domine, en 2012 et pour la quatrième année consécutive, le classement des cinquante employeurs les plus attractifs au monde pour les étudiants et jeunes diplômés (1). Google occupe la première place, tant auprès des étudiants que des jeunes diplômés ingénieurs et des jeunes diplômés d'écoles de management. Ce classement international, issu de la consolidation des enquêtes nationales réalisées par Universum, fait également apparaître une forte consommation des médias sociaux par les étudiants et jeunes diplômés interrogés : 14 % des étudiants interrogés utilisent les réseaux sociaux « toutes les heures » et plus d'un étudiant sur deux (57 %) utilise les réseaux sociaux « plusieurs fois par jour ». Près des trois quarts des étudiants (71 %) s'attendent à ce que les employeurs visitent leur profil personnel « après avoir interagi avec eux sur les communautés en ligne ».
LVMH, Apple et L'Oréal sont les trois employeurs préférés des étudiants français issus d'une filière universitaire commerce/management, selon le baromètre Universum 2012, publié mardi 20 mars 2012 (1). C'est la première fois que les étudiants d'universités sont interrogés par le cabinet d'étude Universum, spécialisé dans la marque employeur. Air France et Google arrivent ensuite dans le classement. Les universitaires issus de la filière ingénieurs-informatique citent eux d'abord Google comme « employeur idéal », devant Apple, Microsoft, EADS et Air France.
« Près de trois quart des jeunes de la génération Y [jeunes nés entre 1980 et 2000] ont fait des compromis pour entrer sur le marché du travail » en période de ralentissement économique, mais leurs attentes restent fortes en matière de développement de compétences et d'évolution de carrière », indique la troisième édition de l'enquête « Millenials at work » (1) réalisée par PWC (PricewaterhouseCoopers), rendue publique mardi 21 février 2012. « Si les attentes des Y restent les mêmes que celles constatées en 2009, les jeunes s'adaptent à la réalité du monde du travail en termes de salaire, de mobilité ou d'employeur. Les DRH doivent s'adapter pour fidéliser cette génération et accompagner les managers de l'entreprise. »
28 associations bénéficieront de financements du gouvernement pour mener à bien des actions en faveur de l’égalité économique entre les femmes et les hommes. Elles ont remporté l’appel à projets lancé en mars 2022, doté d’une enveloppe totale d’un million d’euros. Les projets financés visent en particulier à "permettre à un plus grand nombre de femmes d’accéder à une autonomie économique", à "permettre aux femmes, notamment celles les plus éloignées de l’emploi, de s’insérer professionnellement" et à "promouvoir la mixité dans des secteurs identifiés comme non mixtes".