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« Le Cogic (centre opérationnel de gestion interministérielle des crises) s'efforce d'assurer la meilleure convergence possible concernant la veille opérationnelle dans le domaine de la sécurité civile, semblable à un phare avancé en mer. » C'est en ces termes que le lieutenant-colonel Bruno Maestracci décrit la mission du Cogic, qu'il dirige depuis juin 2011, dans un entretien accordé au magazine de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France de décembre 2012. Le Cogic dépend du bureau opérationnel de la gestion interministérielle des crises de la direction générale de la sécurité civile et de la gestion de crise du ministère de l'Intérieur. Pour assurer sa mission, le centre « analyse et traite les informations et les données transmises par les états-majors interministériels de zones de défense et de sécurité, qui sont nos interlocuteurs privilégiés », poursuit Bruno Maestracci.
« Le rôle essentiel que les sapeurs-pompiers assurent au sein de la sécurité civile leur donne vocation à être associés, au-delà de la DGSCGC (Direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises), aux travaux de toutes les instances nationales de réflexion et de décision en matière de sécurité nationale », tels que le SGDSN, le centre interministériel de crises ou le centre opérationnel de veille et d'appui à la gestion des crises extérieures. C'est ce qu'indique la FNSPF (Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France), dans sa « position » sur l'actualisation du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale. Ce document, « issu d'une réflexion » menée avec l'Association nationale des directeurs et directeurs adjoints des Sdis, a été « actualisé en juin 2012 » et communiqué à AEF Sécurité globale en septembre 2012
Éric Faure est réélu président de la FNSPF (Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France), vendredi 28 septembre 2012. Il a été élu pour trois ans avec 367 suffrages, soit 94,91 % des voix. Lors de cette élection, qui s'est déroulée en marge du congrès national des sapeurs-pompiers, à Amiens, 392 des 413 « grands électeurs » (1) de la fédération étaient « présents ou représentés ». La FNSPF précise par ailleurs que 25 bulletins étaient « blancs ou nuls ». Éric Faure prendra ses fonctions officiellement jeudi 25 octobre prochain. Il avait déjà été élu en octobre dernier à la tête de la fédération en remplacement de Richard Vignon, nommé préfet délégué pour la sécurité et la défense auprès du préfet de Lorraine (AEF Sécurité globale n°232015).
« Je me battrai auprès de tous les Sdis qui, de manière volontariste ou insidieuse, sont actuellement en train de conduire des politiques de diminution des effectifs de SPV (sapeurs-pompiers volontaires). » C'est ce qu'explique Éric Faure, vendredi 28 septembre 2012. Le président de la FNSPF (Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France) s'exprimait lors du congrès national des sapeurs pompiers, qui se déroule à Amiens jusqu'au 29 septembre 2013. « Au nom de la rigueur budgétaire, on va réduire les effectifs de volontaires », poursuit-il.
« La réforme de la filière des sapeurs-pompiers professionnels va passer à l'acte deux. » C'est ce qu'indique Serge Hérard, président du syndicat de cadres de Sdis Avenir secours-CFE-CGC, jeudi 27 septembre 2012 à Amiens. Il s'exprimait lors d'une conférence consacrée à la réforme de la filière et à sa mise en application (1) organisée dans le cadre de la première journée du 119e congrès des sapeurs-pompiers. « La 'dynamique des acteurs de la sécurité civile' connaît aujourd'hui un changement de posture, poursuit Serge Hérard. Nous suivons désormais une logique d'amélioration des textes, car toutes nos revendications n'ont pas été entendues. » Le congrès se déroule jusqu'au 29 septembre 2012.
« Le concept de sécurité nationale est délibérément ignoré ; l'autonomie de la sécurité civile est niée ; la revendication d'un code de la sécurité civile autonome, appelé de ses voeux par la FNSPF et par la communauté des sapeurs-pompiers, est, pour l'heure, enterrée. » C'est ce qu'indique la fédération dans un document intitulé « La sécurité nationale et la sécurité civile à l'épreuve du CSI (code de la sécurité intérieure) », daté de juin 2012 et communiqué à AEF Sécurité globale lundi 24 septembre. Elle réagit au CSI, promulgué par l'ordonnance du 12 mars 2012 (AEF Sécurité globale n°219292), qui considère la sécurité civile « comme une sous-branche de la sécurité intérieure ». La fédération dénonce donc une « conception hégémonique de la sécurité intérieure ».
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.