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« La CFDT a décidé de signer l'accord sur l'emploi des seniors et les mesures en faveur des secondes parties de carrières dans le groupe France Télécom-Orange » ouvert à la signature des organisations syndicales jusqu'au 31 décembre 2012, indique-t-elle vendredi 21 décembre 2012. Selon l'organisation syndicale, « en signant ce nouvel accord, qui s'appliquera dès le 1er janvier 2013 [jusqu'au 31 décembre 2015], la CFDT pose la première 'brique' du contrat de génération ». L'accord devrait s'intégrer aux futures négociations sur l'accord intergénérationnel, prévues par l'accord national interprofessionnel du 19 octobre 2012 relatif au contrat de génération (AEF n°203951), et qui doivent intevenir d'ici septembre 2013. Celles-ci « auront vocation à mettre en place des dispositions favorisant le lien » entre cet accord sur les seniors et l'accord sur l'insertion des jeunes signé le 28 février 2011 par France Télécom (AEF n°246951) « dans le respect de la loi relative au contrat de génération », qui doit être discuté au Parlement début 2013. Le syndicat FO a également signé le texte.
« En trois ans, France Télécom a franchi un cap et redevient une entreprise normale avec la nécessité pour être performante de continuer à travailler sur l'organisation du travail », indique Carole Froucht, directrice des relations sociales de France Télécom-Orange, mardi 18 décembre 2012. Elle commente, pour AEF, les résultats de la seconde enquête triennale sur le stress au travail, conduite par le cabinet Secafi Alpha en novembre 2012 auprès des 100 000 salariés du groupe. Trois ans après l'enquête de Technologia menée au lendemain de la crise sociale dans le groupe, cette enquête recueille un taux de réponse de 57 % (contre 77,9 % en 2009, AEF n°279661) « très satisfaisant », selon Carole Froucht. Cette enquête triennale auprès de tous les salariés du groupe est l'une des missions du Comité national de prévention du stress, créé par « l'accord sur l'évaluation et la prévention des risques liés aux risques psychosociaux au travail » signé le 6 mai 2010 (AEF n°269647), à qui elle a été présentée le 17 décembre.
« France Télécom-Orange va recruter 4 000 personnes en CDI en France dans les trois prochaines années 2013-2015) », annonce le groupe, jeudi 4 octobre 2012, à l'issue d'une rencontre entre la direction et les organisations syndicales relative à « la politique de l'emploi du groupe en France ». L'entreprise s'engage en outre à accueillir « chaque année en alternance 5 000 jeunes ». Des annonces qui n'empêchent pas la fédération CFDT de craindre « un retour préoccupant à deux décennies de fonte des effectifs », compte tenu des « 30 000 départs programmés d'ici 2020 ».
« C'est dans l'engagement des entreprises et des directions que se joue la réalité du bien-être au travail. La responsabilité du bien-être au travail s'organise et se gère. Les notes attribuées par les collaborateurs de France Télécom après la crise sociale, et alors que se tient la conférence sociale du gouvernement, montrent bien qu'il n'y a pas de fatalité sur l'amélioration de la qualité de vie au travail. » C'est ce qu'indique Bruno Mettling, DGRH de France Télécom, lors de la présentation à la presse, mardi 10 juillet 2012, du cinquième baromètre social de l'entreprise, réalisé en juin 2012 (1). Selon le groupe, « les résultats de ce 5e baromètre montrent une nette amélioration du climat social, confirmant que l'entreprise a désormais retrouvé un climat social apaisé », alors que la société, en tant que personne morale, et plusieurs anciens dirigeants du groupe, ont été mis en examen pour harcèlement moral, à la suite de la plainte déposée par des syndicats après une série de suicides de salariés entre 2008 et 2009 (AEF n°210887).
La direction de France Télécom et quatre organisations syndicales (CFDT, CFTC, CGT et FO) ont signé, jeudi 6 janvier 2011, un avenant (AEF n°252106) à l'accord sur l'emploi des seniors du 26 novembre 2009 (AEF n°280871) pour tenir compte de l'impact de la réforme des retraites. La CFE-CGC-Unsa et SUD ne l'ont pas signé. C'est la première fois qu'une entreprise adapte ainsi son accord « seniors » depuis la promulgation de la loi du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites. L'accord initial, concernant plus de 23 000 salariés en France, avait été signé par les mêmes fédérations syndicales, qui représentent 68 % des suffrages exprimés lors des dernières élections professionnelles.
France Télécom ouvre à signature, jusqu'au 6 janvier 2011, un avenant à son accord sur l'emploi des seniors du 26 novembre 2009 pour tenir compte de l'impact de la réforme des retraites, annonce le groupe dans un communiqué daté du 23 décembre 2010. C'est la première fois qu'une entreprise adapte ainsi son accord « seniors » depuis la promulgation de la loi du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites. L'accord initial, concernant plus de 23 000 salariés en France, avait été signé par les fédérations syndicales CFDT, CFTC, CGT et FO, représentant 68 % des suffrages exprimés lors des dernières élections professionnelles. Le groupe précise que « trois organisations syndicales ont d'ores et déjà signé cet avenant jeudi 23 décembre : la CFDT, la CFTC et FO ».
« Cet accord est la première pierre à l'édifice du nouveau contrat social », se félicite Olivier Barberot, DRH de France Télécom, à l'issue de la signature par la CFDT, la CFTC, la CGT et FO de l'accord en faveur de l'emploi des seniors, jeudi 26 novembre 2009 (AEF n°289438). « Cet accord garantit aux seniors l'accès à la formation, de ne pas être victimes de discrimination, et prévoit un départ progressif à la retraite, avec le temps partiel seniors », explique Olivier Barberot. « La signature de cet accord est un événement car elle crée une dynamique de rénovation sociale à un moment difficile pour l'entreprise. Cet accord répond à une demande forte des salariés. Il permet des mesures spécifiques à la fois pour les seniors qui souhaitent rester dans l'entreprise et pour ceux qui veulent la quitter. » Au total, 14 000 seniors sont éligibles à ce dispositif de temps partiel. « Nous estimons qu'environ 6 000 y adhéreront effectivement, précise Olivier Barberot. Et pour compenser, nous embaucherons 1 500 personnes. »