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La stratégie territoriale de sécurité et de prévention de la délinquance de la ville de Nice, approuvée par le conseil municipal jeudi 20 décembre 2012, « se veut opérationnelle et réactive ». C'est ce qu'indique le maire de la ville, Christian Estrosi, dans un communiqué, vendredi 21 décembre 2012. Cette stratégie définit pour les trois prochaines années « des axes prioritaires et un ensemble d'objectifs opérationnels déclinés en actions concrètes et mesurables », ajoute l'élu. Christian Estrosi précise avoir doté cette stratégie « de deux nouveaux outils novateurs ». Le premier est « une cellule de vigilance chargée de suivre l'ensemble des indicateurs de la délinquance et qui permettra de réunir, en cas d'urgence, les partenaires le plus rapidement possible ». Le second est « une cellule opérationnelle composée des principaux partenaires qui fera le lien entre le CLSPD et les différents dispositifs existants comme les ZSP (Zone de sécurité prioritaire) ».
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« Pour des raisons budgétaires, nous n'augmenterons pas les effectifs de la police municipale. Nous sommes condamnés à être plus efficients ». C'est ce qu'indique Benoît Kandel, premier adjoint au maire (UMP) de Nice chargé de la sécurité, jeudi 15 novembre 2012, à Nice. Il s'exprimait lors du colloque intitulé « Quel avenir pour la sécurité privée ? La refonte du cadre législatif », organisé par l'université de Nice-Sophia-Antipolis, l'Inhesj et le Centre d'études et de recherches en droit administratif, constitutionnel, financier et fiscal. « La gouvernance des villes va évoluer sous l'effet des nouvelles technologies », poursuit Benoît Kandel. Les gains de productivité « nous ont certainement permis de passer, en quatre ans, de 900 interpellations annuelles sur la voie publique à environ 2 500 aujourd'hui ».
« Il faut élaborer une véritable doctrine d'emploi de la police municipale aux côtés de la police nationale. Il ne s'agit pas de colmater les effectifs des forces de sécurité intérieures avec ces fonctionnaires territoriaux sans leur donner les moyens d'agir et la reconnaissance sociale qu'ils méritent. » C'est ce qu'affirme le maire UMP de Nice et président de la CCPM (Commission consultative des polices municipales), Christian Estrosi. Il s'exprimait, jeudi 11 octobre 2012, en ouverture des « rencontres nationales des polices territoriales », organisées par l'Observatoire national des polices municipales à Nice. « Votre métier mérite une meilleur reconnaissance professionnelle », explique-t-il aux policiers municipaux présents dans la salle.
Le député-maire de Nice, Christian Estrosi annonce la création de « sa propre zone de sécurité prioritaire » dans le quartier de Moulins, à l'ouest de la ville. « Ce nouveau dispositif de prévention et de dissuasion » développera « de nouvelles actions qui seront mises en oeuvre avant la fin de l'année », explique-t-il, à Nice, mercredi 22 août 2012. Ces mesures seront étendues à « l'ensemble des quartiers dits sensibles si les résultats sont probants, au second semestre 2013 ». Le président de la Commission consultative des polices municipales explique vouloir faire du quartier des Moulins « un laboratoire » et indique que « des équipages de sécurité privée » seront formés « de six à huit agents présents de 19 heures à 5 heures, probablement accompagnés de chiens pour surveiller et tranquilliser le quartier ». Christian Estrosi précise que « le coût de cette intervention ne sera pas imputé sur les loyers, mais sera financé par les bailleurs sociaux, la ville de Nice et la métropole Nice Côte d'Azur, selon une clef de répartition qui reste à définir ».
« Après plus de deux ans et demi de fonctionnement, nous ne pouvons que nous réjouir du dynamisme de cette coopération, qui se traduit au quotidien par les nombreuses actions concrètes conduites ensemble par nos policiers, dans le but de faire baisser la délinquance dans notre ville », indiquent la municipalité de Nice et la préfecture des Alpes-Maritimes après la présentation, vendredi 17 février 2012, du bilan 2011 de la convention de coordination entre la police municipale et la police nationale de Nice. Ce bilan est présenté en présence de Jean-Michel Drevet, préfet des Alpes-Maritimes, Christian Estrosi, maire de Nice, Eric Ciotti, président du conseil général des Alpes-Maritimes et Eric de Mongolfier, procureur près le TGI de Nice. Ce dernier expliquait à AEF Sécurité globale, en octobre 2011 (AEF Sécurité globale n°229578), que la police municipale de Nice avait « agi plusieurs fois sans prévenir la police nationale » et qu'elle devait au contraire « agir en complément de l'action de la police nationale ».
« 2012 sera l'année du renouvellement du contrat local de sécurité, qui sera rendu encore plus dynamique et plus performant avec la mise en place de la stratégie territoriale, la convention de coordination évoluera pour prendre en compte les nouveautés issues du décret publié le 2 janvier dernier (AEF Sécurité globale n°224491) », annonce Christian Estrosi, maire UMP de Nice, lors de la présentation des résultats de l'activité de la police municipale sur 2011 et des perspectives 2012, jeudi 19 janvier 2012 à Nice. Et de poursuivre : « 2012 sera également l'occasion d'amplifier l'utilisation de la vidéoprotection ».
Christian Estrosi, député-maire (UMP) de Nice propose à la commission nationale de vidéoprotection et au ministère de l'Intérieur que « l'utilisation de la vidéoprotection dans le cadre des interpellations en flagrance, voire dans celui des enquêtes, soit identifiée dans l'état 4001 », qui recense les faits constatés par la police et la gendarmerie. C'est ce qu'il indique jeudi 5 janvier 2012 après l'installation de la commission nationale de vidéoprotection dont il est membre (AEF Sécurité globale n°224414).