En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif et Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée des PME, de l'Innovation et de l'Économie numérique ouvrent les assises de l'entrepreneuriat, lundi 14 janvier 2013 (1), dont l'organisation était prévue par le pacte national pour la croissance, la compétitivité et l'emploi, présenté le 6 novembre 2012 (AEF n°202938). « Les assises de l'entrepreneuriat ont pour objectif de favoriser l'esprit d'entreprendre en France afin de doubler le nombre de création d'entreprises de croissance sur le territoire d'ici à cinq ans », précise le ministère du Redressement productif. « Neuf groupes de travail sont chargés de réfléchir, chacun sur une thématique propre, à des propositions de mesures qui permettront d'atteindre l'objectif qui leur est fixé. Ces propositions mèneront à la mise en place d'un programme d'action national, qui sera présenté lors de la clôture des assises de l'entrepreneuriat, en avril prochain », est-il précisé. Dix-huit ministères sont engagés dans cette démarche.
« Nous devons davantage investir dans la recherche et le développement, pour monter en gamme, conquérir de nouveaux marchés, et reprendre place en position de force dans la compétition mondiale. » C'est ce que déclare le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, lors de sa présentation du « Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l'emploi », mardi 6 novembre 2012 à l'Hôtel Matignon. Ce pacte comprend « 35 décisions concrètes » inspirées « de la quasi totalité du rapport Gallois remis hier », précise Jean-Marc Ayrault (AEF n°203034). Sur ces 35 mesures, 5 concernent directement l'innovation et la recherche, et en particulier les pôles de compétitivité, le transfert de technologie, les dispositifs fiscaux, la BPI et l'achat public innovant. « Tous les six mois, je réunirai les ministres concernés pour faire le point de l'état d'avancement de ce pacte, et j'ai demandé à Louis Gallois de m'apporter son concours pour en suivre la mise en oeuvre. Il l'a accepté », se félicite le Premier ministre.