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L'Adiut, l'Unpiut, la Cdefi et la FVM « demandent que soit garantie l'autonomie [des IUT et des écoles d'ingénieurs internes] en matière pédagogique, financière et de gestion des ressources humaines », dans un communiqué commun du 22 janvier 2013. « La situation inquiétante » des IUT et de certaines écoles d'ingénieurs internes les amène à « interpelle[r] les pouvoirs publics ».
Création d'un conseil académique décisionnel par la fusion des CS (conseil scientifique) et Cevu (Conseil des études et de la vie universitaire), introduction de la parité, réduction de la prime majoritaire, passage du mandat de président de quatre à cinq ans non renouvelable, quatre personnes de plus au conseil d'administration, disparition des termes « UFR » et « département » au profit de celui de « composante », restriction de la notion de grand établissement : telles sont les principales nouveautés concernant la gouvernance des universités qui ressortent de la version de travail du « projet de loi relatif à l'enseignement supérieur et à la recherche » datée du 15 janvier 2013 qu'AEF s'est procurée (1). Des évolutions devraient intervenir après deux réunions interministérielles sur ce sujet – les 18 et 25 janvier – et les concertations bilatérales avec les organisations syndicales qui débuteront le 22 janvier.
« Sur un territoire donné, qui peut être académique ou inter académique, les établissements publics d'enseignement supérieur et les organismes de recherche partenaires de ces établissements, organisent de manière coordonnée leur politique de formation, de vie étudiante, de recherche, de transfert des résultats de la recherche, de gestion des ressources humaines, de développement de l'enseignement numérique et leurs relations internationales. » Telle est la rédaction d'un article sur « la coopération et les regroupements d'établissements » figurant dans une version de travail datée du 15 janvier 2013 du projet de loi sur l'enseignement supérieur et la recherche, qu'AEF s'est procurée (1). Des évolutions devraient intervenir après deux réunions interministérielles sur ce sujet – les 18 et 25 janvier – et les concertations bilatérales avec les organisations syndicales qui débuteront le 22 janvier.
« A l'interface du monde universitaire et du monde économique, la voie technologique a des exigences qui heurtent parfois l'académisme de nos universités. Mais ces exigences sont le gage de la réussite d'une université publique française », indique contribution de l'Adiut (Assemblée des directeurs d'IUT) et de l'Unpiut (Union nationale des présidents d'IUT) aux assises de l'enseignement supérieur et de la recherche. Les IUT proposent entre autres de « développer la voie de formation universitaire par la technologie qui garantit, dès le niveau III, la construction de compétences favorables à la compétitivité et l'innovation dans les entreprises ». Les 39 propositions de cette contribution sont « conformes au projet élaboré de décembre 2010 à juin 2011 approuvé par 114 conseils d'IUT sur 115 (AEF n°235863). La réflexion sur le projet a fait suite aux états généraux des IUT conduits de janvier à juin 2010. » Voici les éléments de cette contribution concernant la réussite des étudiants et les formations. D'autres propositions portent sur la place des IUT dans le paysage de l'ESR (AEF n°201691).
« Nous avons demandé qu'un texte normatif fasse en sorte que les BPI (budgets propres intégrés) et les Com (contrats d'objectifs et de moyens) soient respectés. Le ministre nous a répondu que les circulaires actuelles ont autant force de loi que le décret que nous demandons, et qu'il entend les faire respecter. » C'est ce qu'affirment à AEF Jean-François Mazoin, président de l'Adiut (Assemblée des directeurs d'IUT) et Jean-Paul Vidal, président de l'Unpiut (Union nationale des présidents d'IUT), vendredi 4 novembre 2011, au lendemain de leur rencontre avec Laurent Wauquiez, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (AEF n°229072).
« Nous ne savons pas, à l'heure actuelle, avec le grand emprunt, comment nos sites vont évoluer. Tout est donc ouvert pour les IUT, dans notre proposition », déclare Jean-François Mazoin, président de l'Adiut, lors d'une conférence de presse commune avec l'Unpiut, lundi 20 décembre 2010. Les deux associations ont adopté, respectivement le 10 et le 16 décembre 2010 (1), un projet « alternatif » de nouveau positionnement « institutionnel » des IUT (AEF n°253286 et n°252805) . Elles proposent ainsi de créer « une structure nationale dotée d'une personnalité morale » qui aurait deux grandes missions. Premièrement, en tant qu' « agence de moyens », elle serait chargée de répartir les moyens des IUT et ainsi permettre d' « avoir une visibilité nationale sur les moyens de la filière technologique à l'université, ce qui n'est plus possible aujourd'hui », souligne Jean-Paul Vidal, président de l'Unpiut. La seconde mission serait de « labelliser les IUT » et ainsi « garantir le maintien du système national IUT », et ce quel que soit le statut : « autonomes à côté des universités », composantes internes d'une université, regroupement d'IUT au sein d'un PRES, d'un grand établissement ou d'une université fédérale, etc. Le choix serait laissé à chaque IUT. « Nous réfléchissons dans le cadre de l'enseignement supérieur global », affirme Jean-Paul Vidal. « Et ce qui est certain, ajoute Jean-François Mazoin, c'est que le lien avec l'université et la recherche doit être conservé. »
Hervé Berville est nommé secrétaire d’État chargé de la Mer auprès de la Première ministre dans le deuxième gouvernement d’Élisabeth Borne, annoncé lundi 4 juillet 2022. Le député Renaissance des Côtés d’Armor remplace Justine Bénin qui, battue aux législatives, a dû quitter son poste. Voici son parcours.
Jean-François Carenco est nommé ministre délégué à l’Outre-mer auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer Gérald Darmanin, dans le nouveau gouvernement d’Élisabeth Borne annoncé lundi 4 juillet 2022 dans la matinée. Président de la Commission de régulation de l’énergie depuis le 16 février 2017, cet énarque (promotion 1979) connaît bien l’outre mer où il a été secrétaire général à la Nouvelle-Calédonie puis préfet à plusieurs reprises (Saint-Pierre-et-Miquelon en 1996, Guadeloupe de 1999 à 2002). Il a également occupé les fonctions de directeur de cabinet de Jean-Louis Borloo au ministère du Travail et de la Cohésion sociale (2005-2006) puis au ministère du Développement durable (2008-2010). Le prochain président de la CRE sera nommé par décret du président de la République, après une audition en commission à l’Assemblée nationale et au Sénat.