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__graphe__777__8368__Les communes situées en zone police nationale susceptibles d'être transférées en zone gendarmerie sont matérialisées en bleu sur la carte et celles potentiellement concernées par un changement inverse sont symbolisées en rouge La direction générale de la police nationale transmet, mardi 29 janvier 2013 aux syndicats de police, une liste de 19 communes situées en zone police nationale susceptibles d'être transférées en zone gendarmerie et de 17 communes potentiellement concernées par un changement inverse. Selon l'administration, « une concertation locale conduite par les préfets des départements » va s'engager « dans les prochains jours » dans les départements concernés. La direction générale de la police nationale parle de « redéploiements limités ».
Manuel Valls annonce l'organisation, lundi 8 avril 2013, d'un « grand séminaire de travail sur les zones de sécurité prioritaires ». Il intervenait lors d'une conférence de presse destinée à présenter sa politique de sécurité pour 2013 (AEF Sécurité globale n°197732 et n°197720). Ce séminaire doit permettre à « l'ensemble des acteurs concernés » de « faire part de leur remontées de terrain ». Il indique que « les 49 zones de sécurité prioritaires créées en décembre seront déployées progressivement au cours du premier semestre (AEF Sécurité globale n°202288). Certaines sont déjà opérationnelles. D'autres nécessitent d'affiner encore leur diagnostic et leurs méthodes ». Selon lui, les « premiers enseignements » des zones de sécurité prioritaires lancées en septembre 2012 sont « positifs » : « L'ancrage local du dispositif a permis de renouveler l'action partenariale en créant une réelle dynamique portée par l'ensemble des acteurs locaux de la sécurité. »
« Il m'apparaît nécessaire d'avancer dans les prochains mois sur trois chantiers complémentaires » en matière de réforme de structure. C'est ce qu'indique le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, à l'occasion de ses voeux à la gendarmerie nationale, au quartier des Célestins de la garde républicaine à Paris, mardi 8 janvier 2013. Il cite tout d'abord « les redéploiements de zones de compétence avec la police nationale ». Il précise avoir « conscience des difficultés liées à une telle réforme qui implique nécessairement, dans un premier temps, des investissements et reporte les gains sur les moyens et longs termes ». Et d'ajouter : « C'est cependant un gage d'efficacité opérationnelle immédiate. Il nous faut donc avancer dans la concertation en suivant un principe simple : à la gendarmerie la charge de protéger les territoires et les communes et agglomérations qui les structurent ; à la police celle de veiller sur les principaux centres urbains ».
« Aujourd'hui, la gauche est en capacité de répondre aux défis de l'insécurité et de la délinquance. » C'est ce que déclare le ministre de l'Intérieur devant l'Assemblée nationale, mardi 6 novembre 2012 en soirée. Manuel Valls intervenait dans le cadre de la discussion, en séance publique, des missions « sécurité » et « sécurité civile » du projet de loi de finances pour 2013. Au terme des débats, les crédits de ces deux missions sont adoptés par les députés, tout comme le compte spécial « contrôle de la circulation et du stationnement routiers ». Selon Manuel Valls, « le changement et la rupture par rapport au budget précédent, ce ne sont pas uniquement les postes de policiers et de gendarmes que nous allons créer, ce sont également les 3 200 postes qui devaient être supprimés et que nous gardons », affirme-t-il. « Sans effectifs suffisants, nous ne pouvons pas agir efficacement dans un domaine où le facteur humain reste majeur. »
28 associations bénéficieront de financements du gouvernement pour mener à bien des actions en faveur de l’égalité économique entre les femmes et les hommes. Elles ont remporté l’appel à projets lancé en mars 2022, doté d’une enveloppe totale d’un million d’euros. Les projets financés visent en particulier à "permettre à un plus grand nombre de femmes d’accéder à une autonomie économique", à "permettre aux femmes, notamment celles les plus éloignées de l’emploi, de s’insérer professionnellement" et à "promouvoir la mixité dans des secteurs identifiés comme non mixtes".