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Les référents-sûreté souhaitent une « harmonisation des temps minimum et maximum d'enregistrement des images » par les commissions départementales de vidéoprotection. La durée de conservation peut aller de trois jours à un mois selon les départements. C'est, selon un compte-rendu communiqué à AEF Sécurité globale, l'un des enseignements d'un séminaire réunissant une centaine de référents-sûreté de la police et de la gendarmerie, lundi 4 février 2013 dans les locaux de la DGGN d'Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Ce séminaire était organisé par Bertrand Michelin, coordinateur au sein du ministère de l'Intérieur des dispositifs de sécurité des professions exposées (AEF Sécurité globale n°247768) et animateur du réseau des référents-sûreté, en partenariat avec le ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie.
« L'année 2011 a été marquée notamment par une accélération de la mise en oeuvre des orientations de la politique de prévention de la délinquance fixées par la loi du 5 mars 2007 et le plan national du 2 octobre 2009. » C'est ce qu'indique le CIPD (Comité interministériel de prévention de la délinquance), dans un rapport intitulé « La politique de prévention de la délinquance en 2011 », remis en avril 2012 au Parlement. « La deuxième année de mise en oeuvre du plan national s'est en effet traduite par des avancées significatives qui ont trouvé des résultats concrets dans les cinquante mesures qu'il comprend », précise-t-il dans l'introduction du rapport.
« Entre 1995 et 2007, il y a eu 12 ans avant que les pouvoirs publics ne reconnaissent l'utilité des études de sûreté et de sécurité publique », lance Philippe Tireloque, chef de district et commissaire central de Meaux, lors d'une table ronde sur l'urbanisme et la sécurité, organisée par l'Iaurif (Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région Île-de-France) jeudi 25 novembre 2010 . « C'est une question qui est très compliquée à mettre en place. Au départ, les gens du BTP nous voyaient d'un très mauvais oeil », remarque-t-il. « Une des raisons aussi est la difficulté que nous avons en France de parler de prévention situationnelle, c'est un terme très connoté. Elle est souvent présentée comme une mauvaise prévention par opposition à la prévention sociale », ajoute Anne Wyvekens, chargée de recherches au CNRS.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 20 mars 2023 :