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La Cour des comptes pointe « de nombreuses défaillances et irrégularités dans la gestion administrative et financière qui ont nui à l'efficacité de l'action » de l'Onema (Office national de l'eau et des milieux aquatiques), dans un rapport rendu public mardi 12 février 2013, intitulé « Onema : une transformation mal préparée, une gestion défaillante ». Elle les attribue à « l'ampleur et l'accroissement des missions confiées à l'Onema, dans un contexte mouvant, complexe et soumis à la pression d'échéances communautaires, [qui] n'ont pas été accompagnés par la mise en place de moyens à la hauteur des enjeux ». Elle publie six recommandations : « séparer les fonctions de tutelle et de présidence du conseil d'administration », « fiabiliser les comptes », « mettre en place un pilotage et un suivi rigoureux des projets informatiques », « réorganiser le dispositif territorial », « revoir les pratiques de gestion des ressources humaines », « poursuivre les actions menées en matière de police de l'eau », et surtout augmenter « significativement » les contrôles sur la pollution aux nitrates.
L'Onema (Office national de l'eau et des milieux aquatiques), créé par la Lema (loi sur l'eau et les milieux aquatiques) de 2006, est un « organisme jeune, qui doit atteindre maintenant sa maturité », réagit-il mardi 5 février 2013, après la publication, dans l'édition du « Monde » du 3 et 4 février, d'une enquête sur les « scandales et dérives » de la politique de l'eau en France, qui pointe principalement la gestion de l'Onema (AEF n°196597). Le quotidien s'appuie à la fois sur un pré-rapport de la Cour des comptes de juillet 2012, dont la version finale sera présentée le 12 février, et sur une plainte contre X déposée le 4 juillet 2012 au parquet de Créteil par le SNE-FSU (Syndicat national de l'environnement). « L'Onema regrette que des commentaires médiatiques se basent sur des éléments du rapport provisoire de la Cour, non public et déjà ancien, alors même que la Cour des comptes a mis fin à son contrôle en novembre 2012 sans suite judiciaire », répond-il dans un communiqué. Et Élisabeth Dupont-Kerlan, directrice générale de l'office depuis fin octobre 2012 (AEF n°203453), y déclare qu'elle « n'a, à ce jour, aucune nouvelle de la plainte déposée par le SNE ».
« Le Monde », dans son édition du dimanche 3 et lundi 4 février 2013 (pp. 1-3), titre sa « une » sur « la politique de l'eau en France entre scandales et dérives ». Le quotidien s'appuie en particulier sur un rapport de la Cour des comptes relatif au fonctionnement de l'Onema (Office national de l'eau et des milieux aquatiques) qui sera rendu public le 12 février, dans lequel elle dénonce une « absence de fiabilité des comptes », « un budget mal maîtrisé sans procédure formalisée d'engagement de la dépense », « une gestion des systèmes d'information défaillante », « des sous-traitances non déclarées », etc. « Le Monde » indique également que le même établissement public est visé par « une plainte contre X déposée le 4 juillet 2012 au parquet de Créteil par le SNE-FSU (Syndicat national de l'environnement) ». « Le procureur de Créteil a lancé une enquête préliminaire, confiée aux policiers de la brigade de répression de la délinquance économique », précise le quotidien.
Défi 30, c’est le nom d’un module de formation gratuit à distance lancé par le projet Voltaire et Pôle emploi en décembre dernier, disponible sur l’Emploi store. Cet outil compte parmi les 15 applications les plus utilisés présents sur cette plateforme. Le but ? Acquérir 30 règles d’orthographe, d’expression ou de bonnes pratiques en matière de courriels professionnels, et ainsi améliorer ses chances de décrocher un emploi. Car, selon un sondage Ifop réalisé en 2021 à l’initiative de projet Voltaire, plus de 8 recruteurs sur 10 (86 %) considèrent que la maîtrise de la langue compte parmi les compétences fondamentales. Concrètement, après une évaluation au travers d’un quiz, l’outil propose un entraînement personnalisé aux utilisateurs, qui tient compte de leurs connaissances et lacunes.