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« La région Aquitaine ne pourra assumer la maintenance des équipements numériques des établissements scolaires, tel que le prévoit le projet de loi d'orientation sur l'école, que si cette nouvelle compétence s'accompagne d'un transfert de moyens de l'État. Il ne faudrait pas retomber dans le scénario que nous avons connu lors du transfert des personnels TOS, pour lequel la compensation a constitué un problème », répond à AEF Anne-Marie Cocula, la vice-présidente en charge de l'éducation. L'élue juge que le niveau de compétence des équipes mobiles d'agents (dépannages, maintenance et sécurité des serveurs) n'est « pas suffisant ». Dans l'entretien accordé à AEF lundi 18 février 2013, Anne-Marie Cocula revient également sur le budget 2013 de l'Aquitaine où le resserrement des crédits régionaux affectés aux lycées (près de 201 millions d'euros au total) se poursuit.
Le conseil régional de Bourgogne adopte lundi 14 janvier 2013 un budget primitif en baisse de 2,8 %. Le BP, adopté sans les voix de l'opposition, s'établit à 802 millions d'euros contre 825 millions d'euros en 2012. Les crédits de paiements inscrits pour les lycées progressent néanmoins de leur côté de 2 %, pour passer à 156,7 millions d'euros. Une seule mesure nouvelle figure dans le rapport : le financement de nouvelles actions de promotion de l'offre d'enseignement supérieur auprès des lycéens (ateliers découvertes, rencontres avec des étudiants et des doctorants…). Cette mesure vise à augmenter le taux de poursuite en études supérieures et à améliorer le dispositif d'orientation des élèves.
Le rectorat de Bordeaux et la région Aquitaine pourraient cofinancer dès cette année scolaire 2012-2013 des projets de micro-lycées dans l'académie, pour prendre en charge les élèves décrocheurs. Le projet dont le démarrage à la rentrée 2013 semble le plus certain concerne le lycée professionnel Antoine-Lomet à Agen. « Il ne s'agit pas de proposer un dispositif concurrent de la mission générale d'insertion, mais une solution pour les lycéens plutôt âgés que nous recevons, les 17-20 ans, qui, du fait de leur âge, ne relèvent plus du dispositif MGI », précise son proviseur, Gérard Duzan, à AEF le 12 septembre 2012. Le lycée Antoine-Lomet travaille avec deux autres lycées professionnels de son secteur et le CFA de Marmande à un parcours de formation spécifique en alternance pour ces jeunes (potentiellement une dizaine), qui serait étalé sur quatre ans : deux ans en lycée pour passer un bac professionnel, suivis de deux ans en CFA pour préparer un BTS.
Le premier lycée à « énergie positive » de France, c'est-à-dire produisant plus d'énergie qu'il n'en consomme, ouvrira ses portes à la rentrée 2012 à Bègles (Gironde), indique à AEF (1), mercredi 6 juin 2012, François Jolly, directeur de la maîtrise d'ouvrage du conseil régional d'Aquitaine. Baptisé Václav Havel, le 154e lycée public de la région a nécessité un investissement de 60 millions d'euros assuré par la collectivité. Le bâtiment est équipé d'un peu plus de 2 800 mètres carrés de panneaux solaires photovoltaïques, 440 mètres carrés de solaires thermiques, et la totalité de ses besoins de chauffage sont assurés par une chaufferie au bois. La production photovoltaïque annuelle sera de 872 mégawattheures, supérieure à la consommation annuelle du lycée, de 764 MWh. Le chauffage représente 36 % des budgets de fonctionnement des 153 lycées publics existants en Aquitaine, selon le conseil régional.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 20 mars 2023 :