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Renault et les organisations syndicales CFDT, CFE-CGC, CGT, et FO ont tenu mardi 19 février 2013 leur 11ème et dernière réunion de négociations sur un « accord pour une nouvelle dynamique de croissance ». Lors de cette réunion, un projet de texte d'accord a été examiné (sur écran), reprenant les différentes propositions et engagements débattus au long de ce cycle de négociation. Un document écrit devrait être communiqué mercredi 20 février 2013. Le projet d'accord pourrait ensuite être présenté pour consultation au comité central d'entreprise, à la mi-mars, et dans les comités d'entreprise des filiales concernées, préalable à la signature entre les organisations syndicales et le président du groupe Renault, Carlos Ghosn. Cette signature « pourrait intervenir dans les prochaines semaines ».
De « nouvelles avancées » dans la négociation sur l'accord de compétitivité chez Renault sont constatées par la direction à l'issue de la 10e réunion mardi 12 février 2013, qui a duré plus de douze heures. Ces avancées sont saluées en particulier par les syndicats CFE-CGC et CFDT. Répondant à l'une de leurs revendications, la direction a proposé de revenir sur le projet de détachements opposables : ils resteraient basés exclusivement sur le volontariat. Elle a également précisé ses engagements sur l'augmentation des volumes de production des sites industriels français jusqu'à plus de 80 % de leur capacité d'ici quatre ans et au-delà de 2016. « Dans les semaines à venir, ce projet va faire l'objet de réunions de négociation nécessaires sur le texte de l'accord », indique la direction. La prochaine réunion est fixée au 19 février. Le texte sera ensuite présenté pour consultation au CCE (comité central d'entreprise) et dans les comités d'entreprise des filiales concernées, préalable à la signature entre les organisations syndicales et le président du groupe Renault, Carlos Ghosn. La signature de l'accord, s'il aboutit, par Carlos Ghosn était également une revendication syndicale.
Renault et les organisations syndicales CFDT, CFE-CGC, CGT et FO ont tenu mardi 5 février 2013 leur 9e réunion de négociation « en vue d'un accord au service d'une nouvelle dynamique de croissance ». Alors que des arrêts de travail ont été suivis avec un « impact limité » dans plusieurs établissements à l'appel des syndicats CGT, SUD et FO, les négociations, dans la continuité de la précédente réunion, « ont été centrées sur les modalités d'application des mesures proposées par la direction en matière de temps de travail, de politique de rémunération, de compétitivité hors coût et de qualité de vie au travai », indique la direction. Renault et les organisations syndicales se réuniront le 12 février prochain afin d'examiner ensemble le projet d'accord et de « procéder aux ultimes ajustements ». « Au terme des neuf réunions de négociations, toutes les mesures et les engagements qui pourraient être inscrits dans l'accord ont été abordés et discutés. Cela me donne confiance pour que l'on puisse conclure lors de la prochaine séance », a déclaré Gérard Leclercq, directeur des opérations France de Renault.
La direction de Renault et les quatre organisations syndicales représentatives au sein du groupe (CFDT, CFE-CGC, CGT, FO) se sont réunies pour une huitième séance de négociation sur la compétitivité, mardi 29 janvier 2013. À cette occasion, les organisations syndicales étaient invitées à présenter leurs propositions et à faire part de leurs commentaires sur celles de la direction. CFDT, CFE-CGC et CGT réclament l'affectation de nouveaux volumes de production aux usines françaises et jugent le projet d'accord déséquilibré.
La direction du groupe Renault propose « le maintien des salaires en 2013 au niveau de 2012, une augmentation de 0,5 % en 2014 et de 0,75 % en 2015 », à l'occasion de la septième réunion de négociation sur la compétitivité, mardi 22 janvier 2013. La direction propose en outre une « évolution de l'accord d'intéressement » en vue « d'augmenter le montant de la part uniforme versée à l'ensemble des collaborateurs à 300 euros et, d'autre part, de revaloriser le montant distribué dès que la marge opérationnelle dépasse 3 % », pour « renforcer la dimension solidaire et rétributrice de l'accord d'intéressement actuel ». Ces mesures visent à « maîtriser la masse salariale, qui représente 60 % des frais fixes de l'entreprise, tout en maintenant le niveau de motivation des salariés », justifie la direction dans un communiqué.
L'annonce, par la direction du groupe Renault, de la suppression de 7 500 postes en France d'ici à 2016 inquiète les organisations syndicales du groupe. CFDT, CGT et FO s'interrogent sur l'avenir de l'entreprise en France et sur l'impact de ces mesures sur les salariés qui resteront en poste, dans des communiqués de presse distincts publiés à l'issue de la réunion de négociation sur la compétitivité du 15 janvier 2013.
La direction du groupe Renault entend procéder à « une baisse d'effectif globale de l'ordre de 7 500 à horizon 2016 », annonce-t-elle dans un communiqué publié à l'issue de la sixième réunion de négociation sur la compétitivité, mardi 15 janvier 2015. Outre « les départs naturels et ceux liés au dispositif GPEC en cours », dont le nombre est estimé à 5 700 entre 2013 et fin 2016, la direction entend élargir à tous les collaborateurs le dispositif de dispense d'activité des carrières spécifiques prévu par l'accord sur la GPEC, qui permet aux opérateurs en fin de carrière de bénéficier d'un départ en retraite anticipé pour pénibilité. Cette possibilité n'est cependant envisagée que « si un accord était signé ». Le groupe ne précise pas pour le moment quelle serait la solution retenue à défaut d'accord.